Pour justifier des transferts de fonds saisis, les dirigeants de la banque centrale de la République de Guinée expliquent qu’elles ont l’habitude d’opérer régulièrement ce genre de transaction. C’est leur droit. Ce n’était pas en leur pouvoir de dire qu’ils avaient contacté les douanes sénégalaises, alors qu’ils n’ont pu en apporter la preuve. Mieux, les justificatifs qu’ils présentent, les enfoncent encore plus.
En plus de leur droit de réponse, des «dirigeants» de la Banque centrale de la République de Guinée (Bcrg), nous ont envoyé des documents pour étayer leur argumentaire. Cependant, comme dit dans l’édition d’hier, les vraies questions soulevées par la saisie de la cargaison de Dakar, attendent toujours réponse, malgré les gesticulations des uns et les menaces des autres. La première remarque à porter sur ces documents, est que l’on n’en connait pas les expéditeurs. Leur «droit de réponse» n’est pas signé, même pas par le Chergé de communication de l’Institution, ce qui pourrait poser problème, n’importe quel quidam pouvant décider de nous jouer un petit tour et nous envoyer une missive de ce genre. De deux, tout le bruit autour de cette question n’élude pas les vraies questions.
La Douane sénégalaise a saisi 10 milliards de Guinée
Le vendredi 8 août dernier, des douaniers préposés à l’aéroport Léopold Sédar Senghor de Dakar, ont interceptés des mallettes contenant des devises en dollars et en euros, pour une valeur équivalant à 10 milliards de francs Cfa, débarqués d’un aéronef venant de Conakry, et qui étaient destinés à être transbordés sur l’avion d’Emirates en partance pour Dubaï.
Il faut noter ici que Le Quotidien avait minimisé le montant saisi, qui était l’équivalent du double. Ce pour quoi nous battons notre coulpe.
Ce transfert n’avait pas été signalé à la Douane ou aux autorités sénégalaises. Ce qui a justifié la saisie par les douaniers. On notera que les «justificatifs» transmis par les dirigeants de la Bcrg, s’ils comprennent bien ce qui est appelé une «Attestation de transfert de responsabilité et de risques» signée par la société de transport d’argent Mss, pour le transport de 10 millions de dollars, auquel document s’ajoute une lettre d’information envoyée par la Bcrg à la Douane guinéenne, ainsi qu’un bordereau d’envoi, ils n’éclaircissent pas les mystères de Dakar.
Absence de notes envoyées aux autorités sénégalaises
Pourquoi n’avoir pas joint une note d’information aux douanes sénégalaises, ainsi qu’un quelconque accusé de réception des autorités de ce pays ? Faut-il croire que ce document n’existe pas parce qu’il n’a jamais été émis ou sollicité ?
S’il faut en croire les services du ministère de l’Economie et des Finances du Sénégal, Amadou Ba a été informé de la saisie par les services des douanes, qui venaient de contacter le ministre délégué au Budget. Ce n’est qu’après cela qu’il a contacté son homologue guinéen. Ce dernier de son côté, semblait tomber des nues, et a demandé du temps pour pouvoir s’informer. Ce bien longtemps après qu’il a pu confirmer que les devises étaient propriété de la Bcrg. A la suite de cette information verbale, les autorités sénégalaises ont pris la décision de laisser partir les fonds dans les soutes d’Emirates.
Des documents sans rapport avec les montants saisis
Autre chose avec les «justificatifs» venant de Guinée ; c’est leur date. Pour des fonds arrivés au Sénégal en début août, les documents de transport émis de Guinée, en plus de ne pas indiquer le montant exact, dont on rappelle qu’il équivalait à 10 milliards de francs Cfa, datent du 1 juillet pour le «Bon à enlever» délivré par les douanes guinées à la cargaison chargée dans le vol EK 795 depuis Conakry, ou du 23 juillet pour la note d’information de la Bcrg à la direction des douanes guinéennes, ou encore, du 25 juillet, pour l’attestation de transfert des responsabilité et des risques émise par Mss. Peut-on vraiment croire que les documents présentés en justificatifs, venus sans aucune note de la part d’autorités sénégalaises, peuvent vraiment constituer des justificatifs à ce qui est apparu à beaucoup comme une fuite de capitaux ?
