Pour point de départ de sa chronique, Sophia Aram s'est basée sur les propos de Christine Lagarde. Depuis Davos, la patronne du FMI a en effet rendu hommage au roi en déclarant qu'il était un "grand défenseur des femmes".
Si le monarque d'Arabie Saoudite a autorisé les femmes à voter et à se présenter aux élections locales, Sophia Aram a préféré dénoncer les inégalités qui persistent dans un pays où les femmes n'ont pas le droit de conduire et doivent encore obtenir la permission de leur mari pour bon nombre de leurs activités (salaire, voyage, mariage...).
"C'est tellement discret que je n'avais pas vu ce qu'il a fait pour les femmes", a entamé une Sophia Aram entièrement voilée, imitant un accent arabe.
"De discrétion en discrétion, dans un ou deux millénaires peut-être qu'en Arabie Saoudite les femmes obtiendront les mêmes droits que les hommes", a terminé la chroniqueuse avant de retirer sa burqa.
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