Lassana Bathily, employé du magasin Casher où s'était retranché Amédy Coulibaly, avait caché des otages dans une chambre froide. Après s'être enfui par le monte-charge, il avait donné de précieuses informations à la police.
Héros malgré lui. Six mois jour pour jour après les faits, Lassana Bathily tente de mener une vie aussi normale que possible. Soulevant l'admiration pour avoir sauvé la vie de plusieurs otages, le jeune homme s'est confié ce jeudi à RTL.
"Rien n'a changé. Je prends le métro, le bus. Je vis dans la même petite chambre de 14m². J'ai les mêmes amis. Tout pareil. Le même Lassana.
Héros malgré lui. Six mois jour pour jour après les faits, Lassana Bathily tente de mener une vie aussi normale que possible. Soulevant l'admiration pour avoir sauvé la vie de plusieurs otages, le jeune homme s'est confié ce jeudi à RTL.
"Rien n'a changé. Je prends le métro, le bus. Je vis dans la même petite chambre de 14m². J'ai les mêmes amis. Tout pareil. Le même Lassana.
Je ne suis pas un héros. J'ai juste fait un geste, j'ai pensé à moi d'abord, puis aux autres", indique celui qui a été naturalisé français onze jours après les faits et reçu la médaille du courage par le Centre Simon Wiesenthal de Los Angeles.
"Ah, c'est lui, c'est lui"
Il a cependant opéré un tournant professionnel. Finis les rayons de l'Hyper Casher, aujourd'hui il travaille pour un stade géré par la ville de Paris. Comme il le précise, il suit depuis deux mois une formation et un stage. "Cela me plaît beaucoup. C'est la meilleure chose pour moi de faire autre chose, pas rester à la maison, faire d'autres choses".
En dépit de son humilité, l'étiquette de héros lui colle à la peau, l'obligeant à vivre avec une notoriété embarrassante. "Tu prends le métro, le bus comme tout le monde, tout le monde crie ton nom. Dans la rue, tu sors tout le monde dit: Ah c'est lui, c'est lui. C'était un peu dur".
"Ah, c'est lui, c'est lui"
Il a cependant opéré un tournant professionnel. Finis les rayons de l'Hyper Casher, aujourd'hui il travaille pour un stade géré par la ville de Paris. Comme il le précise, il suit depuis deux mois une formation et un stage. "Cela me plaît beaucoup. C'est la meilleure chose pour moi de faire autre chose, pas rester à la maison, faire d'autres choses".
En dépit de son humilité, l'étiquette de héros lui colle à la peau, l'obligeant à vivre avec une notoriété embarrassante. "Tu prends le métro, le bus comme tout le monde, tout le monde crie ton nom. Dans la rue, tu sors tout le monde dit: Ah c'est lui, c'est lui. C'était un peu dur".
9 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2015 (12:03 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (12:15 PM)Abdoul Ndongo
En Juillet, 2015 (13:12 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (14:30 PM)Lamalienne
En Juillet, 2015 (15:25 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (16:08 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (16:15 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (21:14 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (21:19 PM)Participer à la Discussion