En collaboration avec le réseau des parlementaires pour la protection de l’environnement au Sénégal (REPES), le Cabinet Ingénierie (IDEV), ex-senagrosole continue ses activités. Hier, mercredi ils ont effectué une visite de terrain. Le départ a eu lieu le matin à 10 heures 15 minutes à l’Assemblée nationale. Une visite qui a permis aux agriculteurs d’échanger avec le réseau des parlementaires pour la protection de la REPES au Sénégal sur les perspectives de l’activité agricole a suscité la réflexion sur les mécanismes politiques de sauvegarde des activités agricole dans la région. Permettant également d’arriver à la sécurité des terres existant qui selon les agriculteurs reste une condition sine qu’a none pour le maintien de l’activité agricole à Dakar. A 11 heures 25 minutes a commencé la visite dans la zone « Lendeng ». Une zone favorable à la culture maraichère. Babacar Ndoye le maire de la commune d’arrondissement de Rufisque-Est a eu à souligner quelques problèmes liés à la culture dans cette zone. Il a eu à montrer que Rufisque 2 est à proximité de l’usine SOCOSIM, avec les difficultés d’urbanisation, l’accès à l’eau, les problèmes fonciers, sont autant de facteurs qui ne favorisent pas l’exploitation de ces sites. Pour le maire l’Etat doit aider à la prévention de ces zones. Plusieurs députés parlementaires, des maires de différentes communes, pu échanger avec les agriculteurs. Selon les agriculteurs, plus de 300 personnes travaillent dans la zone. Chaque année ils réalisent un chiffre d’affaire de près de 560 millions de francs Cfa. La visite continue à la pate doit. Arrivé dans la zone à 14 heures 15 minutes, les parlementaires ont échangé avec l’association des maraichères de la zone trouvé sur place. Leur président Antoine Ndong répond aux questions des visiteurs du site : « nous avons ici 14 hectare de terres cultivables avec un chiffre d’affaire de plus de trois (3) millions de francs Cfa. Il ya plus de 1000 personnes qui travaillent dans cette zone » à-t-il souligné avant de poursuivre : « Nous somme confronté à plusieurs difficulté ici. Le problème d’eau d’intoxication : des gens y fabrique des marmites, d’autres y font des poissons fumés, on trouve ici également des porcheries. Il ya des gens qui s’adonnent à la fabrication d’alcool appelé soum-soum, problème d’insécurité. Sont autant d’activité qui sont incompatible avec nos culture », dénonce t-il. Par ailleurs ils interpellent l’Etat à les soutenir dans leur activité. Ces autorités ont eu à renouveler leur engagement au près de ces producteurs agricoles de Dakar, à accompagner ces activités. « Cette visite était l’initiative de l’IDV qui a bien voulu travailler avec les parlementaires. La zone présente des pressions foncières. Il ya eu des installations anarchique dans cette zone et nous allons saisir les autorités compétant par rapport a toutes ses questions», soutient-il.
1 Commentaires
Poufff !!
En Juin, 2013 (17:11 PM)Participer à la Discussion