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Quand Nicolas Sarkozy tacle Vladimir Poutine

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Quand Nicolas Sarkozy tacle Vladimir Poutine

N'en déplaise aux critiques systématiques en ces temps de désamour du moindre des gestes de Nicolas Sarkozy, c'est assez finement joué de sa part que ce voyage dans le Caucase. Avec comme point d'orgue, vendredi, la Géorgie, après l'Arménie et l'Azerbaïdjan. Une démarche qui a du sens, pas seulement parce qu'elle peut valoir au président, après son discours à Erevan, quelques faveurs électorales de plus de la communauté arménienne, mais surtout parce que, pour ces trois pays et en particulier la Géorgie, le moment était particulièrement bien choisi de rappeler à la Russie de Poutine certaines limites à ne pas franchir.

Inciter d'abord Turcs et Arméniens à trouver "le chemin d'une paix durable" après des années de détestation dont l'origine remonte aux massacres et déportations commis par l'empire ottoman il y a pratiquement un siècle (1915-1917), c'est, comme l'a dit le président, tourner une page empreinte de sang et de larmes, celle du génocide arménien, comme ont su le faire Français et Allemands au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, après les horreurs commises par le nazisme.

Réaffirmer ensuite à Tbilissi l'indépendance de la Géorgie dont, en août 2008, il avait réussi à empêcher qu'elle soit avalée tout cru par la Russie, c'est manifester que la France - et derrière elle, on l'espère, l'Europe - est toujours aussi attachée aux termes de l'accord de paix acceptés à l'époque par Moscou mais jusqu'ici bafoués par le Kremlin. Un texte réaffirmant l'intégrité du pays dont deux provinces, celles d'Ossétie et d'Abkhasie, vivent pourtant depuis trois ans sous un protectorat russe qui y masse 10 000 soldats et y a construit de nouvelles bases militaires.

"À Tbilissi, je me sens en Europe et pas ailleurs"

"La France ne se résigne pas au fait accompli", a rappelé Nicolas Sarkozy, sans trop se faire d'illusions pourtant sur sa capacité à forcer ou convaincre les Russes d'abandonner des territoires qu'ils estiment leurs. Les temps certes ont changé, mais la vieille maxime soviétique "Ce qui est à nous est à nous, ce qui est à vous est négociable" reste d'actualité.

Ainsi, la semaine passée dans les "Izvestia", Vladimir Poutine a-t-il décrit le grand projet géopolitique qu'il voulait développer quand il reviendrait à la présidence l'an prochain, après son numéro de chaise musicale avec Medvedev. Il s'agit de créer une "union eurasienne", formée avec les pays qui formaient autrefois l'Union soviétique. Avant la fin de 2011, l'ébauche de cette union pourrait se faire d'abord avec le Kazakhstan et la Biélorussie. Puis le Tadjikistan et le Kirghizstan. Avant l'Arménie, l'Ouzbékistan et pourquoi pas la Géorgie...

Les trois pays où Sarkozy vient justement de se rendre. Certes Poutine précise qu'il ne s'agit pas de recréer l'URSS, mais seulement de porter "une union économique et politique à un niveau élevé d'intégration. Une structure supranationale capable de devenir un des pôles du monde moderne." Si ce n'est pas la défunte Union soviétique, cela ressemble furieusement à cet empire dont Poutine a écrit un jour que "sa disparition, en 1991, était la plus grande catastrophe géopolitique du XXe siècle".

Voilà pourquoi lorsque Nicolas Sarkozy déclare devant 10 000 personnes : "Lorsque je suis à Tbilissi, je me sens en Europe et pas ailleurs", et qu'il enchaîne sur la liberté qu'a la Géorgie de rejoindre l'Union européenne et même l'Otan, c'est, à défaut d'autre chose, un signal qu'il envoie à l'ancien et futur président Poutine et un tacle à ses ambitions.



