Quelle ne fut pas la surprise, hier dans la soirée, des policiers au moment de la confirmation de l'identité de cet homme âgé de 38 ans. Faye Tamsir avait été quelques instants plus tôt interpellé sur la rue Paradis (8e) à Marseille par une patrouille de la brigade anti-criminalité (Bac).
Une riveraine avait prévenu la police de ce qu'un homme, passablement alcoolisé, vociférait dans la rue tout en exhibant son sexe, allant même jusqu'à se frotter à un compteur France Telecom. Alors que les policiers embarquaient l'individu, celui-ci les insultait et les menaçait de mort. Il n'a fallu que quelques coups de téléphone pour confirmer ses dires : il s'agissait du consul général du Sénégal à Marseille.
Lequel a été récupéré au commissariat du 8e arrondissement par son épouse. Pour l'heure, au vu de son immunité diplomatique, aucune poursuite n'est engagée contre le représentant des Sénégalais à Marseille.
87 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2015 (14:01 PM)Mane
En Juillet, 2015 (14:03 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:04 PM)Swiss Diaspora
En Juillet, 2015 (14:05 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:05 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:05 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:06 PM)Marocain
En Juillet, 2015 (14:07 PM)Ce type ne représente pas le Sénégal et les Sénégalais
Milk
En Juillet, 2015 (14:09 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:10 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:10 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:11 PM)Khadim
En Juillet, 2015 (14:11 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:11 PM)Bakasn
En Juillet, 2015 (14:12 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:15 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:15 PM)En vérité, il est somme toute essentiel que la liberté d’opinion, d’expression et d’information, ainsi que la liberté des médias, qui constituent l’un des fondements essentiels d’une société démocratique, ne puissent aucunement être limitées par ces valises de « faux secrets » (secret de défense, secret de l’instruction etc…). Ces libertés sont des droits et non des privilèges, et sous ce prisme, elles doivent être absolument garanties.
Donc, il est inquiétant de constater que des journalistes sont arrêtés simplement parce qu’ils ont fait leur travail. Cette véritable atteinte à la liberté de l’information et du traitement des journalistes, fait que la situation de la Presse se détériore dans notre pays sous couvert de ces « secrets » ….de polichinelle. C’est que le pire déficit est le déficit de bon sens. Quelque chose m’échappe certainement… !
Cependant, le journalisme sénégalais doit s’affranchir d’un certain amateurisme qui le caractérise parfois et faire (enfin) sa révolution. Loin de moi, l’idée d’incriminer toute une profession. C’est que tout se passe comme dans un cancer, une seule cellule maligne n’engage pas la vie du patient mais sa multiplication et ses métastases vont mettre en péril la vie de l’hôte qui l’héberge ! Est-il déjà trop tard pour appliquer d’urgence les thérapies adaptées ? Evidemment, la réponse est non.
Et (c’est d’actualité) la Presse Sénégalaise doit (re)prendre conscience que le changement, c’est maintenant. Mais cet essor est conditionné par davantage de rigueur et de professionnalisme et par le respect des règles de la déontologie :
D’abord, combattre le manque de professionnalisme qui découle d’une absence de formation et d’un amalgame entre information journalistique et militantisme politique. Jusqu’à présent, on devient journaliste par défaut ou par militantisme politique. Cela a pour conséquence entre autre, une absence d’analyse sérieuse ou de critiques sur l’actualité, de manière objective, construite et argumentée.
Ensuite, le journaliste dans l’exercice de son métier, doit s’employer à jeter un regard autocritique sur tout ce qu’il dit, écrit et leur finalité. C’est le cas des titres ronflants au contenu vide, des titres presque identiques, qui indiquent qu’il n’y a pas un média qui ne soit la redondance de son concurrent, des contre-vérités postées en manchette pour se sublimer dans le sensationnel etc.
Enfin, une presse libre et efficace doit veiller à ses devoirs. Notamment celui d’être honnête et intègre, de ne pas tomber dans la facilité et les articles fracassants qui font d’abord vendre sans pour autant bien informer.
« Un homme, ça s’oblige » disait Camus, un journaliste aussi. Ce n’est pas parce qu’on a le micro, la plume, la camera ou le stylo que l’on a le droit de tout dire, tout écrire ou tout filmer. Les libertés auxquelles aspire une presse émergente et bien ancrée dans sa posture informative et objective, sont contreparties de tout autant de responsabilités.
