La reconnaissance n’est pas la chose la mieux partagée dans certains grands pays africains de cinéma. Ceux-ci ont vu naître de grands réalisateurs, pionniers du cinéma africain, mais tombés dans l’oubli.
« En Tunisie beaucoup de gens ne savent pas qui est Tahaar Chériaa. Au Sénégal, c’est la même chose pour Sembène, et au Burkina Faso c’est la même chose », a déploré le réalisateur tunisien Mohamed Challouf, qui a signé « À l’ombre du Baobab », projeté lors du dernier festival de Kouriba, au Maroc. (Source : Le Quotidien)
10 Commentaires
Anonymcafrome
En Septembre, 2016 (10:44 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (11:02 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (11:08 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (11:57 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (13:02 PM)On ne parle plus de Lat Dior, Ndiadiane Ndiaye, coumba ndoffene, aline sitoe, sembee ousmane, ousmane sow etc... Mais de petits marabouts mbacké mbacké ou sy sy ou niasse niasse qui n'ont rien fait a part s'arcbouter sur l'oeuvre de leurs grands parents. c'est ça le paradoxe du senegal
Senegal
En Septembre, 2016 (13:10 PM)Deug
En Septembre, 2016 (14:20 PM)Latsabetcha
En Septembre, 2016 (17:09 PM)Latsabetcha
En Septembre, 2016 (17:09 PM)Latsabetcha
En Septembre, 2016 (17:09 PM)Participer à la Discussion