5 Commentaires

  1. Auteur

    Mory

    En Octobre, 2011 (10:40 AM)
    Poutine est l’homme politique qui métrise plus le terme de la démocratie, malgré toutes les reproches dont il a fait l’objet, quand il a dit que la démocratie n’est pas le tout permis et l’anarchie.Poutine donne à la démocratie toute ses lettres de noblesse. Adulé par certains et critiqué par d’autres, Vladimir Poutine tient toujours sa route. La méthode qu’il faut pour sauver le monde Vladimir Poutine l’a dans sa tête et ses interviews, ses sorties, ses interventions toujours quand le monde ou une partie du monde est instable l’ont bien illustrés. Militairement politiquement et économiquement, la Russie est très puissante. Malgré cette force, Poutine se soucie toujours de la sécurité internationale et cela se laisse voir à travers ses interviews et ses discours.De preuves, l’interpellant sur l’action unilatérale par le journaliste Français Christian MALAR ,Poutine dit : « une action unilatérale serait une grande erreur mais la conséquence la plus grave serait la menace de fracture au sein du conseil de sécurité et la fin de la coalition anti-terroriste, cela pourrait provoquer la désintégration de l'Irak, la complication du réglement israélo-palestinien, la radicalisation du monde musulman avec des conséquences imprévisibles sur les pays arabes ouverts aux valeurs démocratiques, ainsi que les risques de nouveaux attentats terroristes » « J’estime que le modèle unipolaire n’est pas seulement inadmissible pour le monde contemporain, mais qu’il est même tout à fait impossible ce modèle est inefficace, car il ne peut en aucun cas reposer sur la base morale et éthique de la civilisation contemporaine»« Les actions unilatérales, souvent illégitimes, n’ont réglé aucun problème ».Dans son discours à la conférence de Munich le 11 février 2007, Poutine, toujours dans son œuvre pour un monde de paix, a laissé entendre ceci : « Il est très important d’appliquer les normes juridiques internationales en matière de désarmement, tout en poursuivant la réduction des armements nucléaires ».

    Le poids lourd que Poutine pèse dans la géopolitique mondiale est justifié par sa méthode qui a fait la Russie un pays moderne et ouvert au plan international.il a fait da la Russie un pays d’éducation sans égal. Il parcourt le monde pour exalter les valeurs de la Russie qu’il associe toujours avec démocratie. Ainsi la Russie occupe considérablement sa place dans le tumulte de la mondialisation dans toutes les dimensions. Le peuple russe est un des peuples les plus disciplinés au monde, un peuple qui n’a jamais fait preuve d’arrogance ou d’autoritaire aux autres peuples pour ne pas dire aux peuples Africains lors de la période de la colonisation ou encore de la traite negriere. Indexe par certains pays, la Russie reste toujours très indulgente et incarne toujours une communauté de frères car sachant que la violence que ça soit morale ou physique n’engendre que haine et amertume, pour paraphraser l’expression de Martin Luter KING. Dans un de ses interviews, ce natif de Leningrad dit : « La Russie moderne ne considère personne comme ennemi et nous voulons établir des relations de partenariat »



    Dans toute l’histoire de la Russie, du tsarisme passant par le stalinisme jusqu’au communisme, la Russie n’est devenue que vers les années 1990 une Russie moderne. Et cela s’accentue de plus en plus depuis l’apparition de Vladimir Poutine dans la scène politique russe. Son style déterminé dirait que Poutine est très direct et déterminé dans ces actions

    Concernant son franc parler, Poutine est conscient qu’il faut refonder le monde, qu’il faut bâtir de nouveaux consensus pour le monde et qu’il faut être absolument très critique par rapport à la marche du monde si nous voulons résolument nous inscrire dans un monde de paix et de partenariat

    Papa Mory GUEYE etudiant en Russie

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  2. Auteur

    Boy Pékin

    En Octobre, 2011 (10:53 AM)
    vive Poutine  <img src="https://images.seneweb.com/content/seneweb/generic/images/smileys/bravo.gif" alt=":bravo:">  
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    Auteur

    Man La Rek!

