Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, a salué, lundi à Dakar, "le dynamisme’’ du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES), qui lui a permis de s’adapter "aux nouvelles exigences de l’enseignement".
"Il est heureux de voir tout le dynamisme dont le CAMES fait preuve.
Son programme stratégique de développement traduit sa capacité d’adaptation à l’évolution du monde et aux nouvelles exigences de l’enseignement supérieur et de la recherche", a dit M. Niane.
Il s’exprimait à l’ouverture des deuxièmes Journées scientifiques du CAMES, prévues pour se poursuivre jusqu’au 1er décembre à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar.
Ces deuxièmes journées scientifiques sont axées sur le thème général "Mise en œuvre des programmes thématiques de recherche du CAMES : quels projets, pour quelle gouvernance ?".
La première édition s’était tenue à l’Université Houphouet-Boigny d’Abidjan (Côte d’ivoire), du 5 au 7 décembre 2013.
Le ministre de l’Enseignement supérieur a relevé l’importance du CAMES qui, selon lui, "est d’autant plus important qu’il contribue à la création d’un espace intégré de formation et de recherche".
"La mise en place de mécanismes formels d’équivalence et de reconnaissance mutuelle de diplômes facilitera les échanges transfrontaliers des étudiants et des enseignants en rapport avec le CAMES", a-t-il ajouté.
A ce jour, 19 pays francophones et lusophones répartis entre l’Afrique de l’Ouest, l’Afrique centrale, la région des Grands Lacs et l’Océan indien sont membres du CAMES, une instance regroupant "70 universités et centres de recherche", selon le recteur de l’UCAD, Ibrahima Thioub.
Le Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur a été créé en janvier 1968 à Niamey (Niger), par la Conférence des chefs d’Etats des pays membres de l’Organisation commune africaine et malgache (OCAM).
Mardi, le président sénégalais, Macky Sall, va être élevé, par le CAMES, dans l’ordre international des Palmes académiques à la dignité de Grand-croix.
VO/BK
"Il est heureux de voir tout le dynamisme dont le CAMES fait preuve.
Son programme stratégique de développement traduit sa capacité d’adaptation à l’évolution du monde et aux nouvelles exigences de l’enseignement supérieur et de la recherche", a dit M. Niane.
Il s’exprimait à l’ouverture des deuxièmes Journées scientifiques du CAMES, prévues pour se poursuivre jusqu’au 1er décembre à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar.
Ces deuxièmes journées scientifiques sont axées sur le thème général "Mise en œuvre des programmes thématiques de recherche du CAMES : quels projets, pour quelle gouvernance ?".
La première édition s’était tenue à l’Université Houphouet-Boigny d’Abidjan (Côte d’ivoire), du 5 au 7 décembre 2013.
Le ministre de l’Enseignement supérieur a relevé l’importance du CAMES qui, selon lui, "est d’autant plus important qu’il contribue à la création d’un espace intégré de formation et de recherche".
"La mise en place de mécanismes formels d’équivalence et de reconnaissance mutuelle de diplômes facilitera les échanges transfrontaliers des étudiants et des enseignants en rapport avec le CAMES", a-t-il ajouté.
A ce jour, 19 pays francophones et lusophones répartis entre l’Afrique de l’Ouest, l’Afrique centrale, la région des Grands Lacs et l’Océan indien sont membres du CAMES, une instance regroupant "70 universités et centres de recherche", selon le recteur de l’UCAD, Ibrahima Thioub.
Le Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur a été créé en janvier 1968 à Niamey (Niger), par la Conférence des chefs d’Etats des pays membres de l’Organisation commune africaine et malgache (OCAM).
Mardi, le président sénégalais, Macky Sall, va être élevé, par le CAMES, dans l’ordre international des Palmes académiques à la dignité de Grand-croix.
VO/BK
3 Commentaires
Deug
En Novembre, 2015 (21:21 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (08:59 AM)Analyse
En Novembre, 2015 (17:13 PM)Il suffit juste de voir le niveau de nos "agrégés" CAMES.
Même s'il est vrai que quelques un d'entre eux ont un excellent niveau (du fait surtout de leur mérite personnel!), la plupart (écoutez les bien si vous en connaissez) ont une production scientifique d'un très bas niveau, d'autres ne devant leur production qu'à des "associations" avec des équipes occidentales, donc sur des thématiques très éloignées de nos préoccupations directes.
De plus regardez le grand nombre d'écoles "bidons" qui chaque jour que Dieu fait arrivent à s'octroyer (sur je ne sais quelle base ! Ah Ah) cette fameuse "reconnaissance CAMES" !
De grâce arrêtez de tromper le peuple !!!
Je suis persuadé que le Président veut bien faire mais lui dit-on réellement la vérité ?
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