Entrée en lice de partenaires au développement
C’est d’ailleurs le reproche fait au gouvernement sénégalais par les partenaires au développement, une fois l’information livrée par Le Quotidien. Aussi bien les représentants de l’Union européenne que de la Banque mondiale et d’autres partenaires au développement ont voulu se faire confirmer la véracité des informations auprès des autorités sénégalaises. Cela fait, plusieurs de ces représentants se sont permis de faire le reproche aux autorités du Sénégal, pour avoir pris sur elles de laisser partir l’argent au lieu de le saisir jusqu’à plus ample informé. Cependant, les collaborateurs du ministre de l’Economie confirment que pour Amadou Ba, du moment que le pouvoir de Conakry confirmait que l’argent lui appartenait, il ne pouvait plus être question de s’en mêler.
MSS Who ?
Pour finir sur la menace de plainte devant les juridictions que brandit contre Le Quotidien par une société dont on se demande ce qui la meut dans cette affaire, Mss Llc, basée à Washington Dc, pas loin de la Maison Blanche. Es qualité transporteur des fonds mis en cause, elle se permet de nous envoyer le Droit de réponse de la Bcrg guinéenne et une mise en demeure dans les 48 H.
D’abord, Le Quotidien n’a pas attendu cette entreprise pour respecter les principes d’éthique et de déontologie qui encadrent la profession de journaliste. Nous avions pris sur nous, dès hier matin, de mettre sur notre site internet, en bonne place, le «Droit de réponse» de la Guinée, alors qu’il nous est arrivé au moment où nous avions bouclé notre édition de la veille. Aucune loi ne nous obligeait à le faire.
De deux, cette société nous est totalement étrangère et ne peut nous ébranler par ses menaces. Nous ne l’avons cité dans aucun des articles mis en cause, et ne lui reconnaissons aucune autorité dans cette affaire. nous pouvons accepter l’intervention de la Bcrg en tant qu’entité du pouvoir en Guinée, et surtout en tant que société émettrice de devises, mais pas celle d’une société que nous n’avons nullement mis en cause dans nos papiers, bien que les documents à nous transmis montrent des pratiques sur lesquelles on pourrait avoir à redire.
Pour le reste, les lecteurs se feront leur opinion d’eux-mêmes
CI-DESSOUS, DOCUMENT DE LA BCRG
Ce document a été reçu hier aux environs de 1H du matin, alors que l’édition du journal Le Quotidien était déjà bouclée. Pour ne pas donner l’impression d’en occulter la publication, Le Quotidien l’a posté en un lieu très visible de son site internet. Nous y revenons comme promis alors, aujourd’hui dans notre édition papier, avec le commentaire qu’il nous inspire.
PRECISIONS DE LA BCRG
«Un article aurait paru ce samedi 23 octobre dans les colonnes du « Quotidien » (un journal Sénégalais), faisant état de la saisie de 4 milliards de francs CFA qui appartiendraient au Président Alpha CONDE.
La Banque Centrale de la République de Guinée, en démentant avec la dernière énergie une telle affirmation, apporte dans ces lignes les précisions qui s’imposent.
Il s’agit tout d’abord d’indiquer que les fonds qui ont fait l’objet d’investigations il y a deux semaines de la part des douanes Sénégalaises, sont et demeurent la propriété de la Banque Centrale de la République de Guinée.
Comme toutes les Banques Centrales, la BCRG procède de temps en temps, en fonction des demandes des banques primaires, à des expéditions de valeurs auprès de ses correspondants étrangers. Actuellement un contrat lie dans ce cadre la BCRG à la Société MSS LLC, une filiale de la société de transport international de valeurs, Brink’s en l’occurrence.