    En Octobre, 2011 (11:05 AM)
    Attention dé SarKozy!!!!

    Poutine Moo la gueuna Weuyou FOuuuuuFff

     :dedet:  :dedet:  :dedet:  :dedet: 
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    Auteur

    Diborsarr

    En Octobre, 2011 (15:35 PM)
    IDY EST UN GRAND TRAFIQUANT DE PERSONNALITE



    CURSUS SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE DE IDRISSA SECK



    Toute la vérité, rien que la vérité sur les études peu reluisantes de Idy.



    Au cours de sa sortie sur la radio Rfm, Idrissa Seck a beaucoup parlé de son cursus scolaire et universitaire en citant tour à tour le collège Saint Gabriel de Thiès, le lycée Vanvo de Dakar, Sciences Politiques de Paris et naturellement l'université de Princeton des Etats-Unis. Mais curieusement, Idy ne fait que répéter inlassablement son statut d' «ancien» de ces établissements scolaires et universitaires. Il dit : «Je suis ancien de Sciences Politiques, je suis ancien de Princeton». Remarquez l'escroquerie : Idy ne dit jamais «je suis diplômé de Sciences Politiques à Paris» ou bien «je suis diplômé de Princeton aux Etats-Unis», mais seulement «je suis ancien de ces établissements». Pour la gouverne des lecteurs qui risquent de se laisser abuser par Idy, nous rappelons ceci :



    L'EXAMEN D'ENTREE EN 6EME : PREMIER ECHEC



    Idy avait échoué à l'examen d'entrée en 6ème à Thiès en 1972. Heureusement, c'est l'épouse chrétienne de son cousin Alioune Badara Niang, (cette femme est la sœur de Marie Thérèse Diédhiou) qui avait été prise de pitié par le sort et par la pauvreté de Idy. Cette femme-là est allée solliciter au collège Saint Gabriel une place en classe de 6ème en faveur de Idrissa Seck comme «cas social». Dans ce collège, tout le monde payait sauf Idy, parce qu'il était issu d'une famille misérable (son père était vendeur de légumes au marché de Thiès et sa mère griotte dans les cérémonies mondaines). Voilà comment Idy s'est retrouvé au collège Saint Gabriel.



    STATUT DE «RECASÉ» AU LYCÉE VANVO



    Pour le lycée Lamine Guèye, c'est toujours son cousin Alioune Badara Niang (mais c'est encore plus complexe et plus grave dans leurs relations familiales) qui avait réussi à lui trouver une place de «recasé» dans le lycée où il n'y avait que des fils à papa. Ce n'était pas le lieu indiqué pour un misérable comme Idy, mais le coup de pouce de l'avocat Wade a été déterminant pour que Idy entre à Vanvo. Là aussi, il n'était pas un brillant élève comme il voudrait le laisser croire. C'est vrai qu'il se classait premier en arabe, mais c'est tout. Pour toutes les autres matières, il était médiocre. C'était entre 1978 et 1981, les archives sont là. Idy a eu son bac en 1981 à l'âge de 22 ans alors que ses camarades de classe en avaient 17 ou 18, ce qui n'est donc pas le propre d'un dénie.



    A L'UNIVERSITÉ DE PARIS, IDY ÉTAIT HÉBERGÉ PAR OUSMANE NGOM



    Venons-en maintenant à ses études de Sciences Politiques à Paris. Idy avait la manie de s'inscrire dans une université uniquement pour avoir la carte d'étudiant afin de garnir son CV. C'est tout. Idy ne peut pas brandir un diplôme qui lui aurait été décerné par cette université parisienne. D'ailleurs, il est arrivé à Paris en septembre 1981. Sur recommandation de Wade, il était hébergé dans la chambre d'étudiant de Ousmane Ngom. Mais c'est seulement pendant l'année 1986-1987 qu'il est allé s'inscrire à Sciences Politiques. Question : Qu'a fait Idy entre 1981 et 1987 à Paris ? Réponse : Rien du tout, sinon vadrouiller et vivre aux basques de Ousmane Ngom qui l'avait entièrement pris en charge alors que le fainéant Idy ne faisait que dormir.



