Les chiffres ont été révélés par le Garde des Sceaux, ministre de la Justice en début de semaine lors d’un atelier de sensibilisation des journalistes sur l’impact du traitement des faits de violences sexuelles sur le bien-être des victimes et de leurs familles.
3000 cas de violences sexuelles parviennent, chaque année, aux instances judiciaires sénégalaises. Ce qui prouve, selon le psychologue clinicien Serigne Mor Mbaye, que « nous sommes dans un pays de voleurs et l’escroquerie est la base de cette société. Et l’abus sexuel ne doit plus être perçu comme un délit, mais plutôt un crime ».
Au niveau mondial, une enquête de l’Unicef a attesté que 81% des victimes des violences sexuelles sont des mineurs et 94% des agresseurs leurs proches.
0 Commentaires
Participer à la Discussion