Aujourd’hui, la Presse nationale doit consacrer plus de temps à fouiller les vraies questions de développement, à demander des explications au gouvernement sur la situation de l‘énergie, de l’hydraulique, de l’emploi des jeunes, des réformes agricoles et bien d’autres, c’est en cela, qu’elle prendra une part active dans le développement de ce pays, bien décliné dans le plan Sénégal émergent en route et cher au Président de la République, Macky Sall.
Le Sénégal a besoin d’une presse publique et privée, capable d’épouser, au-delà des clivages politiques et idéologiques, les devoirs d’un contre-pouvoir (une presse téméraire et critique, une presse qui risque et va au-delà du visible). Elle doit donner la parole aux personnes indiquées pour faire entendre à nos dirigeants les profondes aspirations du bas peuple. Elle doit être le porte-voix de ceux-là qui sont au plus bas de l’échelle, de ces âmes vaillantes qui se battent sans succès contre le quotidien, de ces hommes et femmes qui sont dans la fosse, ceux-ci participent encore plus à la vie sociale et culturelle du pays autant que nos « communicants » en costume et col blanc.
Le cap de l’émergence n’est pas aisé, ni donné. C’est un combat de tous les instants, surtout un travail incessant contre la routine, la facilité, le confort, l’ordre trop parfait. In finé, pour l’édification d’une démocratie forte et enracinée dans les valeurs du pays, il nous faut une Presse plus professionnelle et soucieuse de sa responsabilité. Ce que les Sénégalais attendent des médias n’est pas si compliqué à leur fournir : du divertissement d’un côté, de l’information et de l’analyse de l’autre.
Par manque de bon sens, nous allons dans le mauvais sens. Alors, plaidons pour une Presse Sénégalaise émergente, pilier majeur d’un Sénégal émergent !
Alioune Badara Niang
Anonyme
En Juillet, 2015 (14:15 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:16 PM)En vérité, il est somme toute essentiel que la liberté d’opinion, d’expression et d’information, ainsi que la liberté des médias, qui constituent l’un des fondements essentiels d’une société démocratique, ne puissent aucunement être limitées par ces valises de « faux secrets » (secret de défense, secret de l’instruction etc…). Ces libertés sont des droits et non des privilèges, et sous ce prisme, elles doivent être absolument garanties.
Donc, il est inquiétant de constater que des journalistes sont arrêtés simplement parce qu’ils ont fait leur travail. Cette véritable atteinte à la liberté de l’information et du traitement des journalistes, fait que la situation de la Presse se détériore dans notre pays sous couvert de ces « secrets » ….de polichinelle. C’est que le pire déficit est le déficit de bon sens. Quelque chose m’échappe certainement… !
Cependant, le journalisme sénégalais doit s’affranchir d’un certain amateurisme qui le caractérise parfois et faire (enfin) sa révolution. Loin de moi, l’idée d’incriminer toute une profession. C’est que tout se passe comme dans un cancer, une seule cellule maligne n’engage pas la vie du patient mais sa multiplication et ses métastases vont mettre en péril la vie de l’hôte qui l’héberge ! Est-il déjà trop tard pour appliquer d’urgence les thérapies adaptées ? Evidemment, la réponse est non.
Et (c’est d’actualité) la Presse Sénégalaise doit (re)prendre conscience que le changement, c’est maintenant. Mais cet essor est conditionné par davantage de rigueur et de professionnalisme et par le respect des règles de la déontologie :
D’abord, combattre le manque de professionnalisme qui découle d’une absence de formation et d’un amalgame entre information journalistique et militantisme politique. Jusqu’à présent, on devient journaliste par défaut ou par militantisme politique. Cela a pour conséquence entre autre, une absence d’analyse sérieuse ou de critiques sur l’actualité, de manière objective, construite et argumentée.
Ensuite, le journaliste dans l’exercice de son métier, doit s’employer à jeter un regard autocritique sur tout ce qu’il dit, écrit et leur finalité. C’est le cas des titres ronflants au contenu vide, des titres presque identiques, qui indiquent qu’il n’y a pas un média qui ne soit la redondance de son concurrent, des contre-vérités postées en manchette pour se sublimer dans le sensationnel etc.
Enfin, une presse libre et efficace doit veiller à ses devoirs. Notamment celui d’être honnête et intègre, de ne pas tomber dans la facilité et les articles fracassants qui font d’abord vendre sans pour autant bien informer.
