Les enseignants du Syndicat des Enseignants Autonome du Supérieur (SAES) ont repris les cours, mais l’éducation ne connait toujours pas de stabilité à l’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar. Des nouveaux bacheliers qui ne sont toujours pas orientés, ont replongé l’université en pleine crise scolaire.
Ces jeunes qui disent s’être donné corps et âme pour réussir leurs examens du baccalauréat, se sont opposés à la tenue des cours avant d’annoncer sur les ondes de la RFM qu’ils iront jusqu’au bout pour être orientés.
Cette année scolaire qui a subi énormément de perturbations laisse beaucoup de questions dans la conscience des sénégalais et le SAES qui n’a toujours pas dit son dernier mot par rapport à son mouvement qui est actuellement suspendu inquiète toujours.
Toutefois, rendez-vous est pris le 14 Avril prochain pour une assemblée générale du SAES par rapport à la crise des universités.
8 Commentaires
Xy
En Avril, 2012 (17:23 PM)Correcteur
En Avril, 2012 (17:58 PM)Xeme
En Avril, 2012 (18:15 PM)Saloumar
En Avril, 2012 (18:23 PM)- des infrastructures pédagogiques de qualité et en quantité suffisante pour l'augmentation des capacité d'accueil des universités et par conséquent le recrutement massif des nouveaux bacheliers,
- l'augmentation des budgets des universités qui ne servent actuellement qu'a payer les salaires du personnel,
- des conditions de logement décentes pour ces enseignants qui forment les élites de ce pays,
- une reformes des grades ou titres pour les rendre adéquats avec le système LMD et ainsi augmenter les capacités d'encadrement des étudiants,
Ce combat doit être celui de tout étudiant soucieux de son avenir et de tout parent d’élève préoccupé par l'avenir ses enfants. Et tout gouvernement responsable doit satisfaire ces revendications légitimes. A titre indicatif, l'argent mobilisé pour construire le monument dit de la renaissance ou pour organiser le folklore du FESMAN pouvait régler tous les problèmes des universités. Nous pensons que le nouveau président Macky Sall, pur produit de l’école publique comme la majorité des sénégalais qui n'ont pas les moyens d'envoyer leurs enfants à l’étranger, est suffisamment conscient de la situation pour lui trouver avec son équipe, une réponse définitive. Le cas contraire, grève ou pas, c'est le système qui s’arrêtera de lui même. Nous devons penser enfin à sauver ce système et non des années comme on a toujours fait.
Lepatriotesn
En Avril, 2012 (19:04 PM)SanxalÈgne
En Avril, 2012 (19:50 PM)ALLEZ Y ÉTUDIER ! J´AI FAIT 25 ANS DANS UNE UNIVERSITÉ ET IL N´Y A EU QUE 2 GRÉVES DE 08 HEURES À 12 HEURES ! VOUS VOUS FAITES DES GRÉVES DE SIX MOIS !!! C´EST UN SEMESTRE PERDU ! C´EST 6 x 5000 €
Fk
En Avril, 2012 (22:03 PM)Lilililililili
En Avril, 2012 (21:47 PM)Participer à la Discussion