Des changements importants sont intervenus à l’Université Cheikh Anta Diop cette année. Cela concerne notamment quatre instituts que sont l’IST, le Cesti, l’Ebad et l’Esea. La révélation a été faite par le recteur, Ahmadou Aly Mbaye. « Toujours pour consolider notre leadership dans le domaine des sciences et de la technologie, nous allons ouvrir notre deuxième école d’ingénieurs à côté de l’Ecole supérieure polytechnique (Esp). L’Institut des sciences de la terre (IST) vient d’être érigé en école d’ingénieurs », a-t-il révélé dans un entretien avec Le Soleil.
Le gouvernement a accordé une suite favorable à la demande de l’assemblée de l’université et un décret a été signé, ajoute-t-il. « Cela va permettre à l’Ucad de disposer d’une autre école d’ingénierie centrée sur les ressources minières. Beaucoup de filières seront enseignées dans cette école à savoir le génie, le droit minier, le développement durable, l’entreprenariat etc... », détaille le recteur.
Ces changement sont également notés au Centre d’études des sciences et techniques de l’information (Cesti), et à l’Ecole Supérieure d’Economie Appliquée (ESEA) et l’Ecole des bibliothécaires archivistes et documentalistes (Ebad), tous « devenus des écoles avec rang de faculté ».
Si l’on en croit l’économiste, ancien doyen de la Faseg ce changement « permettra leur montée en puissance et nous permettra de mieux consolider notre rôle de hub régional dans des domaines aussi importants pour le développement de nos pays ».
Faut-il s’inquiéter pour une école comme le Cesti, modèle d’excellence sous régional. La question se pose face aux risques d’un effectif pléthorique. Mais le recteur se veut rassurant. « Non. Il s’agit de mettre à l’échelle le modèle d’excellence. Le Cesti a toujours été un hub sous régional. Les meilleurs journalistes de la sous-région ont été formés ici. Il s’agit de donner au Cesti les moyens et la flexibilité nécessaires pour capitaliser sur ses atouts. Ça va permettre au Cesti de monter en puissance et de consolider sa place de hub régional dans le domaine des sciences de l’information et de la communication », argumente-t-il.
9 Commentaires
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En Novembre, 2021 (15:56 PM)As
En Novembre, 2021 (16:03 PM)Boopou bou naara barkél ay nop youy dégue gno siy sakh
On l'a chassé de la fonction public, téwoul Ay mbiram mougui dokh, tay la gueuna am barkél.
SI tu parles du Président Sonko, say mbir day dokh
Si tu veux qu'on t'ecoute, parle de lui
Si tu veux qu'on te regarde, parle de lui
Il n'est pas Prophète ni walliyou
Sougnou Borom mokaa def nimoumel
Gnoukay gnanal wër, goudou fane bou barkél
Soutoura adouna ak allakhira, Yalla sougnou Borom arr KO samb KO, défal KO Teranga adouna ak allakhira, ak Li gueun si mome
Ak mboléme djoulite
Amiine
En Asie les ingénieurs et scientifiques faisaient des erreurs et de mauvaise machine et apprenaient de leurs erreurs en toute modestie.Lafricain a honte d'essayer et de commencer et cherche toujours la reconnaissance de l'occident qu'il ne recevra cependant jamais.Toujours la théorie jamais vérifiée expérimentalement.
La technologie n'est pas de la magie mais le fruit de milliers d'expériences et d'échecs que n'importe quel personne dotée d'un cerveau peut faire.le reste du monde la accepté sauf l'Afrique de la politique politicienne.
Alumni Ist
En Novembre, 2021 (18:28 PM)Cet institut c'est une piece maitresse du developpement de notre cher sénégal qui tend vers l'emergence avec les decouvertes de pétrole et de gaz, de zircon, de phosphate, de l'or sans compter les ressources en eau (hydrogéologie, géophysique), le BTP (géotechnique)....
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