À la suite de son départ de la Direction générale de la police nationale (Dgpn), Anna Sémou Faye sera prochainement nommée ambassadeur du Sénégal dans un pays qualifié de « très réputé ». Une proposition fortement soutenue, selon « Libération », par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo, avec qui elle a cheminé sur une période légèrement supérieure à 2 ans, sans le moindre heurt.
40 Commentaires
Justicier
En Octobre, 2015 (08:24 AM)Beau Pays 999
En Octobre, 2015 (08:30 AM)Dakar a casamance
Dakar à Bamako
Dakar à St. Louis
Casamance a kedougou
Kedougou à dagana
Imaginons le nombre d emploi ke sa peux créer et l économie ,,,,
Je pense ke y'a une forte demande ,,,,
Alors me le président pliz pliz pliz,,,,
Un économiste allemand ma di un jour ceci ( le premier pays ouest africa a développée son réseau ferré sera la première puissance dans la sous région,,,)le senegal dispose d un atout majeur car le Mali est dépendant de nous pour le transport de marchandise via le port autonome de Dakar .... Mais le Ghana et la Cote d ivoir ont compris sa donc essaye d attirer les malien par tout les moyens....et nous sénégalais on vas regarder k ils nous volent notre meilleur client après on pleur sur notre sort,,,,l autoroute Dakar Bamako je pense c était plus rentable en terme d économie pour notre beau pays.....
Anonyme
En Octobre, 2015 (08:33 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (08:40 AM)Bintou
Milma
En Octobre, 2015 (08:43 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (08:55 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (09:01 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (09:08 AM)Seulement, un ambassadeur pour être efficace doit passer par la case "diplomatie" sinon bonjour les dégâts. Sachant ce qu'un secrétaire d'ambassade ou ambassadeur peut commettre comme âneries ( Marseille) pas de souci, elle sera à sa place Anne Seymou Faye.
Anonyme Amy Faye
En Octobre, 2015 (09:47 AM)Vous avez du Mérite.
Bonne chance pour votre nouveau post.
Anonyme
En Octobre, 2015 (09:58 AM)pour devenir voyant professionnel.
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Anonyme
En Octobre, 2015 (10:17 AM)Anonymeberou
En Octobre, 2015 (10:20 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (10:33 AM)Afrique Libre
En Octobre, 2015 (11:20 AM)Laurent GBAGBO
Anonyme
En Octobre, 2015 (11:40 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (11:44 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (11:48 AM)Victoire Pour Mon Afrique
En Octobre, 2015 (11:49 AM)Ivoiriennes, Ivoiriens !
I- Tout est donc joué. Rien n’est donc plus jouable dans une Côte d’Ivoire profondément divisée !
A la veille de l’élection présidentielle en Côte d’Ivoire, en cette année 2015, des formules qui placent les Ivoiriens devant un ultimatum nous viennent à l’esprit :
- Silence, on vote en Côte d’Ivoire pour porter le chef de l’Etat-candidat à la présidence de la République !
- Les jeux sont faits. Rien ne va plus. Comme dans un casino !
- Rompez les rangs ! Circulez, il n’y a rien à voir !
- Dormez tranquilles. Le chef de l’Etat-candidat à l’élection présidentielle 2015 est déjà élu. Nous maitrisons la situation !
Tout est donc joué à l’élection présidentielle 2015. Rien n’est donc plus jouable !
Tout est donc joué ! Rien n’est donc plus jouable dans une Côte d’Ivoire qui devient un long cauchemar confus !
Tout est donc joué ! Rien n’est donc plus jouable dans une Côte d’Ivoire qui ne s’aime plus quand elle se regarde dans le miroir !
Tout est donc joué ! Rien n’est donc plus jouable dans une Côte d’Ivoire où les tendances lourdes de la politique montrent surtout un mélange détonant d’apathie civique, de silence prostré et de colère avalée !
Tout est donc joué ! Rien n’est donc plus jouable dans une Côte d’Ivoire qui sent le soufre et qui fait penser au diable !
Tout simplement parce que le chef de l’Etat-candidat, M. Alassane Ouattara, a pris le large, comme on le dit dans le Vendée Globe. Il a fait le choix de privilégier le passage en force tant pour les questions liées à son éligibilité que pour celles tenant à l’organisation d’une élection présidentielle juste et transparente, au détriment de la réconciliation.
