La 10e journée du procès du maire de Dakar s'est ouverte ce mercredi 7 février 2018. L'audience à peine ouverte, le procureur de la République a appelé le maire de Dakar, Khalifa Sall à la barre pour lui poser une série de questions.
La première était relative aux propos de Mbaye Touré, Directeur administratif et financier (Daf) qui, selon lui, avait dit qu'il remettait directement de l'argent à Khalifa Sall. Dans ses propos, il a souligné que si ce fait est avéré, cela renforcerait l'association de malfaiteurs qui est reproché aux mis en cause.
En réponse, Khalifa Sall de refuser de se prononcer sur cette question : "J'avais adopté hier une attitude à laquelle je ne dérogeais pas aujourd'hui. Je conteste, par contre, cette association de malfaiteurs". Invité à s'expliquer sur la nature réelle des fonds d'où sont issus ces 1,8 milliard réclamés aux 8 prévenus, le maire de Dakar a tenté d'apporter des éclairages.
"Les fonds spéciaux, c'est le terme générique, ils relèvent de dispositions particulières. Ils sont logés dans les départements et autres qui s'occupent de sécurité. Ils recoupent les fonds secrets et de fonds politiques. Pour moi, les fonds secrets servent généralement pour les institutions qui gèrent les affaires de sécurité, comme les renseignements etc. Les fonds politiques servent à accompagner l'action des autorités auprès de qui ils sont mis à disposition", a dit M. Sall.
Dans ses explications, il a précisé au procureur de la République qui lui demandait une définition exacte de ce qu'est un fonds politique : "de toutes les collectivités locales du Sénégal, seule la ville de Dakar dispose de fonds politiques. Donc vous ne pouvez pas avoir un maire de Thilmakha qui puisse vous dire c'est quoi un fonds politique",répond-il.
"Si le procureur de la République avait accepté qu'une expertise soit faite…"
Le parquet d'estimer que la nomenclature ne prévoit pas de fonds politiques. "Je ne reconnais pas l'existence de ces fonds politiques. Les percepteurs l'ont niée eux aussi", a dit Serigne Bassirou Gueye s'adressant à Khalifa Sall.
Ce que conteste celui-ci. "Les percepteurs ne peuvent pas nier l'existence de ce fonds politique. Dans une caisse d'avance, l'ordonnateur ne touche jamais à de l'argent. Je n'ai jamais touché à de l'argent de ces caisses d'avance. Je ne souhaiterais pas critiquer le travail que vous avez fait avec ces 11 derniers mois, mais si vous aviez accepté qu'une expertise soit faite, on n'aurait jamais eu ce problème actuel. (…). Nous savions dès le départ qu'il y a une divergence, parce que vous contestez cela mais toutes les autorités politiques de ce pays connaissent l'existence de ce fonds politique. Les fonds politiques sont mis à la disposition du maire. La manière dont ils sont disposés relevait de chaque maire. C'est moi qui en ai l'utilisation discrétionnaire. La mairie de Dakar, c'est 4000 agents et ces fonds étaient destinés à des personnes connues", a-t-il indiqué.
Khalifa Sall a aussi rappelé que "le procédé par lequel l'argent est retiré puis mis à la disposition discrétionnaire du maire, n'existait pas avant 1996. Le vrai problème vient de l'État. C'est que c'est un dispositif de l'État mis en place par l'État depuis longtemps pour nous permettre de recevoir ces fonds. Moi, j'ai fait la police, on ne m'a pas posé une seule question qui m'aurait permis d'éclairer un peu la lanterne des Sénégalais", a-t-il signifié au procureur qui tentait de le pousser à s'expliquer sur la nature des dépenses faites avec ces fonds.
Selon lui, "c'est par rapport à la nature des fonds politiques, vous savez que j'ai une très longue expérience de la gestion de l'État. Je sais très bien comment les fonds sont utilisés. Il n'y a pas d'archives concernant ces destinataires" dit-il encore.
