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Les universités sénégalaises doivent se professionnaliser, selon le Pr Thioub

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Les universités sénégalaises doivent se professionnaliser, selon le Pr Thioub
Les universités sénégalaises doivent se "professionnaliser", sans pour autant renoncer à leur rôle habituel de dispenser des formations de base, a affirmé, mercredi à Dakar, le recteur de l’Université Cheikh Anta Diop(UCAD), Professeur Ibrahima Thioub.

‘’Sans renoncer à la formation de base et à la recherche fondamentale, il est donc temps pour nous de professionnaliser au maximum nos formations en raison de l’augmentation du nombre d’étudiants, de l’évolution technologique et de la transformation continue des métiers, et bien d’autres facteurs’’, a-t-il dit .

Le recteur de l’UCAD s’exprimait lors de la signature de conventions de partenariat entre son institution et des organisations du patronat, des organismes de promotion de l’emploi et de la création d’entreprise, des entreprises et des organisations diverses.

‘’Ce besoin de professionnalisation a pour but de mieux préparer nos étudiants au monde du travail, de raccourcir le délai entre la fin des études et le premier emploi et aussi de rendre nos diplômés plus rapidement opérationnels dans l’entreprise après leur recrutement’’, a expliqué le Pr Thioub.

Selon lui, il doit permettre à ‘’l’Université d’utiliser les deux leviers pour l’insertion que sont l’emploi salarié et l’auto-emploi’’.

Le recteur de l’UCAD a déploré la méfiance réciproque injustifiée entre le monde socio-économique et l’Université, la faiblesse de l’offre d’emploi pour les diplômés du supérieur et le surpeuplement des universités, notamment.


10 Commentaires

  1. Auteur

    Anthropologue

    En Janvier, 2015 (15:37 PM)
    Il faut creer des community colleges et des hivytechs a part, et laisser les universites jouer leur role fondamental: la recherche
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  2. Auteur

    @tctc@

    En Janvier, 2015 (15:37 PM)
    Ceci est de la communication dans l'optique de soulager le ministre Niane.



    C'est quoi une "université professionnalisée" ? Dans quoi doivent-elle se professionnaliser ? Et pourquoi ?

    Le point de blocage entre les syndicats SAES et l'actuel ministre porte essentiellement sur la composition et le choix des membres du conseil d'administration (CA).



    Le ministre veut en NOMMER 55 % des membres (11/20), alors que le SAES souhaite les voir ELUS par leurs pairs. Par ailleurs le SAES propose qu'il y ait dans les CAs, des représentants

    - des étudiants,

    - des parents d'élèves/étudiants,

    - des organisation patronales,

    - de la société civile,

    - du personnel administratif technique et de service des universités,

    - etc.



    Se qui sème la méfiance, c'est aussi que la version du texte que les universités ont étudiée est différente de celle qui a été soumise et votée à l'unanimité à l'assemblée (dit le ministre) en l'absence de 75% des députés (seuls 35 députés sur 140 étaient présents).

    Ces deux versions aussi toutes différentes de celle dont avait connaissance le premier ministre, d'après ses dires lors de sa rencontre avec le SAES.



    Il faudra peut être que le ministre commence par avoir une démarche professionnelle.



    Quand le fumée de la communication à outrance se dissipera, la triste réalité fera surface, et là on verra de quel côté se trouve l'amateurisme.

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    Auteur

    Et Alors

    En Janvier, 2015 (15:43 PM)
    Qu'est ce qu'il en sait, l'historien ?
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    Auteur

    Mounos

    En Janvier, 2015 (15:52 PM)
    Le Sénégal, à l'image de tous les pays qui n'ont pas de grandes richesses a plus besoins de centaines de milliers d'ouvriers qualifiés formés dans de vrais lycées et centres de formation, du CAP au BAC pro jusquau diplôme d'Ingénieurs pour les plus doués,dans les domaines du bâtiment, de l'ébénisterie -menuiserie, de mécaniciens de plombiers, de techniciens en construction de route ayant au mopins le CAP des couturiers par centaines de milliers pour le marché intérieur et pour inonder l'occident de vêtements de qualité égale ou même supérieure à ceux fabriqués dans les pays à monnaie forte et à la maind'oeuvre chère par rapport aux salaires au Sénégal ! Sans ces formations dans ces domaines, le Sénégal ne sera même pas du niveau du Maroc ou de la Tunisie pour ne pas dire la Turquie dans deux cents ans !
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    Auteur

    Question

    En Janvier, 2015 (16:40 PM)
    Se "professionnaliser" ou se "spécialiser" ????
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    Auteur

    L'éclaireur

    En Janvier, 2015 (19:07 PM)
    Certains Professeurs De L’enseignement Supérieur Violent Les Contrats Qui Les Lient A L’Etat Du Sénégal.