En effet, parvenu au pouvoir dans des conditions tragiques, le chef de l’Etat-candidat ne s’est pas transformé en homme d’Etat pour réussir la réconciliation. Il veut la réconciliation par la peur. Il ne veut pas la réconciliation dans l’honneur. Or, la réconciliation est confiance. Elle n’est pas méfiance. Quand on sort d’une guerre, il faut faire la guerre à la guerre. Un Etat moderne est un Etat qui solde la guerre civile atroce en réunissant les deux parties. Réconcilier, c’est accepter de débattre avec sérénité de tous les sujets qui plombent l’avenir d’un pays comme la Côte d’Ivoire. Aussi, ne saurait-il y avoir de sujets qui fâchent.
Vivre en démocratie, c’est écouter ce qu’on ne veut pas entendre. Or, le chef de l’Etat-candidat veut la réconciliation mais à ses conditions. Cette attitude heurte l’éthique même de la réconciliation. Elle est la poursuite de la guerre. La réconciliation authentique, celle que pratiquent tous les peuples de la terre des hommes, on la fait toujours et partout à conditions partagées. On ne se réconcilie jamais seul parce qu'une partie n'a jamais totalement tort et l'autre, jamais totalement raison. Car c’est dans la contradiction que naît la recherche de la vérité qui vient booster la réconciliation au nom de la paix, facteur de progrès.
Comment peut-on gagner le développement et la paix si on n’arrive pas à inculquer l’art du vivre ensemble ? “ Vivre ensemble“ n’est-il d’ailleurs pas le slogan qu’affectionne le Rassemblement des Républicains (RDR), ce parti dont M. Alassane Ouattara demeure toujours le président quoique chef de l’Etat ?
II- L’esprit de compromis et d’ouverture du Président Laurent Gbagbo foulé aux pieds
Pour recevoir il faut donner, il faut avoir la paume ouverte. Et c’est celui qui est aux commandes de l’Etat qui peut le plus donner. En effet, qui peut appeler à l’union sinon celui qui gouverne ? Le président Laurent Gbagbo l’a si bien compris qu’il a tant donné, même s’il n’a rien reçu en retour. L’essentiel, ici, est qu’il a su se libérer de son idéologie, de son système, de son camp et du Front Populaire Ivoirien (FPI), son parti, pour devenir l’homme de la Nation. Il est resté favorable aux compromis parce que, historien de formation, il sait que c’est ainsi qu’on construit un Etat moderne, une Nation pluriethnique et pluriconfessionnelle. Qui veut faire la réconciliation et la paix doit donc savoir faire des compromis et accepter d’en faire. Le Président Laurent Gbagbo nous a enseignés, par son comportement, son sens de l’éthique et des valeurs, qu’une fois que l’on est au pouvoir et quelles que soient les vexations subies, il faut laisser derrière soi l’amertume, la haine et la vengeance, sinon on reste à jamais leur prisonnier.
Les négociations pour la réconciliation et la paix sont en elles-mêmes une voie de guérison individuelle et collective, une thérapie. Elles ne peuvent aboutir que si l’on a la volonté de regarder au plus profond de soi-même, dans les replis de son âme pour en extirper les démons qui l’habitent. L’une des choses les plus importantes que le Président Laurent Gbagbo a apprises en négociant la réconciliation et la paix est qu’il devait accepter de se changer lui-même pour pouvoir changer ses interlocuteurs. Car, ils sont des êtres humains, comme lui, avec leurs parcours, leurs mythes, leurs œuvres, leur soif de dignité. En acceptant de se changer lui-même pour changer les autres, dans l’intérêt bien compris de la Nation, le Président Laurent Gbagbo s’est inscrit dans l’histoire de son pays, la Côte d’Ivoire, et non simplement dans celle de son camp qui, du reste, n’est ni séparé ni séparable de la Côte d’Ivoire. En cela, il a su marquer son époque. Il est parvenu à incarner des valeurs et des espérances. Il s’est ainsi hissé au rang d’homme d’Etat.
Au pouvoir, il a formé un gouvernement si peu ordinaire que l’on pouvait qualifier, à proprement parler, d’équipe de rivaux, avec 72% des portefeuilles ministériels aux mains du Rassemblement des Houphouétistes pour la Démocratie et la Paix (RHDP, opposition). Pour sa générosité de cœur, son sens de l’humain, son sens du compromis, son esprit d’ouverture, son sens élevé de l’Etat et sa capacité de dépassement, le peuple de Côte d’Ivoire l’a réélu en 2010 mais les mondialisateurs de ce monde sont venus invalider les résultats officiels du Conseil Constitutionnel.
