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UCAD : Suspension des cours au moment « inopportun »

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UCAD : Suspension des cours au moment « inopportun »

L’Université Cheikh Anta Diop (UCAD) de Dakar a renoué avec la crise ce lundi. Les enseignants du Syndicat Autonome du Supérieur ont décrété la suspension des cours pour réclamer le paiement de leurs heures supplémentaires et de meilleures conditions de travail. 

  

Du Coup, la section de la Faculté des Lettres et des Sciences Humaines (FLSH), celle de l’Ecole des Bibliothécaires, Archivistes et Documentalistes (EBAD) et du CESTI se trouvent paralysées. Toutefois, même s’ils semblent comprendre les revendications des professeurs, les étudiants au micro de la RFM, affirment que le moment est mal choisi car les examens sont pour bientôt, s’expliquent-ils. 

  

Conscients que l’année est « déjà assez perturbée », ils interpellent l’Etat pour décanter la situation.



5 Commentaires

  1. Auteur

    Da

    En Août, 2012 (20:57 PM)
    C'est bien, si notre argent peut servir a entretenir des politiciens pourquoi pas payer les Profs d'abord. C'est un moment tres opportun pour soulever ce probleme. Si l'etat n'avait pas d'argent il n'allait pas acheter 250 voitures pour 150 deputes et en plus s'appreter en entretenir des gens qui n'ont que pour merite d'etre politicien!  :down:  :down:  :down: 
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  2. Auteur

    Citoyen

    En Août, 2012 (21:29 PM)
    Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l'enseignement supérieur de notre pays. Nos instituions d'enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui feignent de ne rien savoir pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques!) qu'ils ont nommé à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise. Face à la démission de l’État, chaque corporation cherche une solution pour améliorer ses conditions d'existence et parfois au détriment de la communauté. Cette situation est donc une conséquence de l'inaction de l’État. En effet quand les dirigeants (nommés par le Président) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde, les syndicats demanderont des chosent hors normes et c'est le début du CHAOS. A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs).

    L’État ne peut continuer à protéger ceux qui mettent à genou nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats, je pense que les responsabilités sont partagées.

    Des assises avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens du systèmes pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.



    Dewenati
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    Auteur

    Farba Laye

    En Août, 2012 (22:35 PM)
    c'est bien courage ce gouvernement est mal parti la récréation est terminée; cest des irresponsables et des hâbleurs. regardez le ministre serigne mbaye thiam il passe tout son temps à maquiller l'image du gouvernement personne ne travaille dans son cabinet; aucun problème n'est réglé depuis sa prise de fonction. aucun vous pouvez le verifier il nose même pas faire des tournes dans les autre campus.
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    Auteur

    John

    En Août, 2012 (08:59 AM)
    Les enseignants sont cons tjrs en gréve juska quand? 4 mois de cours 5 mois de gréves.Le probleme c est que ces gréves ne portent plus ses fruits par ce que les sénégalais s y ont habitués ainsi que les étudiants.C est comme si ca faisait parties du fonctionnement normal de nos écoles et universités.On s en fout.Faites la gréves 12mois sur 12. De tte facon la vie continue.Ca fait presque 20ans vs faites la gréve et ca fait 20ans on s en moque.
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    Auteur

    Diofy

    En Août, 2012 (14:59 PM)
    Mais il faut revenir a l'équilibre c'est à dire couper les salaires pendant la grève! c'est cela aussi le droit de grève!. Si les enseignants savent qu'ils peuvent aller en grève et se pointer après chaque fin de mois à la caisse et réclamer son salaire, c'est normal qu'ils en abusent . Et puisque c'est des héros locaux ; ils n'aspirent pas un jour au pris Nobel!!
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