34 Commentaires
Anonyme
En Février, 2018 (11:49 AM)Anonyme
En Février, 2018 (11:55 AM)Anonyme
En Février, 2018 (12:03 PM)a part c'est un procès politique il ne connait rien
Anonyme
En Février, 2018 (12:03 PM)Anonyme
En Février, 2018 (12:04 PM)La politique est une entreprise financièrement rentable au Sénégal. Le pays est un immense gâteau de chef étoilé à partager entre plus de 300 partis dont 290 vautours n’osant pas voler de leurs propres ailes à une présidentielle car n’ayant ni le quotient électoral, ni la surface financière pour payer la caution, si ce n’est pas le pouvoir qui s’en acquitte à leur place pour berner les masses, astakhfiroullah !, baiser devrais-je dire. Ils se réfugient derrière le nid douillet des coalitions, désertent le terrain politique pour envahir le terrain médiatique et exister par l’unité de bruit ; ni permanence, ni structures, zéro activité. Le récépissé ne sert point à conquérir le suffrage des électeurs, mais c’est un permis de combinazione, de spoliation, de prédation, d’accaparement de ressources sur le dos du Sénégal. La stratégie est simple. Le parti-media dit soutenir l’action du Président de la république en fonction qui lui jette un grand os à ronger rembourré avec fromage : salaire, avantages en nature et espèces garantis durant le mandat.
Si c’est à la veille du premier tour de la présidentielle, il faut faire semblant de se présenter sans en avoir le courage. Aucune consigne et on attend le deuxième tour pour le grand chantage du maître en la matière. Au président sortant qui détient la caisse noire de milliards, il est exigé des frais de campagne. Les soi-disant souteneurs du challenger prétendent que leur soutien est sans condition. De ce fait, ils reçoivent des frais de campagne. Si le challenger passe, c’est le jackpot : rentes assurées durant le mandat du nouvel élu. Le supporter du candidat battu va transhumer par contournement, pour, dit-il, soutenir l’action du Président de la République. Dans tous les cas les entrepreneurs politiques ne perdent rien de leur investissement et suceront le sang du contribuable sénégalais : salaires, passeport, logement, couverture maladie, logement, parc automobiles, carburant, voyages à l’autre bout du monde. C’est pourquoi les partis yobaléma, altoppé prospèrent. Violence au summum sur le peuple dépouillé ne saurait être plus pernicieuse. Ainsi déguisé, le vol est institutionnalisé et le crime organisé sans porter le nom de camorra ou oser appeler au « legalize it » de Peter Tosh» et du mouvement rastafari. Personne ou peu pour défendre les intérêts supérieurs de la nation orpheline et impunément violée à répétitions sur recommandation juridiquement encadrée. Le seul métier qui vaille est la politique. Inutile de travailler ; point de curriculum-vitae à faire valoir. Faites de la politique et toujours de la politique, rien que de la politique, ainsi ventre et bas-ventre sont éternellement satisfaits. Les compétences en politique politiciennes payent plus que les compétences pures. Le parcours politique prime sur parcours professionnel.
Ah tchim !, tchim mbaye ! transhumance !, appellation d’origine contrôlée de la prostitution politique avec ou sans la carte sanitaire du parti au pouvoir! Et si la proposition de l’ex- Premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye avait abouti, combien d’hommes politiques, pardon, de bêtes en transhumance à la recherche de pâturages d’abord verts-PS, ensuite bleus-PDS, après marron-beige-APR, voulant goinfrer à tous les râteliers, de Senghor à Diouf, en passant par Wade et Macky, seraient exécutés ?
Les politiciens émergent, l’homo-senegalensis s’immerge et se noie mais quand le peuple se réveillera, le monde des politichiens s’effondrera. Donald Trump ne parlera plus de pays de merde. Le rire du nègre bon banania, comme pendant l’époque coloniale, ne se rappellera plus au bon souvenir de l’homo-africanus, risée de l’Occident.
Tuubé Waalo
Anonyme
En Février, 2018 (12:12 PM)Khaf iow do sakh rouss MBAYE TOURE limou wakh dafa lerr nagnii
Nguir yalla wakhal lou lerr et arrete de nous prendre pour des abroutis mo gueune ton argument bidon 'Procés politique'
Jamm
En Février, 2018 (12:19 PM)Anonyme
En Février, 2018 (12:22 PM)Asssssss
En Février, 2018 (12:22 PM)Wakhall
En Février, 2018 (12:43 PM)Milk
En Février, 2018 (12:52 PM)Anonyme
En Février, 2018 (12:55 PM)qui peut le plus peut le moins tu as bien cité You non, ce n'est pas le seul artiste non, donc balance...
Modest
En Février, 2018 (13:01 PM)Sur la base de ce qui précède, Khalifa Ababacar SALL, Mbaye TOURE, Yaya BODIAN, Ibrahima Yatma DIAW, Mamadou Oumar BOCOUM, Ibrahima TOURE et Fatou TRAORE ont été inculpés par le Doyen des juges d’Instruction du Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar de différents chefs d’infractions, dont le détournement de deniers publics à l’égard Khalifa Ababacar SALL pour un montant d’un milliard huit cent trente millions (1.830.000.000) de FCFA, soit environ 2.800.000 euros.