A l’opposé, la boîte à outils de l’actuel chef de l’Etat-candidat, elle, se réduit à un anti-gbagboisme primaire et obsessionnel, à un optimisme déconnecté du réel. Sous l’œil complaisant et complice des bien-pensants et faiseurs de systèmes, la Côte d’Ivoire est devenue pour les parents, sympathisants ou supposés tels du président Laurent Gbagbo, un Disneyland des horreurs : traques, enlèvements, gel des avoirs, exil, emprisonnements, tortures ou exécutions sommaires et extra judiciaires. Aucune parole, aucun geste du Chef de l’Etat-candidat M. Alassane Ouattara, ne sont venus dissiper le mal vivre des Ivoiriens et extirper la peur immonde qui s’est installée au cœur de leurs vies. C’est dans cette Côte d’Ivoire où le soleil se lève, mais ne brille pas, que survient l’élection présidentielle, ce moment de tous les dangers et ceci même dans un Etat normal.
Le grossier passage en force du chef de l’Etat-candidat ressemble à la chronique d’un malheur annoncé. En effet, chacun de nous sent, confusément, l’imminence de graves évènements. Il ne peut en être autrement avec un candidat non éligible rendu éligible à la fois par un tour de passe-passe juridique et judiciaire ; avec l’insécurité au coin de la rue, dans les domiciles et autres lieux ; une commission électorale aux ordres, une liste électorale aussi secrète que la formule de Coca-cola, des résultats connus d’avance avec à la clé des pourcentages généreusement octroyés à des candidats selon leur degré d’allégeance à M. Alassane Ouattara et selon leur capacité de nuisance.
Si la Commission Electorale Indépendante (CEI) ne fait pas l’élection, elle y a une capacité d’influence et de nuisance. Le président de la CEI, M. Youssouf Bakayoko, toujours aux manettes, l’a suffisamment démontré en 2010, par cette tragique et interminable nuit où la Côte d’Ivoire a attendu en vain qu’il fût minuit. Et où l’horloge du temps s’est bloquée à la Radiodiffusion Télévision Ivoirienne (RTI), selon le bon vouloir de ce président de la CEI et de ses puissants alliés et soutiens, pour se transporter clandestinement et se débloquer subitement à l’Hôtel du Golf, Quartier Général du candidat Alassane Dramane Ouattara.
En cette année 2015, dans son obsession d’opérer un passage en force, M. Alassane Ouattara et ses appuis ne voient rien venir. C’est pourtant gros comme le point de penalty dans la surface de réparation. Il est même presque établi qu’une victoire dans de telles conditions restera toujours une victoire à la Pyrrhus, éphémère, une victoire d’étape mais sans doute une défaite d’avenir.
III- Vers la victoire en déchantant.
En effet, aucune victoire ne peut s’obtenir dans la défaite du processus démocratique. La fin ne justifie pas les moyens, c’est un fondement de la démocratie. L’élection présidentielle à venir, qui voit grandir la défiance de l’électorat, peut être l’évènement fortuit qui fait dégringoler l’échafaudage, par le déchaînement des forces aveugles de violences et de haine. Il est toujours fascinant et inquiétant de voir comment l’histoire peut se mettre en mouvement sur des têtes d’épingle et déclencher une terrible secousse institutionnelle.
En 2010, dans le dessein funeste de contraindre le Président Laurent Gbagbo à organiser coûte que coûte l’élection présidentielle, l’argument - massue qui devrait laisser tout sceptique sans réplique - était que c’est par les élections générales que la Côte d’Ivoire parviendrait à la paix. Les élections ont été organisées et la Côte d’Ivoire n’est toujours pas en paix, et encore moins réconciliée ! Les mêmes causes perdurant en 2015 risquent de produire les mêmes effets dramatiques. Hélas !
Au final, la Côte d’Ivoire ne se comprend plus. Il n’y a qu’à regarder les visages des Ivoiriens : même quand ils sourient, les yeux vous disent la douleur. Il n’est pas loin le jour où il nous faudra préparer fleurs et couronnes pour l’enterrement de l’humour, cette carapace protectrice de l’Ivoirien.
Comme on le voit, l’affliction ivoirienne est profonde et le FPI, toujours aux côtés du Peuple, se doit de lancer un mot d’ordre devant l’urgente nécessité de sauver notre pays.
IV- Le mot d’ordre du FPI : Barrage par tous les moyens légaux !
