Birane Ndour, directeur général du Groupe Futurs médias (GFM), la TFM et son directeur des programmes, Bouba Ndour, ont été jugés ce mercredi 23 mars devant la chambre correctionnelle de Dakar.
Ils sont accusés de violation du droit d’exploitation de l’œuvre et du droit moral de l’auteur sur son œuvre.
Le plaignant est le rappeur Bril, qui réclame aux mis en cause 100 millions de francs CFA, selon Source A, qui donne l’information ce jeudi.
Brill reproche à Birane Ndour et Cie d’avoir utilisé dans la série «Taille fine», sans son autorisation, un extrait de 26 secondes de sa chanson «Sama beug beug». L’un des sponsors du téléfilm, Nestlé, est également visé par le jugement.
Seul présent à la barre, Bouba Ndour a juré avoir obtenu l’aval oral de Bril,, via le directeur de la production de TFM, Pathé Dia.
Le patron de la chaîne de GFM a ajouté que lorsqu’il a eu connaissance de la plainte, ils ont recontacté Bril qui aurait déclaré pour justifier son action en justice qu’en donnant son aval, il ignorait que la série comportait de la pub.
«Je ne prendrais jamais l’œuvre de quelqu’un sans son autorisation», s’est défendu Bouba Ndour.
L’avocat de GFM, Me Baboucar Cissé, a plaidé la relaxe et demandé au tribunal de condamner Bril à verser à ses clients 200 millions de francs CFA.
L’avocat de Nestlé, Me Ndiène Ndiaye, a réclamé le même montant au rappeur, estimant la procédure abusive et téméraire.
L’affaire est mise en délibéré pour le 13 avril prochain.
Ils sont accusés de violation du droit d’exploitation de l’œuvre et du droit moral de l’auteur sur son œuvre.
Le plaignant est le rappeur Bril, qui réclame aux mis en cause 100 millions de francs CFA, selon Source A, qui donne l’information ce jeudi.
Brill reproche à Birane Ndour et Cie d’avoir utilisé dans la série «Taille fine», sans son autorisation, un extrait de 26 secondes de sa chanson «Sama beug beug». L’un des sponsors du téléfilm, Nestlé, est également visé par le jugement.
Seul présent à la barre, Bouba Ndour a juré avoir obtenu l’aval oral de Bril,, via le directeur de la production de TFM, Pathé Dia.
Le patron de la chaîne de GFM a ajouté que lorsqu’il a eu connaissance de la plainte, ils ont recontacté Bril qui aurait déclaré pour justifier son action en justice qu’en donnant son aval, il ignorait que la série comportait de la pub.
«Je ne prendrais jamais l’œuvre de quelqu’un sans son autorisation», s’est défendu Bouba Ndour.
L’avocat de GFM, Me Baboucar Cissé, a plaidé la relaxe et demandé au tribunal de condamner Bril à verser à ses clients 200 millions de francs CFA.
L’avocat de Nestlé, Me Ndiène Ndiaye, a réclamé le même montant au rappeur, estimant la procédure abusive et téméraire.
L’affaire est mise en délibéré pour le 13 avril prochain.
12 Commentaires
Reply_author
En Mars, 2022 (06:58 AM)Reply_author
En Mars, 2022 (07:49 AM)pourqoui watt, il fallait demander une autorisation écrite.
il faut payer ou bien va négocier, c'est mieux
Reply_author
En Mars, 2022 (08:06 AM)Reply_author
En Mars, 2022 (09:26 AM)Lol
En Mars, 2022 (08:13 AM)Bouba Baol Baol
En Mars, 2022 (10:18 AM)Puree
En Mars, 2022 (21:59 PM)Seyelatyr
En Mars, 2022 (18:02 PM)Latyr
En Mars, 2022 (18:08 PM)Excédé
En Mars, 2022 (20:48 PM)