Les fonds sont transportés, faut-il le rappeler, par la Compagnie Emirates. En raison de la deuxième suspension de vols d’Emirates sur la Guinée due à la recrudescence de la fièvre hémorragique à virus Ebola en Sierra Léone et au Libéria, la Société MSS LLC a affrété, le 8 août 2014, un vol spécial pour récupérer les fonds à Conakry en vue d’un transbordement sur Emirates à Dakar, et ce, après toutes les formalités douanières sur place. Il convient de rappeler qu’avant l’expédition, la Société MSS a pris l’attache de la subdivision des douanes de l’Aéroport de Dakar pour information.
C’est justement lors de ce transbordement qu’un fonctionnaire des Douanes de l’Aéroport de Dakar a hâtivement porté l’opération à la connaissance du Ministre Sénégalais de l’Economie et des Finances.
Informé de la situation, le Gouverneur de la BCRG, M. Louncény NABE, a immédiatement pris contact avec le Ministre Délégué au Budget, puis avec le Ministre de l’Economie et des Finances du Sénégal, lesquels, après avoir regretté l’incident, ont donné les instructions nécessaires pour résoudre le problème. Le Ministre Sénégalais de l’Economie et des Finances aurait pris soin auparavant de demander l’avis de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), qui, il faut le signaler, procède très souvent à des opérations similaires, bien sûr de plus grande ampleur.
Comme on peut le comprendre, cette opération ne concerne ni le Président de la République, ni aucune autre Autorité politique ou administrative du pays. C’est une opération propre à la Banque Centrale destinée à l’approvisionnement des comptes de correspondants pour couvrir les opérations de transfert des banques primaires qui constituent des dépôts physiques auprès d’elle à cet effet. La question a été clarifiée par le Gouverneur avec les Autorités compétentes de la République du Sénégal sans aucune autre intervention.
Pour finir, il n’est pas superflu de préciser que la question du transbordement à Dakar n’a été posée qu’en raison de la suspension des vols d’Emirates sur la Guinée.
La Banque Centrale se propose de demander à son partenaire MSS de requérir du journal un droit de réponse en première page, avec à l’appui des excuses au Président de la République de Guinée. Faute de quoi MSS serait en droit d’engager des poursuites judiciaires contre l’organe de presse en question.
On peut trouver ci-joint, les dossiers administratifs y afférents.
LA BANQUE CENTRALE DE LA REPUBLIQUE DE GUINEE
24 Commentaires
Touspareisl
En Août, 2014 (10:58 AM)Ces pays ne sont pas pauvres par hasard
Botta Fuggu
En Août, 2014 (11:02 AM)Mahouradia
En Août, 2014 (11:06 AM)Un compatriote de la diaspora
Gege
En Août, 2014 (11:09 AM)Mia
En Août, 2014 (11:14 AM)Tah
En Août, 2014 (11:26 AM)Laayelow
En Août, 2014 (11:33 AM)Sékou Touré
En Août, 2014 (11:51 AM)Opinion Lecteur
En Août, 2014 (12:19 PM)"Il est à préciser que, la société MSS compte procéder aux expéditions de USD 58.000.000, par tranche de USD 10.000.000 (dix millions) par jour ET Euros 20.000.000, EN UNE SEULE FOIS"
Avant de dire qu'il y a une différence de montant, VEUILLEZ nous prouver que le montant saisi est de 10 milliards ronds. Autant vous nous montrez des documents de la guinée, montrez nous le rapport de la douane sénégalaise qui atteste le montant exact SAISI si vous voulez être crédibles. Ah ! comme ça vous voulez que nous vous croyons sur parole et vous voulez en m^me temps que l'on doute de la bonne foi des autorités guinéennes qui ont envoyés des documents officiels ?
Jef Jel
En Août, 2014 (13:03 PM)Les explications fournies par ci et par là par les esclaves( MATHIOUBE) de Condé ne divertissent personne. Le refus de faire "circuler" les 10 milliards par des voies traçables indiquent bel et bien que c'est de l'argent volé au peuple guinéen.
MAINTENANT, C'EST CLAIR LE VOLEUR EST CONNU, C'EST AU PEUPLE GUINÉEN DE PRENDRE SES RESPONSABILITÉS AUX PROCHAINES ELECTIONS POUR VIDER CE ALPHA CONDE ( GOUJO) PRÉDATEUR DE LA GUINEE.