Nous avons un pays à reconstruire, une nation à bâtir. Le FPI, ce parti qui s’inscrit toujours dans l’action responsable, a le devoir de protéger la Côte d’Ivoire d’une aventure sans lendemain. Entre le FPI, le Président Laurent Gbagbo et le Peuple de Côte d’Ivoire, il y a un contrat de confiance à durée illimitée, une fidélité et une loyauté à perpétuité. Le FPI et le Président Laurent Gbagbo portent la Côte d’Ivoire comme un tatouage indélébile. Le FPI estime qu’il n’est ni moral ni éthique de s’octroyer un droit que l’on refuse aux autres.
En s’arc-boutant sur une éligibilité à controverse, en organisant une élection présidentielle pipée d’avance, le Chef de l’Etat-candidat, M. Alassane Ouattara, prive la Côte d’Ivoire d’une élection juste, ouverte, transparente et apaisée, privant ainsi le FPI, le parti façonné par les élections et pour les élections, du droit de faire campagne à l’élection présidentielle, ce temps fort de respiration démocratique, ce moment de dialogue, d’écoute et de projet dans toute société digne de considération. Pourtant, le FPI qui a un candidat, une audience avérée et un projet, aimerait aussi, à l’instar des autres formations politiques et candidats, aller à la rencontre des populations pour battre campagne et faire triompher son candidat porteur de son projet de société. Par amour pour la Côte d’Ivoire, des Ivoiriennes, des Ivoiriens mais aussi par amour des véritables amis de la Côte d’Ivoire, le FPI qui est l’incarnation des valeurs et des espérances des populations, refuse de se faire le complice et l’accompagnateur bienveillant et docile d’une fraude annoncée.
Aussi, le FPI se tourne-t-il avec gravité vers le Peuple de Côte d’Ivoire pour lui dire, d’abord les yeux dans les yeux, que le Parti et le Président Laurent Gbagbo ne sont pas candidats à la présente élection présidentielle ; Ensuite, que le Parti et le Président Laurent Gbagbo n’ont pas de candidat à la présente élection présidentielle ; Que le Parti et le Président Laurent Gbagbo ne soutiennent aucun des candidats à la présente élection présidentielle ; Enfin, que le Parti et le Président Laurent Gbagbo n’ont donné aucun mandat à aucun des candidats engagés dans la présente élection présidentielle, à l’effet de les représenter et parler en leur nom en faisant des promesses inconsidérées à tout vent, qui n’engagent qu’eux seuls.
En conséquence, le mot d’ordre que le FPI lance au Peuple de Côte d’Ivoire est sans ambiguïté aucune : puisque le Chef de l’Etat-candidat, par son passage en force, fait barrage à la participation du Parti du Président Laurent Gbagbo, mais aussi à celle d’autres candidats à l’élection présidentielle 2015, le FPI , à son tour, exhorte instamment le Peuple de Côte d’Ivoire à faire barrage par tous les moyens légaux à l’élection présidentielle du dimanche 25 Octobre 2015. La participation massive au scrutin étant un indicateur primordial de la crédibilité d’une élection, le Peuple de Côte d’Ivoire a le devoir d’ôter à l’élection présidentielle 2015, toute sa crédibilité en observant le présent mot d’ordre. Nulle personne aimant la Côte d’Ivoire, à quelque niveau que ce soit, ne doit se mettre en marge de ce mot d’ordre ou ruser avec lui.
L’heure n’est donc plus aux temps des hésitations, des calculs, des doutes et de la peur. Nous voici maintenant au temps de la conviction, de la foi, de la cohérence et de l’engagement. Les Peuples et les marchés financiers ont un point commun : une fois lancés, on ne les arrête plus.
En lançant d’abord le mot d’ordre de faire barrage à l’élection présidentielle par tous les moyens légaux, le FPI est convaincu en cela qu’avec l’adhésion du Peuple, l’échec est peu probable ; mais sans cette adhésion, rien ne peut réussir.
En lançant ensuite, le mot d’ordre de faire barrage à l’élection présidentielle par tous les moyens légaux, le FPI préfère prendre les devants avant que les devants ne le prennent, comme on dit en Martinique.
Peuple de Côte d’Ivoire,
Avec le respect scrupuleux et responsable du mot d’ordre, « Nous aurons raison parce que nous avons raison » (Anatole France). Nous avons raison parce que nous sommes dans la vérité historique. Or, « Il y a quelque chose de plus fort que toutes les armées du monde, c’est l’idée dont l’heure a sonné » (Victor Hugo). Et l’idée dont l’heure a sonné est que la Côte d’Ivoire refuse que son destin se décide ailleurs et par d’autres.