    De nos jours, dans nos universités publiques, il est devenu une commune stratégie d’accuser de tous les maux Monsieur Le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, le Professeur Mary Teuw NIANE. Il est confortable de mettre sur son dos (il a bon dos, Monsieur Le Ministre !), toutes les crises que traversent certaines universités de notre pays. Le Président de la République du Sénégal, Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Macky SALL n’est pas épargné dans certaines sorties dans la presse et devant la presse. Dans un concert aveugle de récriminations mal documentées, des collègues l’accusent d’avoir porté atteinte à la sacro sainte autonomie des universités pourtant PUBLIQUES. Décidément, le déclin académique est inexorablement le fait du décideur politique. Le pauvre universitaire tremble de tout son corps devant l’écrasante puissance du prince ! En vérité, cela ne peut jamais prospérer et nombreux sont les faits aussi éloquents que graves qui le démontrent et confortent notre posture par rapport à la gouvernance scandaleuse, honteuse, inqualifiable et inacceptable qui a cours dans certaines de nos facultés, en général, et à la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, en particulier. C’est ignorer que le Chef de l’Etat a les pleins pouvoirs de préserver le devenir, la dignité et l’honneur des institutions universitaires. La loi lui en donne la pleine légitimité et l’entière légalité qui ne doivent souffrir d’aucune tergiversation. Les succès de tous nos collègues de Rang A au Cames portent d’ailleurs sa signature. En ce sens, il a le soutien résolu du corps enseignant engagé dans le combat qu’il mène au quotidien pour la restauration de l’université sénégalaise dans toute sa dimension éthique et morale, donc dans sa dignité nationale et internationale. La transparence, la reddition des comptes, les audits sont les crédos de sa politique d’assainissement, de redressement et de réformes de nos universités publiques. Les 05, 06 et 07 janvier 2015, j’ai eu, en présence d’autres voix plus autorisées que la mienne, des réunions particulièrement inquiétantes avec Monsieur Mamadou BADJI, Le Doyen de ladite faculté, les enseignants responsables des Masters et les étudiants du fameux « DUP ». Ces rencontres se sont tenues dans le cabinet du Doyen, à la Salle des Commissions du Rectorat et à l’Amphithéâtre 3 de la FSJP.

    Force est de constater que, dans cette institution glorieuse, dans ce joyau de l’excellence, dans ce solide porte-étendard de notre fierté nationale et dans ce fleuron réputé de notre enseignement supérieur, il se passe des choses absolument outrageantes quant à la morale, à la déontologie, à l’éthique et qui défient royalement l’entendement humain. Cette honorable institution vit des moments particulièrement difficiles et alarmants. Monsieur Le Doyen Mamadou BADJI nous révèle que tout y passe : l’autorité de Monsieur Le Doyen royalement ignorée, certains enseignants qui refusent systématiquement de sacrifier à leurs obligations du service statutaire, violant du coup le contrat de travail qui les lient à l’Etat du Sénégal, certains Masters qui ne débutent ni ne se terminent, la cacophonie autour des certificats médicaux, des zéros distribués à tout un amphithéâtre, des examens pourtant bien programmés mais renvoyés sine die. Afficher des résultats et établir des attestations et des relevés de notes restent des chimères pour les étudiants. C’est dire que ces enseignants ont choisi de sacrifier des jeunes étudiants qui ne demandent qu’à étudier pour réussir et compter parmi l’élite intellectuelle universitaire, travailleuse, ingénieuse et productrice de notre cher Sénégal. Les drames familiaux, les tragédies humaines sont légions dans nos foyers. L’ambiance minérale dans l’Amphithéâtre 3 était lourde de tristesse et les visages durs émaciés, les rires jaunis par une ire contenue tant bien que mal de ces jeunes en disaient assez long de leur désarroi. Leurs applaudissements sonnaient peu vrai tant les rendez-vous manqués les avaient comme anesthésiés. Que de mères de famille, que de pères de famille en souffrent quotidiennement. Ils portent dans leur chair cette souffrance de toute une génération de jeunes pensionnaires de la FJSP. Que de jeunes étudiants, intelligents, performants, courageux, résilients, lourdement marqués par le stress et la précarité, ont-ils été freinés dans leurs carrières, brisés dans leurs rêves les plus fabuleux par le fait de certains enseignants indignes et inconscients. Sûrement, nombre de concours nationaux, des préinscriptions dans des institutions étrangères laborieusement décrochées, vont leur échapper, cette année-ci encore. Cette situation, convenons-en, est véritablement insoutenable. C’est dire qu’ils ne méritent point leur salaire mensuel que leur verse le Trésor national. C’est dire qu’ils participent à la déliquescence de l’enseignement supérieur ; mieux, ils organisent volontairement et cyniquement la médiocrité du niveau intellectuel et scientifique des futurs cadres que nous formons dans nos institutions universitaires publiques. Cela est d’autant plus inacceptable que Le Doyen de la Faculté, Monsieur BADJI, n’est même pas au courant de leurs déplacements vers d’autres universités sénégalaises ou vers des universités étrangères. C’est, pratiquement les larmes aux yeux, qu’il nous avoue n’avoir aucune emprise sur un certain personnel enseignant de la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques. Celle d’Assane SECK de Ziguinchor et certaines universités ivoiriennes sont parmi leurs destinations favorites. Ils clament à qui veut les entendre qu’académiquement ou pédagogiquement (c’est à ne rien comprendre dans ce langage juridique !), ils ne sont aucunement liés à l’autorité décanale. C’est dire que ces collègues ne respectent nullement et foulent aux pieds les règles hiérarchiques qui les lient à leur institution d’origine. Ils ne prennent même pas la peine de déposer leurs demandes d’autorisation d’absence sur le bureau de la tutelle. Monsieur Le Doyen m’a avoué que ces collègues sont dans la « brousse » sénégalaise ou sur les « prairies » extérieures ! Monsieur Le Doyen ne maîtrise nullement leurs déplacements et du coup, les étudiants en pâtissent gravement. Non seulement, les cours ne sont pas délivrés normalement ; d’autres d’ailleurs ne sont jamais délivrés aux étudiants ; mais aussi, les encadrements en Masters ne sont pas conduits dans les règles de l’art. Pourtant, ils savent qu’un déplacement d’un enseignant est réglementé par des textes et Monsieur Le Recteur en est l’autorité compétente en la matière.

