Mohamed Lô n’ira pas en prison. Du moins s’il respecte ses engagements. Cet entrepreneur sénégalais est accusé par ses partenaires saoudiens d’avoir détourné 691 millions de francs CFA.
Ces fonds étaient destinés à la construction de quatre mosquées et de puits ainsi qu’à l’achat d’un immeuble. Constatant que ces projets n’ont pas vu le jour, malgré la mise à disposition de l’argent, les Saoudiens ont débarqué à Dakar et saisi la DIC. Le mis en cause a été arrêté et déféré au parquet pour abus de biens sociaux et escroquerie.
D’après L’Observateur, qui a révélé et suit cette affaire, le montant en cause a été légèrement revu à la baisse. L’accusation ne disposant pas, selon le journal, de preuves sur certaines sommes évoquées.
La même source renseigne que Mohamed Lô a échappé à un placement sous mandat de dépôt grâce à une médiation pénale. Dans le cadre de l’exécution de celle-ci, le mis en cause a versé la moitié de la somme due retenue et s’est engagé à régler le reliquat par traites mensuelles fixées d’accord parties.
En prenant ces engagements devant le procureur, l’entrepreneur a déclaré que si certaines des mosquées en question sont inachevées, les autres sont construites. Et il a ajouté être victime de «personnes tapies dans l’ombre» qui ont voulu «détruire ses relations avec ses partenaires saoudiens».
Ces fonds étaient destinés à la construction de quatre mosquées et de puits ainsi qu’à l’achat d’un immeuble. Constatant que ces projets n’ont pas vu le jour, malgré la mise à disposition de l’argent, les Saoudiens ont débarqué à Dakar et saisi la DIC. Le mis en cause a été arrêté et déféré au parquet pour abus de biens sociaux et escroquerie.
D’après L’Observateur, qui a révélé et suit cette affaire, le montant en cause a été légèrement revu à la baisse. L’accusation ne disposant pas, selon le journal, de preuves sur certaines sommes évoquées.
La même source renseigne que Mohamed Lô a échappé à un placement sous mandat de dépôt grâce à une médiation pénale. Dans le cadre de l’exécution de celle-ci, le mis en cause a versé la moitié de la somme due retenue et s’est engagé à régler le reliquat par traites mensuelles fixées d’accord parties.
En prenant ces engagements devant le procureur, l’entrepreneur a déclaré que si certaines des mosquées en question sont inachevées, les autres sont construites. Et il a ajouté être victime de «personnes tapies dans l’ombre» qui ont voulu «détruire ses relations avec ses partenaires saoudiens».
1 Commentaires
Cedddo
En Mars, 2023 (14:03 PM)Participer à la Discussion