La police et l'armée afghanes échangeaient des coups de feu lundi avec des hommes armés retranchés dans une maison adjacente au consulat indien de Mazar-i-Sharif, dans le nord de l'Afghanistan, douze heures après qu'ils ont tenté, en vain, de prendre le consulat d'assaut.
"L'opération de nettoyage a débuté, le gouverneur (de la province de Balkh, ndlr) Atta Mohammed Noor est sur place pour la superviser", a indiqué Mounir Farhad, porte-parole de M. Noor. "Les insurgés tirent des coups de feu et lancent des grenades" en direction des forces de l'ordre, a-t-il poursuivi.
Zone résidentielle
Le consulat "est dans une zone résidentielle. Nous sommes donc très prudents, nous voulons éviter que des civils soient blessés", a-t-il encore expliqué.
"L'opération de nettoyage a débuté, le gouverneur (de la province de Balkh, ndlr) Atta Mohammed Noor est sur place pour la superviser", a indiqué Mounir Farhad, porte-parole de M. Noor. "Les insurgés tirent des coups de feu et lancent des grenades" en direction des forces de l'ordre, a-t-il poursuivi.
Zone résidentielle
Le consulat "est dans une zone résidentielle. Nous sommes donc très prudents, nous voulons éviter que des civils soient blessés", a-t-il encore expliqué.
Les rebelles talibans n'ont pas revendiqué l'attaque qui a commencé tard dimanche soir, lorsque six assaillants ont tenté de prendre le bâtiment d'assaut.
Contexte politique
Cette attaque intervient une dizaine de jours après une visite en Afghanistan du Premier ministre indien Narendra Modi. Ce dernier a aussi récemment tendu la main au Pakistan en effectuant une visite surprise à Lahore (nord-est du Pakistan) pour y rencontrer son homologue pakistanais Nawaz Sharif, que Kaboul accuse de parrainer la rébellion des talibans.
Efforts en péril
C'était le premier déplacement d'un chef de gouvernement indien au Pakistan en plus de 10 ans. Mais ces efforts sont en péril après l'attaque spectaculaire lancée samedi contre une base aérienne dans le nord de l'Inde, dont les auteurs sont soupçonnés d'appartenir au groupe islamiste Jaish-e-Mohammed, basé au Pakistan.
Contexte politique
Cette attaque intervient une dizaine de jours après une visite en Afghanistan du Premier ministre indien Narendra Modi. Ce dernier a aussi récemment tendu la main au Pakistan en effectuant une visite surprise à Lahore (nord-est du Pakistan) pour y rencontrer son homologue pakistanais Nawaz Sharif, que Kaboul accuse de parrainer la rébellion des talibans.
Efforts en péril
C'était le premier déplacement d'un chef de gouvernement indien au Pakistan en plus de 10 ans. Mais ces efforts sont en péril après l'attaque spectaculaire lancée samedi contre une base aérienne dans le nord de l'Inde, dont les auteurs sont soupçonnés d'appartenir au groupe islamiste Jaish-e-Mohammed, basé au Pakistan.
Bilan
Dimanche, deux membres de ce commando islamiste présumé ont été tués dans de nouveaux échanges de tirs. Au total, sept militaires et six assaillants sont morts dans cette rare attaque contre la base de Pathankot, dans l'Etat du Pendjab, à une cinquantaine de kilomètres de la frontière avec le Pakistan.
Cachemire
La base est également située à proximité du Cachemire, une région divisée que les deux pays se disputent depuis des décennies, parfois militairement.
Dimanche, deux membres de ce commando islamiste présumé ont été tués dans de nouveaux échanges de tirs. Au total, sept militaires et six assaillants sont morts dans cette rare attaque contre la base de Pathankot, dans l'Etat du Pendjab, à une cinquantaine de kilomètres de la frontière avec le Pakistan.
Cachemire
La base est également située à proximité du Cachemire, une région divisée que les deux pays se disputent depuis des décennies, parfois militairement.
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