« Un homme, ça s’oblige » disait Camus, un journaliste aussi. Ce n’est pas parce qu’on a le micro, la plume, la camera ou le stylo que l’on a le droit de tout dire, tout écrire ou tout filmer. Les libertés auxquelles aspire une presse émergente et bien ancrée dans sa posture informative et objective, sont contreparties de tout autant de responsabilités.
Aujourd’hui, la Presse nationale doit consacrer plus de temps à fouiller les vraies questions de développement, à demander des explications au gouvernement sur la situation de l‘énergie, de l’hydraulique, de l’emploi des jeunes, des réformes agricoles et bien d’autres, c’est en cela, qu’elle prendra une part active dans le développement de ce pays, bien décliné dans le plan Sénégal émergent en route et cher au Président de la République, Macky Sall.
Le Sénégal a besoin d’une presse publique et privée, capable d’épouser, au-delà des clivages politiques et idéologiques, les devoirs d’un contre-pouvoir (une presse téméraire et critique, une presse qui risque et va au-delà du visible). Elle doit donner la parole aux personnes indiquées pour faire entendre à nos dirigeants les profondes aspirations du bas peuple. Elle doit être le porte-voix de ceux-là qui sont au plus bas de l’échelle, de ces âmes vaillantes qui se battent sans succès contre le quotidien, de ces hommes et femmes qui sont dans la fosse, ceux-ci participent encore plus à la vie sociale et culturelle du pays autant que nos « communicants » en costume et col blanc.
Le cap de l’émergence n’est pas aisé, ni donné. C’est un combat de tous les instants, surtout un travail incessant contre la routine, la facilité, le confort, l’ordre trop parfait. In finé, pour l’édification d’une démocratie forte et enracinée dans les valeurs du pays, il nous faut une Presse plus professionnelle et soucieuse de sa responsabilité. Ce que les Sénégalais attendent des médias n’est pas si compliqué à leur fournir : du divertissement d’un côté, de l’information et de l’analyse de l’autre.
Par manque de bon sens, nous allons dans le mauvais sens. Alors, plaidons pour une Presse Sénégalaise émergente, pilier majeur d’un Sénégal émergent !
Alioune Badara Niang
Anonyme
En Juillet, 2015 (14:17 PM)En vérité, il est somme toute essentiel que la liberté d’opinion, d’expression et d’information, ainsi que la liberté des médias, qui constituent l’un des fondements essentiels d’une société démocratique, ne puissent aucunement être limitées par ces valises de « faux secrets » (secret de défense, secret de l’instruction etc…). Ces libertés sont des droits et non des privilèges, et sous ce prisme, elles doivent être absolument garanties.
Donc, il est inquiétant de constater que des journalistes sont arrêtés simplement parce qu’ils ont fait leur travail. Cette véritable atteinte à la liberté de l’information et du traitement des journalistes, fait que la situation de la Presse se détériore dans notre pays sous couvert de ces « secrets » ….de polichinelle. C’est que le pire déficit est le déficit de bon sens. Quelque chose m’échappe certainement… !
Cependant, le journalisme sénégalais doit s’affranchir d’un certain amateurisme qui le caractérise parfois et faire (enfin) sa révolution. Loin de moi, l’idée d’incriminer toute une profession. C’est que tout se passe comme dans un cancer, une seule cellule maligne n’engage pas la vie du patient mais sa multiplication et ses métastases vont mettre en péril la vie de l’hôte qui l’héberge ! Est-il déjà trop tard pour appliquer d’urgence les thérapies adaptées ? Evidemment, la réponse est non.
Et (c’est d’actualité) la Presse Sénégalaise doit (re)prendre conscience que le changement, c’est maintenant. Mais cet essor est conditionné par davantage de rigueur et de professionnalisme et par le respect des règles de la déontologie :
D’abord, combattre le manque de professionnalisme qui découle d’une absence de formation et d’un amalgame entre information journalistique et militantisme politique. Jusqu’à présent, on devient journaliste par défaut ou par militantisme politique. Cela a pour conséquence entre autre, une absence d’analyse sérieuse ou de critiques sur l’actualité, de manière objective, construite et argumentée.