Anonyme
En Février, 2018 (13:01 PM)Deug
En Février, 2018 (13:03 PM)Le cas Wade-Idy est illustratif.
On n'entre pas comme ça en guerre contre la puissance publique dans la solitude
Khalifa a commencé par tourner le dos au PS qui devait le soutenir et a meme défié la direction
Il a adopté une démarche personnelle solitaire, irréfléchie, immature et impatiente soutenue par des jeunes non expérimentés et aveuglés par les moyens de leur mandat en cours.
Ce qui est une erreur politique grave et ça se paie cash, il s'est autodétruit politiquement avec cette attitude.
Agent Escale
En Février, 2018 (13:11 PM)Khalife général wala serigne bou megn si xalissou mairie bi warnegne sedde si procès bi!!!!
Quant à Abdou Mbow (APR) son comportement est très dégoûtant !
Baye Dia
En Février, 2018 (13:14 PM)Anonyme
En Février, 2018 (13:43 PM)Bamba Diouf
En Février, 2018 (14:04 PM)Le Maire Député est ici l'arbre qui cache la forêt, il y'a derrière lui des codétenus connus de part leur intégrité morale, je veux nommer Mbaye Touré que j'ai connu personnellement.
la Justice des Hommes n'a jamais été parfaite. le passé n'a jamais servi de leçon à ceux qui ne veulent voir la vérité en face.
Donc préparer des cellules VIP à tous les Maires du Sénégal.
Laissez le en paix seule le jugement de Dieu est juste
Anonyme
En Février, 2018 (14:16 PM)La justice a pour symbole une balance équilibrée. Elle est penchée depuis longtemps. Khalifa a tort de repondre aux questions parcequ'il sait pertinemment lui meme qu'il sera condamné. C'est un ordre venu d'en haut.
Juge Deuggeural Deugg
En Février, 2018 (14:20 PM)Certes, me direz-vous, parmi les plus durs d'entre vous, que la justice n'est point affaire de sentiments.
C'est affaire de justice et de vérité.
Suivant bien sûr, la loi du tatounène.
D'autres assimilés me diront que l'aieul petit César, a décrété
mea lex, sed lex pour paraître plus beau grâce à leurs citations.
Mais l'homme le plus beau est celui qui est fier de ses propres mots.
Moi, juge Deuggeural Deugg, confirmé juge de mon état, jure toute honnêteté confirmer ne travailler pour aucune organisation à but lucratif, aucune organisation de fraternité obscure, n'être sujet à aucune corruption passive ou active dans l'exercice de mon métier, ne travailler que pour l'intérêt strict; inconditionnel et définitif du pays et de l'Afrique, sacrifiant mes ambitions de cupidités personnelles au profit de l'intérêt général, n'être sujet à aucun problème mental ayant trait à une revanche criarde contre la société et certains membres ou acteurs de la société - même si je ne saurai être parfait.
Comment mon jugement pourrait-il être biaisé par une quelconque relation extérieure?
Quitte à quitter mon poste de juge et de procureur, je serai prêt au nom de la justice, à changer de métier, mais je ne troquerai jamais ma dignité, mon ngorr de juge-procureur contre les promesses d'un pacte d'une organisation obscure.
Ma postérité sera la pour témoigner, même si je me désole de m'exprimer ainsi dans la langue du colonisateur; l'oppresseur tatounène, le même promettant monts et merveilles à l'Africain sur-diplômé mais très mal éveillé sur le sens de son combat.
Juge en toute équité. Parole tranchante séparant le bien du mal. Plein d'ardeur.
Ainsi, furent les qualités de mon aieul Ibn Kitaab. Pourtant, l'homme le plus dur en son temps, il fût le plus juste homme et le plus doux dans sa justice.
Quel juge, aussi documenté soit-il, aussi instruit soit-il, des 4 coins de cette terre, sera au-dessus d'Ibn Kitaab, dans l'art de bien juger?
Qu'il me démente s'il est véridique?
Démentira-t-il le plus tranchant des juges terrestres, eux les juges à qui le marteau de bois a été confié.
Quel juge véridique de son état sera-t-il le plus dur qu'Ibn Kitaab, lui le dur juge plein de compassion pour sa société?.
En vertu des pouvoirs qui me sont conférés dans mon royaume du Sénégal et faisant abstraction de l'agonie de la république colonisée, détachement de la grande colonisatrice moqueuse, j'en appelle tout simplement et bonnement à la clémence, et l'arrêt des poursuites fantaisistes contre mon client, le Sieur Khalifa Sall, citoyen sénégalais du Sénégal, détenu au Sénégal.