Le FPI sait que l’avenir nous réserve la joie, la paix et l’épanouissement. IL est tranquille et serein parce qu’il sait que la Côte d’Ivoire se réveillera avec un jour nouveau. La Côte d’Ivoire sera un grand pays qui va donner à l’Afrique et au monde l’exemple d’un Peuple soudé, formé et fort.
Il y a toujours une clarté dans les ténèbres pour celui qui sait voir. Or, Ivoiriens, vous savez voir loin.
Salomon a dit cette phrase : « Aussi longue que soit la nuit, le jour se lève toujours ». Dans la lutte et dans l’espoir, salutations affectueuses à toutes et à tous.
Sangaré Abou Drahamane,
Membre fondateur du FPI
Premier Vice-président assurant l’intérim
du Président du FPI Laurent Gbagbo
Anonyme Wakh Sakhalatt
En Octobre, 2015 (12:02 PM)Swiss Diaspora
En Octobre, 2015 (12:03 PM)Rien Contre
En Octobre, 2015 (12:31 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (12:39 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (12:40 PM)Ngor Wassila Ndome
En Octobre, 2015 (13:04 PM)Presi et les autres femmes serrées Commissaires de Police ?
Il faut les nommer waay
Diokandiol
Larmes Du Mae
En Octobre, 2015 (13:31 PM)Moi glandes lacrymales ce qui précipitent la chute de mon contenu c'est quand on se joue de la diplomatie croyant que même un chauffeur (ce n’est pas péjoratif) peut être deuxième conseiller et un gardien un premier secrétaire. Mieux toute une famille s’offre le lux de se prévaloir (Né pour être Ambassadeur) et se voit plusieurs de ses membres (on ne sait pour quel service rendu à la nation) bombardés Ambassadeurs.
Or au même moment des jeunes sénégalais bardés de diplômes ayant rampés sont laissés simples Attaché ou Deuxième secrétaire...ou se trouve l'efficacité et la recherche du rendement?
Je pleure depuis mais n'ayant pas de défenseurs on s'en fout de la quantité que j'ai versée (parce que tant que je bénéficie de promotion au regard de ma proximité avec ceux qui nomment ca va..ca marche bien) au point que l'œil de la diplomatie craint la cécité.....
AY WAAYYY la République n'est pas faite que de diplomates...pourquoi un ex DG de la Police ne peut jamais prétendre occuper le fauteuil du DG des impôts et domaines? ou du directeur du trésor public? ou de celui du travail et de la sécurité sociale....ici
même le terme sécurité pourrait coller à ce qu'il sait faire???
Vous prenez la diplomatie qui, naguère, a été la plus grande ressource naturelle du Sénégal, faisant sa belle image et sa fierté a travers le monde et vous en faites l'équivalent de "MBEUBEUSS" bis, au point que même les cadres formés pour ce métier et les jeunes sénégalais diplômés des sciences politiques, qui y apportent valablement leur contribution, ont aujourd’hui, honte de se faire appeler diplomate....
C'est dommage j'ai vraiment peur pour ce pays et quand je cesserai de couler ce sera la cécité du MAE et ca c’est pour bientôt.......
On vous dira de bloquer ou d'enlever ce post mais que ceux qui vous le diront sachent que demain ils répondront du mal dont souffre notre diplomatie….
D’autres, les servis, diront que c’est un mecontent qui parle…qu’a cela ne tienne. Ca suffit de confondre émergence et dégénérescence et le parent pauvre de tout ca c’est uniquement la DIPLOMATIE…
La diplomatie, domaine par excellence réserve aux gens sérieux et amoureux de leur pays et non aux farceurs et complexés revanchards qui s'y débattent pour enterrer ceux qui ont valablement servi ce pays !!!
A bon entendeur glandes lacrymales diplomatiques vous saluent
Anonyme
En Octobre, 2015 (13:40 PM)Sama
En Octobre, 2015 (14:10 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (14:46 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (14:49 PM)Republique Toucouleure
En Octobre, 2015 (15:50 PM)Manchan
En Octobre, 2015 (15:59 PM)taz-smile:
Anonyme
En Octobre, 2015 (16:02 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (16:35 PM)Baj
En Octobre, 2015 (16:52 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (19:24 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (02:42 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (07:30 AM)les autres ethnies dehors
Anonyme Aissatou Ndiaye
En Octobre, 2015 (11:24 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (15:57 PM)Séétlou
En Octobre, 2015 (09:39 AM)BONNE CONTINUATION.
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