    D'ailleurs, quel besoin un diplômé de Sciences Politiques peut-il trouver à revenir à Dakar en 1988 pour essayer de s'inscrire à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l'Université de Dakar ? Pour toute réponse, le Doyen de la Faculté à qui il avait fait parvenir une demande lui avait répondu que la seule faveur qu'on pouvait lui faire, c'était de l'autoriser à s'inscrire en Duel II. Aussitôt, Idy avait boudé pour aller chercher ailleurs. Si vraiment il était diplômé de Sciences Politiques, ce n'est pas une inscription en Duel II que le Doyen lui proposerait, mais plutôt un poste de professeur dans cette même Faculté. Ceci révèle encore une fois que Idy a toujours été un escroc du savoir, un escroc des diplômes.



    IDY ÉTAIT INSCRIT EN COURS DU SOIR POUR 6 MOIS A PRINCETON



    Enfin, pour ce qui concerne maintenant son passage à l'université américaine de Princeton, il faut préciser que c'est Jean Collin, l'ancien tout-puissant ministre d'Etat de Abdou Diouf qui, pour récompenser Idrissa Seck de sa tortuosité (il était taupe du régime Ps au seindu Pds), lui avait octroyé la bourse pour un séjour de 6 mois seulement aux Etats-Unis. Oui, vous avez bien lu. Nous avons bien dit «6 mois».



    Nous savons bien comment fonctionnent les universités américaines en matière d'études et de diplômes. Si un étudiant arrive aux Etats-Unis avec le bac, il a d'abord deux formalités à remplir. La première, c'est passer un test de niveau à l'issue duquel l'université l'accepte comme étudiant. La deuxième, c'est de faire 6 mois d'adaptation à la langue : ces 6 mois destinés aux francophones servent à apprendre l'anglais pour pouvoir comprendre les explications des professeurs.



    Ces deux formalités, une fois remplies, l'étudiant attaque maintenant le premier cycle qui dure 4 ans à l'issue desquels il obtient le diplôme appelé Bachelor. Après ces 4 ans, l'étudiant entre en second cycle qui dure 2 ans à l'issue desquels il obtient encore un diplôme qui s'appelle MBA. Enfin, l'étudiant attaque le troisième et dernier cycle qui dure 2 ans et qui est sanctionné par le plus haut diplôme américain et qui s'appelle PH.D. qui donne le titre de Docteur. Voilà pourquoi on dit Docteur Cheikh Tidiane Gadio. Lui, il a bouclé les 8 ans sans redoubler pour avoir obtenu à la fois le Bachelor, le MBA et le PH.D. Parmi les ministres de l'actuel gouvernement, Mamadou Sidibé a suivi le même cursus aux Etats-Unis. Revenant à Idy, signalons qu'il est arrivé aux Etats-Unis en avril 1991, il a étudié 6 mois à Princeton et est rentré à Dakar en septembre 91. Alors, quel diplôme a-t-il pu ramener de Princeton après seulement 6 mois de cours du soir ? Nous disons bien «cours du soir». Voilà pourquoi Idrissa Seck n'a eu aucun diplôme d'études supérieures. Aucun ! Et nous le défions de nous prouver le contraire

    I

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    Auteur

    Gghh

    En Octobre, 2011 (19:45 PM)
    Article bidon,Sarkozy est trés petit ,pour tacler Poutine,la Russie n´est pas la côte -d´ivoire ou le senegal.
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