Ensuite, le journaliste dans l’exercice de son métier, doit s’employer à jeter un regard autocritique sur tout ce qu’il dit, écrit et leur finalité. C’est le cas des titres ronflants au contenu vide, des titres presque identiques, qui indiquent qu’il n’y a pas un média qui ne soit la redondance de son concurrent, des contre-vérités postées en manchette pour se sublimer dans le sensationnel etc.
Enfin, une presse libre et efficace doit veiller à ses devoirs. Notamment celui d’être honnête et intègre, de ne pas tomber dans la facilité et les articles fracassants qui font d’abord vendre sans pour autant bien informer.
« Un homme, ça s’oblige » disait Camus, un journaliste aussi. Ce n’est pas parce qu’on a le micro, la plume, la camera ou le stylo que l’on a le droit de tout dire, tout écrire ou tout filmer. Les libertés auxquelles aspire une presse émergente et bien ancrée dans sa posture informative et objective, sont contreparties de tout autant de responsabilités.
Aujourd’hui, la Presse nationale doit consacrer plus de temps à fouiller les vraies questions de développement, à demander des explications au gouvernement sur la situation de l‘énergie, de l’hydraulique, de l’emploi des jeunes, des réformes agricoles et bien d’autres, c’est en cela, qu’elle prendra une part active dans le développement de ce pays, bien décliné dans le plan Sénégal émergent en route et cher au Président de la République, Macky Sall.
Le Sénégal a besoin d’une presse publique et privée, capable d’épouser, au-delà des clivages politiques et idéologiques, les devoirs d’un contre-pouvoir (une presse téméraire et critique, une presse qui risque et va au-delà du visible). Elle doit donner la parole aux personnes indiquées pour faire entendre à nos dirigeants les profondes aspirations du bas peuple. Elle doit être le porte-voix de ceux-là qui sont au plus bas de l’échelle, de ces âmes vaillantes qui se battent sans succès contre le quotidien, de ces hommes et femmes qui sont dans la fosse, ceux-ci participent encore plus à la vie sociale et culturelle du pays autant que nos « communicants » en costume et col blanc.
Le cap de l’émergence n’est pas aisé, ni donné. C’est un combat de tous les instants, surtout un travail incessant contre la routine, la facilité, le confort, l’ordre trop parfait. In finé, pour l’édification d’une démocratie forte et enracinée dans les valeurs du pays, il nous faut une Presse plus professionnelle et soucieuse de sa responsabilité. Ce que les Sénégalais attendent des médias n’est pas si compliqué à leur fournir : du divertissement d’un côté, de l’information et de l’analyse de l’autre.
Par manque de bon sens, nous allons dans le mauvais sens. Alors, plaidons pour une Presse Sénégalaise émergente, pilier majeur d’un Sénégal émergent !
Alioune Badara Niang
Anonyme
En Juillet, 2015 (14:20 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:23 PM)"""" Je suis arrivé la même année que Tamsir Faye comme étudiant sénégalais à Paris. J'ai terminé mon master 2, j'ai fait mes stages, j'ai été employé par une entreprise pendant 3 ans en France avant de venir occuper un important pste dans une autre entreprise au Senegal depuis 2011. Je connais très bien Tamsir. Je ne discuterai pas de sa capacité à être consul. Le President peut nommer qui il veut comme consul. Cependant, mes réserves portent sur deux aspects que je connais de Tamsir: 1- d'abord, apres tout ce temps passé en France avec une bourse tirée des poches du contribuable sénégalais, Tamsir n'a pas réussi à avoir le plus petit diplôme de droit. Dans les autres nominations, on dit monsieur X titulaire d'une licence ou d'un master où bien d'un doctorat est nommé. Avec Tamsir, On a juste dit Tamsir Faye, juriste. Cela signifie tout simplement que depuis tout le temps qu'il est en France, il n'a pas obtenu le plus petit diplôme. Ma préoccupation c'est qu'on est en train de dire aux jeunes sénégalais que ce ne sont pas les études qui déterminent le mérite. Cela me choque si je pense aux sacrifices que j'aidait.2- ma seconde réserve porte sur un aspect de la vie privée de Tamsir. Je n'ai pas pour habitude de parler de la vie privée des individus mais, en sa qualité de consul, Tamsir me représente ã Marseille comme il y représente Macky et tous les sénégalais. Son comportement doit nous intéressé. Il se trouve que Tamsir est très souvent en état d'ivresse. Il boit trop. Il traine dans les bars et ça, les étudiants sénégalais qui se connaissent entre eux à Paris en parlent beaucoup. Tamsir est le genre ã boire au point de se faire ramasser dans les rue. Je crois que pour être un bon consul, il doit revoir son comportement. """
Anonyme
En Juillet, 2015 (14:24 PM)Nous sommes toujours humiliés par des gens qui sortent du néant
Anonyme
En Juillet, 2015 (14:29 PM)Diop
En Juillet, 2015 (14:29 PM)Lecteur
En Juillet, 2015 (14:33 PM)Voilà pourquoi ces journalistes méritent la prison.
