Les 54 corps issus du crash de l'avion de Trigana Air, dimanche dernier en Indonésie, ont tous été évacués de la jungle et se trouvent désormais dans un hôpital de Jayapura où leur identification doit avoir lieu. Ils seront ensuite remis aux familles, selon le directeur des opérations chez Trigana Air, Beni Sumaryanto. Parallèlement, des experts français de l'avionneur franco-italien ATR et du Bureau d'Enquêtes et d'Analyses (BEA) sont arrivés à Jakarta, ont indiqué jeudi les autorités.
L'appareil, un ATR 42-300 de la compagnie indonésienne Trigana Air, avait décollé de Jayapura, capitale de la province orientale de Papouasie, et s'est abîmé par mauvais temps dans une zone de la jungle sans voie d'accès terrestre à une quinzaine de kilomètres de l'aéroport d'Oksibil, autre ville de cette région où il devait atterrir.
L'appareil, un ATR 42-300 de la compagnie indonésienne Trigana Air, avait décollé de Jayapura, capitale de la province orientale de Papouasie, et s'est abîmé par mauvais temps dans une zone de la jungle sans voie d'accès terrestre à une quinzaine de kilomètres de l'aéroport d'Oksibil, autre ville de cette région où il devait atterrir.
Les équipes de secours avaient atteint mardi le site de l'accident, et les premiers corps de victimes ont été évacués mercredi au cours d'opérations difficiles dans une forêt dense en montagne.
Trois experts du BEA français et quatre représentants d'ATR -- trois Français et un de Singapour -- sont arrivés dans les locaux du Comité national indonésien de sécurité des transports pour participer à l'enquête, a déclaré à l'AFP un responsable du comité, Nurcahyo Utomo. Ils doivent examiner l'une des boîtes noires, le CVR (Cockpit Voice Recorder, l'enregistreur de conversation dans le cockpit) retrouvé sur le site de l'accident en Papouasie et devant arriver jeudi après-midi à Jakarta.
Les enquêteurs sur le terrain sont toujours à la recherche de la seconde boîte noire, le FDR (Flight Data Recoder, enregistreur des données de vol), après avoir annoncé plutôt dans la semaine, par erreur, qu'elle avait aussi été retrouvée.
Trois experts du BEA français et quatre représentants d'ATR -- trois Français et un de Singapour -- sont arrivés dans les locaux du Comité national indonésien de sécurité des transports pour participer à l'enquête, a déclaré à l'AFP un responsable du comité, Nurcahyo Utomo. Ils doivent examiner l'une des boîtes noires, le CVR (Cockpit Voice Recorder, l'enregistreur de conversation dans le cockpit) retrouvé sur le site de l'accident en Papouasie et devant arriver jeudi après-midi à Jakarta.
Les enquêteurs sur le terrain sont toujours à la recherche de la seconde boîte noire, le FDR (Flight Data Recoder, enregistreur des données de vol), après avoir annoncé plutôt dans la semaine, par erreur, qu'elle avait aussi été retrouvée.
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