Ils sont 65 au total. Ce sont les pédophiles et les violeurs les plus dangereux d'Australie. Ils vivent tous ensemble à Corella Place, dans l'état de Victoria (au sud-ouest de l'Australie). L'endroit est plus connu sous le nom du "Village of the Damned". Les 65 habitants du "Village of the Damned" ont un point commun: un lourd passé judiciaire. Après avoir purgé leur peine de prison, ils restent bien trop dangereux pour être réinsérés en société. Du coup, ils vivent tous ensemble dans ce petit village.
La vie au "Village of the Damned" est complètement sécurisée avec des écrans de sécurité. Les habitants y vivent dans des petites maisons modernes composées par une, deux ou trois chambres. Les demeures sont entièrement équipées. GSM et petites maisons modernes Ces pédophiles et violeurs australiens sont assez bien lotis. Ils possèdent tous des téléphones portables et peuvent faire leurs courses au gré de leurs envies.
En plein jour, ils peuvent se déplacer où ils le désirent à condition d'être toujours accompagnés par deux gardes. Dans ce village, il existe un espace commun où ils peuvent tous se rencontrer. Cette zone est également utilisée comme lieu de thérapie pour lutter contre les pulsions sexuelles des pédophiles et violeurs. On tente de les "reprogrammer" pour ne pas qu'il tombe une nouvelle fois dans leurs travers. La hiérarchie est bien établie au "Village of the Damned": les violeurs en haut de l'échelle, les pédophiles tout en bas.
Des tensions naissent souvent entre ces deux groupes. La police australienne se rend parfois plusieurs fois par jour sur les lieux pour résoudre leurs conflits. Ils possèdent tous un bracelet électronique muni d'un GPS. Il est facile de les retrouver en cas de fuite. Quatre hommes ont tenté de se faire la malle au cours des 18 derniers mois. Ils n'ont pas tardé à être arrêtés par la patrouille.
"C'est assez angoissant" Malgré toutes les mesures de précaution, les habitants de Corella Place ne sont pas rassurés pour la sécurité de leurs enfants. "Quand quelqu'un tente de s'échapper, c'est diffusé immédiatement sur Facebook. Nous devons alors fermer nos portes et nos fenêtres jusqu'à ce que le criminel soit arrêté. C'est assez angoissant", avoue une mère de famille au Daily Mail.
D'autres habitants estiment que les pédophiles et les violeurs les plus dangereux d'Australie ont trop de droits. "Ils reçoivent bien trop de libertés. Le personnel doit tout faire pour ses habitants", raconte un citoyen de Corella Place.
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