Anonyme
En Juillet, 2015 (14:35 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:35 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:36 PM)C'est pathétique!
Anonyme
En Juillet, 2015 (14:36 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:38 PM)Gardigné
En Juillet, 2015 (14:39 PM)Autre commentaire en 2013 : "Macky se fout vraiment de notre gueule....tamsir Faye n'a aucun diplome en france en plus il trafiquait ses bourses d'etudes,comment macky peut-il se permettre de le nommer consul general,cet ivrogne de tamsir ,mandi rek lafi nèkkè ,cest la honte chez tous les senegalais de France.APR que des foutaises"
Au moins, ils ne diront pas qu'ils ne savaient pas ... Il faut virer ceux qui font des enquêtes de moralité!!
Anonyme
En Juillet, 2015 (14:46 PM)Le problème ne vient pas de la personne, mais de celui qui l'a nommée à ce poste.
Anonydme
En Juillet, 2015 (15:03 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (15:06 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (15:07 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (15:17 PM)!!!!!!
En Juillet, 2015 (15:19 PM)alerte
info
Le consul général du Sénégal interpellé
cfFaits divers en direct - Région en direct
nMercredi 22/07/2015 à 12H59 o Marseille
Chargement ...
Quelle ne fut pas la surprise, hier dans la soirée, des policiers au moment de la confirmation de l'identité de cet homme âgé de 38 ans. Faye Tamsir avait été quelques instants plus tôt interpellé sur la rue Paradis (8e) à Marseille par une patrouille de la brigade anti-criminalité (Bac).
Une riveraine avait prévenu la police de ce qu'un homme, passablement alcoolisé, vociférait dans la rue tout en exhibant son sexe, allant même jusqu'à se frotter à un compteur France Telecom. Alors que les policiers embarquaient l'individu, celui-ci les insultait et les menaçait de mort. Il n'a fallu que quelques coups de téléphone pour confirmer ses dires : il s'agissait du consul général du Sénégal à Marseille.
Lequel a été récupéré au commissariat du 8e arrondissement par son épouse. Pour l'heure, au vu de son immunité diplomatique, aucune poursuite n'est engagée contre le représentant des Sénégalais à Marseille.
Anonyme
En Juillet, 2015 (15:23 PM)Hola
En Juillet, 2015 (15:28 PM)doul doul doul di doul rek celui de l espagne AYYYY way macky dimbalinou dieule fi gni tek les gens qu ils faut
Anonyme
En Juillet, 2015 (15:34 PM)et puis touss nak fi senegal kou nékoul ti bou goud bi yangui ti bou gate bi. ou va la production de ces usines d'alcool ? plus de la moitié des senegalais doouur rek. mm si c'est c'est vrai son comportement ne reflète que le senegal
Tiey
En Juillet, 2015 (15:37 PM)mACKY DOIT OUVRIR LES YEUX CES ESPECES D ENERGUMENES VONT LE PLOMBER
Anonyme
En Juillet, 2015 (15:46 PM)Diplomate Voyou
En Juillet, 2015 (15:49 PM)Dynastie Faye Sall
En Juillet, 2015 (15:54 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (15:55 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (15:58 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (16:02 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (16:05 PM)Lune
En Juillet, 2015 (16:08 PM)On se retrouvera; heureusement q u il a des agents competents autour de lui qui couvrent ses lacunes mais le temps nous edifiera
Membres APR espagne on en a marre de ce larron;li ssi kanam rawouli beut
Anonyme
En Juillet, 2015 (16:10 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (16:13 PM)Momo
En Juillet, 2015 (16:14 PM)Soleil
En Juillet, 2015 (16:15 PM)Dame
En Juillet, 2015 (16:15 PM)Macky Sall se fou des senegalais , c'st ca la verite . Mais qui vivra verra
Mbagne Thiow
