Le comité d'éthique ad hoc de l'UE, consulté après la vague d'indignation publique déclenchée par l'arrivée de l'ex-chef de l'exécutif européen José Manuel Barroso dans la banque d'affaires Goldman Sachs, a estimé que le code de conduite n'avait pas été bafoué, dans un rapport rendu public lundi.
"Sur la base des informations fournies par M. Barroso dans une lettre adressée au président Juncker, et considérant le Code de conduite pour les commissaires, il n'y a pas d'éléments suffisants pour établir une violation du devoir d'intégrité et de réserve", conclu le comité, dont l'avis est non-contraignant.
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