Les cinq salariés d'Air France soupçonnés d'être les auteurs des violences qui ont émaillé la réunion du comité central d'entreprise (CCE) du 5 octobre ont été mis à pied, a-t-on appris jeudi de source syndicale.
"Les cinq salariés ont été mis à pied, sans solde", a indiqué un représentant de Sud.
Contacté par Reuters, un porte-parole d'Air France n'a pas souhaité faire de commentaire dans l'immédiat.
Les cinq salariés identifiés grâce aux images vidéo des violences seront jugés le 2 décembre prochain.
"Les cinq salariés ont été mis à pied, sans solde", a indiqué un représentant de Sud.
Contacté par Reuters, un porte-parole d'Air France n'a pas souhaité faire de commentaire dans l'immédiat.
Les cinq salariés identifiés grâce aux images vidéo des violences seront jugés le 2 décembre prochain.
Ils encourent jusqu'à trois ans de prison et 45.000 euros d'amende.
Le 5 octobre dernier, le directeur des ressources humaines d'Air France et un responsable de l'activité long-courrier avaient été pris à partie par des salariés furieux après l'annonce de 2.900 suppressions de postes.
Les images montrant ces dirigeants fuyant les manifestants, chemise arrachée et costume déchiré, ont fait le tour du monde. Trois autres cadres ont été molestés et deux vigiles blessés.
(Cyril Altmeyer, avec Marine Pennetier, édité par Yves Clarisse)
Le 5 octobre dernier, le directeur des ressources humaines d'Air France et un responsable de l'activité long-courrier avaient été pris à partie par des salariés furieux après l'annonce de 2.900 suppressions de postes.
Les images montrant ces dirigeants fuyant les manifestants, chemise arrachée et costume déchiré, ont fait le tour du monde. Trois autres cadres ont été molestés et deux vigiles blessés.
(Cyril Altmeyer, avec Marine Pennetier, édité par Yves Clarisse)
2 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2015 (10:08 AM)From Zion
En Octobre, 2015 (10:11 AM)Participer à la Discussion