En Juillet, 2015 (16:16 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (16:22 PM)"""" Je suis arrivé la même année que Tamsir Faye comme étudiant sénégalais à Paris. J'ai terminé mon master 2, j'ai fait mes stages, j'ai été employé par une entreprise pendant 3 ans en France avant de venir occuper un important pste dans une autre entreprise au Senegal depuis 2011. Je connais très bien Tamsir. Je ne discuterai pas de sa capacité à être consul. Le President peut nommer qui il veut comme consul. Cependant, mes réserves portent sur deux aspects que je connais de Tamsir: 1- d'abord, apres tout ce temps passé en France avec une bourse tirée des poches du contribuable sénégalais, Tamsir n'a pas réussi à avoir le plus petit diplôme de droit. Dans les autres nominations, on dit monsieur X titulaire d'une licence ou d'un master où bien d'un doctorat est nommé. Avec Tamsir, On a juste dit Tamsir Faye, juriste. Cela signifie tout simplement que depuis tout le temps qu'il est en France, il n'a pas obtenu le plus petit diplôme. Ma préoccupation c'est qu'on est en train de dire aux jeunes sénégalais que ce ne sont pas les études qui déterminent le mérite. Cela me choque si je pense aux sacrifices que j'aidait.2- ma seconde réserve porte sur un aspect de la vie privée de Tamsir. Je n'ai pas pour habitude de parler de la vie privée des individus mais, en sa qualité de consul, Tamsir me représente ã Marseille comme il y représente Macky et tous les sénégalais. Son comportement doit nous intéressé. Il se trouve que Tamsir est très souvent en état d'ivresse. Il boit trop. Il traine dans les bars et ça, les étudiants sénégalais qui se connaissent entre eux à Paris en parlent beaucoup. Tamsir est le genre ã boire au point de se faire ramasser dans les rue. Je crois que pour être un bon consul, il doit revoir son comportement. """
Yyy
En Juillet, 2015 (16:28 PM)Robin Des Bois
En Juillet, 2015 (16:32 PM)Le moins que l'on avancer , sans risque de nous berner , c'est que lorsque l'on jouit du statut de représentation diplomatique , on doit avec l'intransigeance de tous les instants être à cheval avec les us et les coutumes et les rouages inaliénables qu'exigent la représentation diplomatique. Et ce théâtre sacré de la diplomatie ne peut souffrir de la cupidité , de la légèreté ou des acronymes individuels . Non! Le Sénégal , et les sénégalais ne peuvent tolérer , le cas vérifié bien sûr , de tels ignominies de la part d'un consul à l'étranger!
Quel curieux fait d'hiver! C'est terrible !
Jean
En Juillet, 2015 (16:33 PM)Laye
En Juillet, 2015 (16:35 PM)LES VICTIMES DES DETOURNEMENTS AU NIVEAU DES COOPERATIVES LOGEES CHEZ VOUS DEMANDENT A ETRE REMBOURSEES OU VOUS LEUR DONNER UN TERRAIN. DIX ANS D ATTENTE C EST ENORME ET C EST PAS DU TOUT SERIEUX.
AU TEMPS AVEC NOS 1.500.000 F ON POUVAIT TROUVER UN TERRAIN NOUS MEMES FACILEMENT. MAINTENANT NOUS SOMMES PENALISES ET LES RESPONSABLES SONT LIBRES ET CIRCULENT SANS ETRE INQUIETES.
Bg
En Juillet, 2015 (16:46 PM)Xeme
En Juillet, 2015 (16:47 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (16:53 PM)C'est le meilleur (comme dirait Béckaye Mbaye)...!!!!
Mais apparament c'est un problème général hein pour les consuls: il y a celui là qui à Marseille, j'ai lu celui de l'Espagne, mais bi nekk Maroc Casablanca mo gueuneu déh mom taate la beugue ci khol bi djiguéne la beugue sérieux, MOY CONSUL WHATSAPP (tout le monde le sait.... mdrrrr
Anonyme
En Juillet, 2015 (16:53 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (17:04 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (17:04 PM)Poste 56 voici le titre de notre Cheikh Sadibou Diallo National :
Son Excellence Monsieur Cheikh Sadibou DIALLO
Conseiller Spécial politique du Président de l’APR
Administrateur de la DES APR France
C'est ça les gens de l'APR en France, alors ne nous étonnons pas des dégats !!!
