Emmanuel Macron a dû se justifier dimanche 15 avril lors de son interview sur l'intervention en Syrie. Une intervention qui continue de faire débat. France 2 fait le point.
La légitimité des frappes en Syrie était au cœur du débat ce lundi après-midi à l'Assemblée nationale. Une tension ravivée après deux jours de polémique et les propos tenus par Emmanuel Macron lors de son interview du dimanche 15 avril. Mais ne pas avoir de mandat explicite de l'ONU, c'est pour le Front national et la France insoumise une faute majeure.
Une obligation constitutionnelle
?"C'est fini le temps où à quelques pays on pouvait décider pour tout le monde", a estimé Jean-Luc Mélenchon à l'Assemblée nationale. "Il souhaitait avoir sa petite guerre, frapper militairement la Syrie sans évidemment prendre le risque qu'une enquête vienne contredire les soi-disant preuves dont il a fait état et dont il ne nous a pas apporté le début du commencement", a pour sa part déclaré Marine Le Pen. Pour rappel, le débat de ce lundi après-midi était une obligation constitutionnelle, sans aucun vote des députés.
2 Commentaires
Anonyme
En Avril, 2018 (15:05 PM)Anonyme
En Avril, 2018 (16:58 PM)Lam yan houni mou barizou Wafaydou RABBI barizou
Iblissou la youbarizou Joundal AZIZIL AHADI
=
Le combattant-aggresseur n'est pas dirigé vers moi
La lumière du Seigneur est victorieuse
Ibliss refuse de combattre
l'Armée du PUISSANT, de l'UNIQUE
jerejef Serigne Touba
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