La recherche du dollar a aveuglé des familles sénégalaises qui n’ont rien vu venir. Leurs enfants ont été des jouets sexuels d’un maniaque pendant plusieurs mois. Carlos, c’est le nom du bourreau des fillettes qui a, à l’insu des parents de victimes, pu satisfaire sa libido. Son crime découvert, il a pris la fuite et est activement recherché par la police de Philadelphie.
La communauté sénégalaise établie en Philadelphie aux Etats-Unis, est dans l’émoi.
Une dizaine de leurs enfants ont été victimes de sévices sexuels de la part d’un péruvien du nom de Carlos. Le « détraqué » sexuel serait en fuite. La police de Philadelphie le recherche activement selon nos informations suite à une plainte d’un père d’une victime.
Selon nos sources basées aux Etats-Unis, qui ont requis l’anonymat Carlos travaillait pour les familles sénégalaises en tant que chauffeur. « C’est lui qui conduisait les enfants, la plupart des fillettes à l’école dans une camionnette. Il en profitait pour s’adonner à des attouchements sexuels et se faisait des fellations par les fillettes. Je suis choqué, les enfants sont âgés de 2 à 8 ans. »
Selon nos sources, si le bourreau a pu sévir sans éveiller le moindre soupçon, cela est dû au manque de vigilance des parents des victimes. « Ils travaillent comme des forçats à la recherche de l’argent et ils n’ont même pas le temps de s’occuper de leurs enfants, de leur éducation. Voilà les conséquences de leur cupidité » peste notre interlocuteur.
Si le scandale a éclaté, c’est grâce un parent d’une fillette de 2 ans qui a porté plainte.
Les autres parents, informe nos sources, voulaient étouffer l’affaire. « Ils en veulent au parent plaignant parce qu’ils ont peur que la police dans le cadre de ses investigations découvrent que la plupart d’entre eux sont des illégaux aux Etats-Unis, c’est-à-dire des clandestins »
Cette psychose est d’autant plus justifiée selon nos sources, dans la mesure où l’ambassade du Sénégal à Washington n’a pas de conseiller juridique pour apporter assistance aux sénégalais en délicatesse avec la loi américaine. En plus soulignent nos sources : « Le Sénégal est un des rares pays africains à accepter de collaborer avec les services de l’immigration américaine pour rapatrier ses compatriotes illégaux ».
Entre la peur de retourner au Sénégal et la dénonciation de pratiques sexuelles contre-nature sur les gamines, les sénégalais voulaient opter pour la loi du silence.
Aujourd’hui, l’affaire est entre les mains de la police de Philadelphie. L’enquête est dirigée par l’inspecteur William Scott. C’est lui l’unité des victimes(Victim unit).
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