Malinke Warrior
En Août, 2014 (13:27 PM)@laayelow
En Août, 2014 (13:29 PM)Honoris Causa Diom Ak Diomb
En Août, 2014 (14:19 PM)Leverbemadiambaler
En Août, 2014 (15:36 PM)1passant
En Août, 2014 (15:44 PM)Max
En Août, 2014 (16:34 PM)Lebaolbaol
En Août, 2014 (16:42 PM)QUAND EST QUE DIX MILLIARDS DE FRANCS GUINEENS EST EGAL A DIX MILLIARDS DE FRS CFA ? quand meme soyez serieux ! Aucune crediblitè .
Re
En Août, 2014 (18:08 PM)Nationaliste
En Août, 2014 (18:15 PM)Jef Jel
En Août, 2014 (18:57 PM)Oh!!! les dès sont jetés, le prédateur N°1de la belle Guinée( de la Basse à la Haute Guinée, en passant la Moyenne Guinée sans oublier la verdoyante Guinée Forestière) c'est bien Alpha Condé.
Fall
En Août, 2014 (19:10 PM)Le nom de Abbas JABER est abondamment cité et le sera encore et toujours dans le cadre des audits concernant les pontes de l’ancien régime tant l’homme était au cœur du système mis en place pour le bradage et le pillage de nos ressources nationales.
En effet, Abbas JABER, négociant de petite envergure, inconnu du bataillon avant 2000, a accepté de jouer au rôle que tout homme honnête et digne se doit de refuser.
Obnubilé par l’appât du gain facile et voulant bruler les étapes pour arriver à un niveau social élevé ( avec jet privé, appartement luxueux, villa à milliards sur la cote d’Azur) que ni son cursus, ni son savoir faire ne lui permettraient d’atteindre, il avait accepté de servir de prête nom et de complice à certains de ces pontes et surtout la famille Wade.
Oubliait- il sans doute que tout avait une fin sur cette terre et que l’argent malhonnêtement gagné est toujours source de « fitna » pour son acquéreur ici bas et au-delà.
Il s’est retrouvé ainsi subitement à la tête d’un groupe dont la gestion dépassait très largement ses connaissances que ceux qui le pratiquent ont toujours jugées sommaires voire rudimentaires.
La rentabilité et les perspectives à moyen et long terme de ses sociétés ne l’ont guère intéressé et il s’est fixé comme seule ambition de les mettre en coupe réglée pour en profiter au maximum et le plus rapidement.
Et c’est pourquoi, les milieux professionnels européens de la finance et de l’industrie ne l’ont jamais admis en leur sein malgré les appuis dont il pouvait se prévaloir venant de ses parrains africains.
Le bradage de SUNEOR, de TRANSRAIL, de la SODEFITEX et la location du jet privé Falcon 50 sont entre autres les affaires scabreuses dans lesquelles son nom est mêlé pour toujours.
- La SONACOS lui avait été cédée à quelques 6 milliards alors qu’elle valait au moins 100 milliards.
- TRANSRAIL retirée des canadiens lui avait été bradée à presque rien de même que la SODEFITEX dans le cadre de la cession à DAGRIS
- Le Falcon 50 aux origines douteuses (don de la Chine ?) était géré par une société de son groupe et loué à l’Etat du Sénégal pour les déplacements de Karim WADE pour des dizaines de milliards.
Les patriotes et citoyens sénégalais savaient qu’il y avait une complicité manifeste entre Karim WADE et JABER et que ce dernier était son bras armé pour le pillage des ressources.
Des facilités de toutes sortes lui étaient accordées sans qu’aucun ministre ou fonctionnaire ne puisse s’y opposer (subventions, annulation d’impôts, exonération loyer immeuble SUNEOR, protection vis-à-vis des concurrents …).
Il était reçu à la Présidence de la République où ses problèmes étaient réglés au-dessus de la tête des Ministres.
Tout a été dit et redit sur cet « ami » du clan Wade et il faut avouer qu’avec lui le bilan est particulièrement lourd pour le Sénégal avec comme palmarès peu élogieux :
-La faillite de la première la filière agricole du pays et l’appauvrissement et le désarroi de millions de paysans.
