Le régime de Macky Sall a décidément opté pour la méthode forte en procédant à l’arrestation des journalistes Alioune Badara Fall, Mamadou Seck et Mohamed Guèye, respectivement dans l’affaire des l’envoi de soldats sénégalais au Yémen et la publication dans la presse de l’intégralité des pv d’audition de Thione Seck poursuivi pour blanchiment d’argent supposé.
Des méthodes que dénoncent le Parti démocratique sénégalais (opposition) et ses membres. «C’est grave d’arrêter des journalistes parce que simplement ils font leur travail. Les libertés, c’est comme ça, on commence par un maillon plus ou moins faible, ensuite on touche à tout le monde.
Des méthodes que dénoncent le Parti démocratique sénégalais (opposition) et ses membres. «C’est grave d’arrêter des journalistes parce que simplement ils font leur travail. Les libertés, c’est comme ça, on commence par un maillon plus ou moins faible, ensuite on touche à tout le monde.
Donc, il faut impérativement que quand on touche quelqu’un, que tout le monde puisse se lever», suggère Oumar Sarr, le coordonnateur national du Pds, dans les colonnes de l'Observateur.
Pour lui, «le régime sait que les luttes vont se décupler. On a commencé par interdire aux gens la sortie du territoire, ce qui est contre la constitution. La liberté de presse est menacée, tout le monde est en danger», prévient Oumar Sarr, qui rassure quant au soutien du Pds aux journalistes arrêtés: «La presse peut compter sur le soutien du Parti démocratique sénégalais (Pds) parce que sur les questions de liberté, on ne peut pas négocier. De la même manière que nous demandons la libération sans condition de nos otages et prisonniers politiques, nous disons halte à toute pression».
Pour lui, «le régime sait que les luttes vont se décupler. On a commencé par interdire aux gens la sortie du territoire, ce qui est contre la constitution. La liberté de presse est menacée, tout le monde est en danger», prévient Oumar Sarr, qui rassure quant au soutien du Pds aux journalistes arrêtés: «La presse peut compter sur le soutien du Parti démocratique sénégalais (Pds) parce que sur les questions de liberté, on ne peut pas négocier. De la même manière que nous demandons la libération sans condition de nos otages et prisonniers politiques, nous disons halte à toute pression».
13 Commentaires
Anonyme
En Juillet, 2015 (11:07 AM)Cap
En Juillet, 2015 (11:39 AM)Secondd
En Juillet, 2015 (11:43 AM)Mo
En Juillet, 2015 (11:48 AM)Piff
En Juillet, 2015 (11:50 AM)Anonyme
En Juillet, 2015 (12:10 PM)Veronik
En Juillet, 2015 (12:11 PM)Momo
En Juillet, 2015 (12:51 PM)une presse sans conscience se développe au détriment du travail
journalistique. Une presse minée par la course au sensationnel,
gangrénée par la nullité des red-chefs et l'inconscience des pigistes.
On publie n'importe quoi, n'importe comment. On n’essaie même pas, de
là, où on est de faire de l'auto -censure, pour essayer de savoir, si
cet article peut porter tort au pays, aux Institutions ou à nos intérêts
tout court. Puisque la conscience vole bas, on publie bas, et le
niveau, volant au ras du sol, la presse Sénégalaise est devenue, ce
qu'elle est maintenant. Une presse à bulles, où, tout est faits
divers ou "fait - diversier. Les seuls articles pertinents dans la
plupart des journaux, sont les contributions des lecteurs. Et, le pire,
c'est que cette presse de bas étage a formaté une génération de lecteurs
qui ne lisent plus, que des faits divers .Les journaux les plus lus,
sont les journaux à sensation, les émissions les plus écoutées, sont les
émissions qui détruisent des vies et des familles. Des ignares, sortis
de la boue nauséabonde de l'inculture et de la méconnaissance,
tiennent haut le pavé de la cacophonie "journalistique''. Cette presse
de la paresse intellectuelle , de l'incurie et de l'irresponsabilité ,
elle doit même, être combattue et non, servir de cheval de bataille
contre le régime en place. Combattre cette presse de caniveau, est une
urgence nationale pour tous les intellectuels, les éducateurs et les
accros de la lecture, qui dépensent leurs sous, pour finalement se voir,
gaufrer d'articles vides, d'analyses de borne-fontaine et de
révélations malsaines qui ne nous emmènent nulle part, que vers la
médisance. Cette presse à titres, sans contenus, est en train de tuer le
débat et l'approche intellectuelle critique, qui donne aux usagers, les
outils d'analyse, pour comprendre l'information. Au Sénégal, les
journalistes, ne font plus la presse. La presse est entre les mains
d'agents commerciaux, tourmentés par le gain et de dirpubs,
affairistes. Le monstre, c'est cette presse là.
Anonyme
En Juillet, 2015 (13:32 PM)Anonyme
En Juillet, 2015 (15:52 PM)Pds
En Juillet, 2015 (16:15 PM)pays avec leurs brigades de repression qui sillonnaient le pays. Le pDS doit se taire.
Boyzpalm
En Juillet, 2015 (19:16 PM)dans le Senegal de 2015. Alors tant pis si les voleurs et malfaiteurs s'associent, tous au niouf!!!
Anonyme
En Juillet, 2015 (21:22 PM)Participer à la Discussion