Anonyme Un Passant
En Juillet, 2015 (17:09 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (17:27 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (17:40 PM)Pour diverses raisons je ne suis pas surpris de cet évenement.
Sa place au consulat il ne la doit qu'a son militantisme derriere Macky Sall. En dehors de ca je ne lui reconnais aucune compétence.
De la part de quelqu'un qui connait bien l'homme
Anonyme
En Juillet, 2015 (17:40 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (17:48 PM)Doxandem
En Juillet, 2015 (17:55 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (18:30 PM)ne servent à rien. Chacun a un secret qu'il ne veut pas qu'il soit dévoilé publiquement khawi
soutoura bakhoul dou lo khamal nite rek wakhe ko bo amé occasion di bayekou lolou dou
adouna. N'allez pas trop vite en besogne, car ce qui n'est écrit en ligne n'est pas vrai.
Je dis simplement si les faits sont avérés, les sanctions doivent suivre car les représentants
des sénégalais à l'extérieur doivent être exemplaires. Mais, ce que je déplore c'est qu'une
fois nommé à l'étranger, certaines personnes se prennent pour des rois.
Je me suis rendu à Lyon avec un ami pour le renouvellement d'un passeport, mais nous
avons trouvé dans leur équipe une personne méprisable gnak kersa badé. Amou beni ité si
nite gni en gros zéro professionnalisme au lieu de faire son travail, il bavardait sachant
qu'on avait un train à prendre. Et, je pense M. Sall doit être informé du comportement de
certaines personnes qui travaillent dans les consulats sénégalais à l'étranger.
Laws
En Juillet, 2015 (18:41 PM)mr le president renfocez vos services de renseignements pour venir a la hauteur de ces taches renvoyez des personnes de votre gouvernement
Anonyme
En Juillet, 2015 (18:47 PM)Je connais tamsir , je ne savais même pas il est devenu consult
Pour information, j'aifréquenté tamsir au Dibi à paris dans le 18eme
Tout ce que je peux dire c'est une information fausse et vous devez des excuses à Tamsir
Ce n'est pas possible tamsir ne fera jamais ça au contraire c'est une personne intégre et trés correcte
je savais qu'il est de APR et il supportait à fond macky Sall
Bravo Tamsir
Mooo
En Juillet, 2015 (19:18 PM)True Vérité
En Juillet, 2015 (19:25 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (20:26 PM)Ton engagement force le respect. Très bon courage à toi ainsi que à ta famille
Tata
En Juillet, 2015 (03:37 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (08:45 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (10:08 AM)Tout le monde sait ce que tu fait.
Continues comme ça, cela arrange les personnes que tu lèses car elles pourront un jour montrer aux autorités ce que tu fais derrière ton ordinateur au lieu de travailler.
Aucune autorité ne fait ce que tu fais par intelligence et prudence.
Babs
En Juillet, 2015 (13:16 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (13:47 PM)Kine
En Juillet, 2015 (13:51 PM)From France
En Juillet, 2015 (13:53 PM)Contrairement à cette promesse, le népotisme, le copinage et le clientélisme servent de base unique aux nominations et recrutements depuis l’élection de Macky Sall, en particulier à l'ambassade du Sénégal à Paris et dans les consulats du Sénégal en France.
Il n’y aura jamais d’émergence économique avec de telles pratiques néfastes qui génèrent, entre autres, des comportements indignes comme celui du Consul du Sénégal à Marseille et celui de l’actuel ministre des affaires étrangères du Sénégal lors d’une rencontre de la Francophonie à Paris ; il avait raté l’ouverture de cette rencontre pour des raisons liées à l’alcool et au sexe.
Le ministre des affaires étrangères a été sauvé par l’ambassadeur et le ministre conseiller du Sénégal à Paris qui ont produit de faux rapports demandés par Macky Sall à la suite de ce scandale.
Quelques mois après, le ministre des affaires étrangères les a récompensés en trouvant une planque à la présidence pour l’ambassadeur pourtant admis à la retraite (il quitte l’ambassade du Sénégal à Paris le 31 juillet prochain) et en faisant nommer le ministre conseiller à un poste d’ambassadeur dans un pays d’Afrique.
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En Juillet, 2015 (15:26 PM)Respectueux et courtois.
Ne changez jamais, vous forcez l'admiration.
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