-La faillite de Transrail et la mort programmée des chemins de fer Dakar/Bamako remplacée de plus en plus par le transport routier (affluence importante de camions maliens à Dakar)
-La mise à genoux de SUNEOR avec le non renouvellement de ses investissements et le départ de ses meilleurs cadres. Ses pertes cumulées se chiffrent réellement à des dizaines milliards sur 5 ans.
-Le doublement du prix de l’huile sur le marché intérieur passe de 600F à 1200F entre 2005 et 2012.
-La chute des exportations d’huile du Sénégal qui était jadis premier exportateur mondial.
-Un rude coup porté aux finances publiques avec la location à l’Etat du Sénégal d’u jet privé surfacturé à souhait.
-La chute de la production cotonnière et la baisse drastique des activités de SODEFITEX.
Aucun opérateur économique sénégalais, même du secteur informel, ne pouvait faire pire que ce qu’a fait « l’ami « des Wade en si peu de temps!
Avec le départ de WADE, les sénégalais s’attendaient à la remise en cause de ces bradages et l’arrêt immédiat du pillage de SUNEOR et des autres sociétés qui lui ont été cédées.
Mais hélas le pillage continu de plus belle comme le montre la poursuite des surfacturations des huiles sur le marché intérieur.
En effet sur chaque tonne d’huile vendue à SUNEOR, JABER continu de prélever une marge de 25.000F à 40.000F que SUNEOR répercute aux consommateurs sénégalais.
Selon les experts, il suffirait qu’une telle ponction saute pour voir baisser le prix de l’huile sur le marché et ça, le gouvernement ne l’ignore pas.
Ce qui est surtout troublant, c’est que quand il s’est agi de baisser les prix des denrées en Mai dernier, les nouvelles autorités n’avaient demandé aucun effort à SUNEOR, se contentant de négocier avec l’UNACOIS qui véritablement ne pouvait rien faire.
Le pouvoir actuel laisse donc faire et on est tenté de croire qu’avec ses moyens financiers énormes tirés du pillage de notre économie JABER a trouvé de nouveaux » amis » ou partenaires au plus haut sommet de l’Etat.
En tout cas, tout porte à le faire croire et le bruit court déjà qu’il aurait vendu son ancien complice Karim WADE pour bénéficier d’une impunité.
Le nouveau pouvoir est attendu sur le dossier important du bradage de la SONACOS et de son patrimoine foncier évalué aujourd’hui à plus de 60 milliards. Il est aussi attendu sur la continuation des fraudes fiscales, sous facturation et surfacturation ordonnées par JABER au détriment de SUNEOR, des consommateurs, paysans sénégalais et du Trésor public.
Il faut rappeler que l’Etat reste actionnaire à hauteur de 20% dans le capital de ka SUNEOR et n’a jamais pu recevoir de dividendes à cause de ce pillage.
La vigilance s’impose également pour la récupération des dizaines de milliards surfacturés à l’Etat pour la location du jet privé géré par JABER.
En tout cas, Abbas JABER ne peut pas s’en sortir aussi facilement en ayant été complice au plus haut niveau du principal fossoyeur de notre économie au cours de la période de l’alternance.
La Brigade de Recherches disposera de suffisamment d’éléments pour éclairer la lanterne des sénégalais et des autorités judiciaires sur le cas de Jaber qu’on peut qualifier de véritable cancer pour notre économie.
Son dossier doit aussi constituer le premier que le Ministre de la Bonne Gouvernance doit ouvrir sur le plan économique. Il le connait à merveille pour avoir déjà mené des investigations précises sur tout ce qui vient d’être développé dans ce texte. ALPHA BOUYO BARRY
46.Posté par saliou dieng zaltamba le 20/11/2012 09:01 | Alerter
A Tamba les gens me demandent de rejoindre Mr Baldé mais j'hésite encore
45.Posté par La Kiné le 20/11/2012 09:01 | Alerter
Réponse
En Août, 2014 (19:23 PM)Maandu
En Août, 2014 (20:15 PM)Diallo60
En Août, 2014 (22:55 PM)Participer à la Discussion