Un internaute est pénalement responsable de ce qu'il met en ligne. Nai Mai Cho l'a appris à ses dépens. Cette assistante infirmière de Portland aux Etats-Unis, avait de bien curieuses occupations sur Facebook. En effet, il y a quelques semaines, l'une de ses collègues de l’hôpital découvre avec stupéfaction que la jeune femme a publié sur son profil une image du postérieur de l'un de ses patients en fin de vie.Une photo accompagnée de commentaires particulièrement humiliants à l'égard de la personne âgée. Mais sa découverte ne s’arrête pas là puisqu'elle repère également d'autres images publiées depuis le mois d'avril.
Certaines font froid dans le dos et témoignent du goût du sordide comme celle illustrant les conséquences de l'incontinence d'un patient sur son lit de mort. Résultat : une fois dénoncée à sa hiérarchie, l'assistante infirmière est renvoyée de l’établissement et condamnée à huit jours de prison.
Privée de réseaux sociaux
Désormais en libération conditionnelle, la coupable a également été condamnée à effectuer des travaux d'intérêt général. Et pour éviter une possible récidive, la justice a décidé de lui interdire tout accès aux réseaux sociaux jusqu'à nouvelle ordre.Priée de transmettre une lettre d'excuse à sa dernière victime, l'infirmière a eu la mauvaise surprise de découvrir que la personne en question était décédée.
1 Commentaires
Nour
En Mars, 2012 (02:24 AM)Participer à la Discussion