La coordination régionale d’Amnesty International qui pilote le projet « Ecoles amies des droits de l’homme » a déroulé le week-end dernier un paquet d’activités sportives pour dénoncer les violences en milieu scolaire, frein aux enseignements apprentissages.
« Ecole sans violence pour une prise en compte de l’aspect genre dans le système éducatif » était le thème de cette première édition du tournoi de la paix qui a réuni au terrain du lycée Ibou Diallo la communauté éducative qui s’est engagée à agir ensemble pour la protection des droits humains.
Selon Lamine Sané, le coordonnateur régional de la section d’Amnesty International, « une école sans violence est un gage d’un bon enseignement apprentissage », c’est pourquoi, lance-t-il, « bâtissons ensemble une école performante plus porteuse d’espoir».
Dans le même sens, Amadou Lamine Gaye, l’inspecteur régional de la jeunesse a expliqué que le sport développant des relations saines en tant activité fédératrice, peut contribuer favorablement à la promotion de la paix.
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