    Pouvez-vous, chers compatriotes, comprendre que certains étudiants sont dans un Master I depuis 4 années ? Pouvez-vous accepter que ceux d’un Master II restent durant plus d’une année sans faire un seul cours ? Savez-vous que les étudiants subissent et endurent trois épreuves journalières de suite ? Pouvez-vous comprendre que deux promotions viennent à se chevaucher ? Sûrement, les collègues responsables de ces Masters ont des arguments solides pour expliquer au peuple sénégalais cette situation complexe et inextricable. Vous imaginez alors les graves répercussions sur le travail du personnel de la Direction des Bourses tant débordé et tant sollicité. Comment alors payer la bourse à des étudiants considérés comme des redoublants alors qu’ils ne le sont point ? Eskey ! Avouez que, dans ces conditions particulièrement graves, il sera difficile voire ardu pour les autorités compétentes « de payer les bourses à temps » comme le réclame la nation sénégalaise tout entière.

    Par ailleurs, êtes-vous prêts à connaitre l’imbroglio qui concerne les Diplômes Universitaires Professionnels/DUP ? Il se trouve que certains étudiants ont déjà versé leur argent et tenez-vous bien, les autorités décanales « n’ont pas vu la couleur d’une partie de l’argent », comme nous l’ont révélé Monsieur Le Doyen, le Chef des Services Administratifs et le Responsable du DUP. Comme le soutiennent Monsieur Yaya NDIAYE, le Chef des Services Administratifs, Monsieur Yaya BODIAN, le responsable des DUP et Monsieur Le Doyen de la Faculté Mamadou BADJI, il est urge que les autorités de tutelle se saisissent très rapidement de ce brûlant dossier pour que les étudiants, à tous les niveaux d’enseignement, soient enfin rétablis dans leurs droits les plus élémentaires. Comme Le Doyen Mamadou BADJI, notre collègue Yaya BODIAN avoue, lui aussi, n’avoir aucune emprise sur ce dossier. Monsieur Yaya BODIAN soutient que cette affaire est gérée de manière personnelle ; certains enseignants, qu’ils qualifient tous de « véreux » en firent leur affaire privée, leur vache laitière. Selon Monsieur Yaya BODIAN, « les malversations financières du DUP sont avérées ».

