Le Président Bassirou Diomaye Faye a quitté le territoire sénégalais ce mardi 30 avril. Pour cette troisième sortie depuis son accession à la magistrature suprême, le chef de l'Etat rend visite à son homologue de la Guinée Bissau, Umaro Sissoco Embalo. Une rencontre travail mais aussi d'amitié.
Bassirou Diomaye Faye va, à travers cette visite, travailler au renforcement des liens historiques de bon voisinage et de brassage socio-culturel entre le Sénégal et ses voisins. Il traduit, par ailleurs, la place de choix qu'occupe l'axe Dakar-Bissau dans la coopération bilatérale.
Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a été salué par le Premier ministre ainsi que les autorités civiles et militaires. Le retour du Président de la République est prévu cet après-midi.
8 Commentaires
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En Avril, 2024 (11:34 AM)Reply_author
En Avril, 2024 (13:52 PM)Reply_author
En Avril, 2024 (15:53 PM)Reply_author
En Avril, 2024 (15:53 PM)Amsa
En Avril, 2024 (11:24 AM)Reply_author
En Avril, 2024 (15:55 PM)Machalla
En Avril, 2024 (11:29 AM)Senegal Rek
En Avril, 2024 (11:30 AM)Quand est ce qu'ils vont arrêter les travaux du Parc technologique numérique de Diamniado, le pont de Rosso, l'autoroute Dakar Kaolack, l'autoroute Dakar Saint Louis, la rénovation du chemin de fer Dakar Tambacounda, la construction du CHU le Dantec, la construction des hôpitaux de Matam, Tivaoune et Saint Louis, le programme routier, la modernisation du transport routier, le programme de lutte contre les inondations, et...et ... je crains que ces nullards d'inspecteurs des impôts ne passent cinq à inaugurer les chantiers laissés par le GRAND BÂTISSEUR MACKY SALL.
En tout cas , je demande à BBY de dresser la liste exhaustive des projets en cours de construction initiés par MACKY SALL pour qu'ils ne soient intégrés au PROZET du GRAND ILLUSIONNISTE OUSMANE SONKO. IL FAUDRA LEUR RAPPELER À CHAQUE INAUGURATION QUE C'EST UN PROJET DE MACKY SALL LE GRAND BÂTISSEUR
Azele
En Avril, 2024 (12:13 PM)À côté de ces faits graves, qui portent indubitablement la marque de l'ancien président Macky Sall, il y a eu des crimes économiques commis à très large échelle. Ceci a été prouvé par les rapports, notamment de la Cour des Comptes et de l'OFNAC. Le plus emblématique est le rapport sur le Fonds Covid, qui a montré qu'au moment où les Sénégalais étaient confinés chez eux, les responsables politiques ainsi que des hommes et femmes d’affaire proche du pouvoir, s'enrichissaient honteusement sur le dos des Sénégalais, avec un système huilé de corruption, de surfacturation, voire de fausses factures. Le dernier scandale dont toute la presse parle ce matin est le bradage des terres de la corniche dakaroise, où les pontes de l'ancien régime se sont vu octroyer tous les terrains en face du littoral, alors que ces terrains étaient à priori non aedificandi. Ces pontes de l'ancien régime y ont entrepris des constructions de plusieurs milliards, dans un pays où la majorité des Sénégalais peinent à accéder à la nourriture et aux soins de santé de base.
Pour toutes ces raisons, je ne vois au nom de quelle immunité l'ancien président ne devrait pas répondre de ces actes devant un tribunal où tous ses droits seront respectés. Ceci sera sans aucun doute un véritable signe de rupture des nouvelles autorités et servira d'exemple dans le futur pour tout président qui serait tenté de reproduire de tels actes.
Il est crucial de comprendre la notion de reddition des comptes dans un contexte démocratique. La reddition des comptes implique que les dirigeants politiques, une fois élus ou nommés, sont tenus responsables de leurs actions et doivent rendre des comptes à la population et aux institutions démocratiques. Cela signifie qu'ils doivent être transparents dans leurs décisions et leurs actions, et qu'ils doivent être jugés équitablement s'ils sont accusés de mauvaise gestion, d'abus de pouvoir ou de corruption. Dans de nombreux pays, la reddition des comptes est garantie par la séparation des pouvoirs et par des institutions telles que les tribunaux, les organes de surveillance et les médias indépendants. Des dirigeants politiques ont été poursuivis et jugés pour leurs actes dans le passé, comme cela a été le cas avec des dictateurs déchus tels que Hosni Moubarak en Égypte ou Omar al-Bachir au Soudan. Ces exemples servent à rappeler que personne n'est au-dessus de la loi et que la justice doit être rendue de manière équitable pour assurer l'intégrité et la légitimité du système démocratique.
EHD Zone B Dakar le 30/04/24
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Senegal Rek
En Avril, 2024 (12:33 PM)Séréro Ndoung Toung
En Avril, 2024 (13:13 PM)Participer à la Discussion