    La gestion des DUP doit absolument mobiliser les agents de contrôle de l’Etat du Sénégal pour que la lumière soit enfin faite sur ce dossier tragique et insoutenable ! En tous les cas, les autorités décanales nous ont présenté un tas de carnets de reçus, donc des éléments comptables, à partir desquels les auditeurs peuvent valablement entamer leur travail. Le Doyen Mamadou BADJI nous a affirmé qu’il « est prêt à répondre de cette situation dont, en temps normal, je ne devrait pas répondre ». Il est même « prêt à se constituer partie civile ». Monsieur Le Doyen nous a assuré que « l’avocat a réuni tous les éléments de preuve ».

    La gabegie financière à l’université doit être stoppée par une main de fer ferme d’une autorité sereine. Aux ministres de la République du Sénégal de déclarer leur patrimoine, alors, aux enseignants du supérieur, nous exigeons des audits et des déclarations de leur véritable patrimoine comme employés de la fonction publique sénégalaise ; c'est-à-dire leur quantum horaire ! Des ordres de recette leur doivent être adressés dans la mesure où ils n’effectuent pas leurs cours et refusent d’encadrer les étudiants en Master I &II. Le Cames doit être informé de cette situation et agir en conséquence pour traquer les enseignants fraudeurs et tricheurs. Pour paraphraser un de nos brillants collègues universitaires, à la plume particulièrement acerbe, il est temps que force reste à la Lumière pour prévoir et empêcher d’autres frustrations estudiantines et mieux canaliser l’émotion de tout un peuple !

    A Monsieur Le Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, Le Professeur Mary Teuw NIANE, je dis Aly Baaba Kummba Naar !

    A Monsieur Le Président de la République et Chef de l’Etat, Son Excellence Macky SALL, je dis Cuurki Jamm !

    Daha Chérif BA,Docteur d’Etat en Histoire Moderne et Contemporaine

    Maître de Conférences

    Directeur de l’Enseignement Supérieur Public

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    Auteur

    Bayefaal

    En Janvier, 2015 (19:17 PM)
    C'est du bon sens et c'est même honteux que l'avons pas depuis maintenant ,nos jeunes ne savent rien en sortant des universités c'est une honte si vous faites un entretien d'embauche avec un jeune diplômé, il faut des stages obligatoires en Entreprise, et des enseignements pratiques c'est très simples à mettre en œuvre avec des universitaires plus des professionnels qui ont de l'expérience dans leur domaine.Partout dans le monde le savoir se transmet ainsi je ne comprends pas mon pays !!!!!
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    Auteur

    Beg Jaam

    En Janvier, 2015 (20:04 PM)
    La vocation de l'université,c'est de transmettre des savoirs.

    Il faut créer à coté de l'université des écoles professionnelles et faire en sorte que le maximum de jeunes soit attiré par ces écoles.
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    Auteur

    Radius

    En Janvier, 2015 (20:04 PM)
    COMPLAINTES D'UN CITOYEN DÉPITÉ Senegal mon pays, terre d'hypocrisie, de lâcheté, d'amour sans limites de la facilité et de la traîtrise. O pays traître peuple tu as encore oublié que tu n'est pas seul au monde pour te comporter de manière si honteuse. O citoyen ennemie de ton pays pourquoi autant de mépris et d'insultes à ton histoire. Pourquoi aime tu tes médiocres, autant que tu hais tes enfants valeureux? Pourquoi adule tu tes fils assassins, voleurs autant que tu déteste le travail, la vérité et la rectitude? Pourquoi crois tu que tu assureras ton salut, celui de tes enfants et la prospérité de cette terre en cultivant le larbinisme. O terre de désespoir pourquoi as-tu envoye 15 de tes enfants se faire tuer si tu n'est pas prêt à assumer la rupture? O pays traite peuple pourquoi tu assassines chaque fois l'espoir et la volonté de tes valeureux fils qui refusent de courber l'échine? O pays terre de mes ancêtres pourquoi déteste-tu autant la vérité. O pays terre que je ne puis abandonner pourquoi as-tu oublié le martyr de tes enfants? Pourquoi as tu si vite oublié le don suprême de tes fils morts pour l'équité et l'Etat de droit? Pourquoi as tu si piteusement failli à ton devoir de mémoire? O pays peuple, terre d'hypocrisie tu as encore sali la mémoire de tes fils morts sur l'autel du sacrifice pour que demain soit meilleur et que plus jamais on ne laisse nos erreurs d'hier revenir. Je prie traître peuple, pour que le désespoir des familles mutilées, le sentiment de gâchis des héros morts ne te retombent sur la tête. FAITES PASSER S'IL VOUS PLAIT Radius l'os qui refuse de rompre.

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    Auteur

    Ersrt

    En Janvier, 2015 (21:17 PM)
    une université n a pas vocation a former des professionels, mais surtout des chercheurs.......pour la recherche fondamentale
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