Puisse-t-il voler en vérité 100 tonneaux de milliards de franc CFA, jusqu'à preuve du contraire,
comment peut-on lui en vouloir, du moment qu'il est patriote?
Ces soit-disant milliards, que les langues pendues de l'ombre l'accusent d'avoir détourné à son profit, ont-ils marché pour sortir du pays?
Non, non, non.
Non? Alors, pourquoi cet acharnement dont vous auriez honte en rentrant chez vous le soir tombé. Vous regardez-vous encore devant un miroir pour voir encore l'être humain innocent que vous étiez et que vous avez promis d'être à votre naissance?
Il ne sert à rien de forcer votre coeur à la dureté, un jour ou l'autre la vérité vous saisira, comme une vulgaire plume.
A-t-il exporté, Khalifa Sall, ses milliards hors de ce pays, pour faire de lui-même un voleur non patriotique, comme ceux que la décence n'incite même pas à citer; ceux-là mêmes dont les milliards se perdront à jamais chez l'oppresseur tatounène, la créature à la peau rose, au profit de ses descendants de plus en plus voraces?
Serez-vous plus intransigeant en matière de justice que moi, juge des juges, descendant du roi du Mali, instaurateur de la charte du Karakan Fougan?
Alors, Messieurs, quelque que soit l'organisation obscure qui dit contrôler le monde, quelque soit les promesses faites dans leur papier minable appelé argent, cette machine des tatounénes, ennemie numéro de l'Afrique, croyez-vous jamais pour ainsi dire, qu'elle triomphera sur la vérité?
Où laisseriez-vous votre morale quand dans 200 ans les futurs Sénégalais témoigneront contre vous?
Où est le Deugeural Deugg, le foula, le fayda, le gorr et le diomm de nos ancêtres?
Qu'en faîtes-vous?
Oserions-nous, oseriez-vous leur manquer de respect en déviant de ces 5 principes ancestraux, après tous les siècles qu'ils travaillèrent pour nous?
Peut-être parce que vous croyez que l'Africain le sénégalais restera à jamais sous la tutelle d'une créature rose, tatounène, animée des pires ambitions contre nos descendants, vos descendants négro-africains, continueront à prendre le pas dans ce pays, dans cette Afrique, dans ce monde?
Croyez-m'en, mes juges.
Il faut concéder à la créature tatounène, que les apparences sont trompeuses.
Je suis sûr que vous, mes juges et procureurs, vous êtes dignes. Inutile d'user d'un baromètre, Je suis que, mes chers juges et procureurs, il vous reste encore de la dignité à fleurir à profusion.
Alors, mes amis les chers juges et procureurs, Libérez Khalifa Sall;
Juge Deuggeural Deugg
juge des juges du royaume du Sénégal,
juge des juges du royaume Africain,
Juge des juges des 4 coins de la terre,
défenseur de la justice non biaisée,
au service du royaume du Sénégal
du royaume d'Afrique,
et de la terre .
Moh
En Février, 2018 (15:03 PM)Anonyme
En Février, 2018 (15:12 PM)La politique est une entreprise financièrement rentable au Sénégal. Le pays est un immense gâteau de chef étoilé à partager entre plus de 300 partis dont 290 vautours n’osant pas voler de leurs propres ailes à une présidentielle car n’ayant ni le quotient électoral, ni la surface financière pour payer la caution, si ce n’est pas le pouvoir qui s’en acquitte à leur place pour berner les masses, astakhfiroullah !, baiser devrais-je dire. Ils se réfugient derrière le nid douillet des coalitions, désertent le terrain politique pour envahir le terrain médiatique et exister par l’unité de bruit ; ni permanence, ni structures, zéro activité. Le récépissé ne sert point à conquérir le suffrage des électeurs, mais c’est un permis de combinazione, de spoliation, de prédation, d’accaparement de ressources sur le dos du Sénégal. La stratégie est simple. Le parti-media dit soutenir l’action du Président de la république en fonction qui lui jette un grand os à ronger rembourré avec fromage : salaire, avantages en nature et espèces garantis durant le mandat.
Si c’est à la veille du premier tour de la présidentielle, il faut faire semblant de se présenter sans en avoir le courage. Aucune consigne et on attend le deuxième tour pour le grand chantage du maître en la matière. Au président sortant qui détient la caisse noire de milliards, il est exigé des frais de campagne. Les soi-disant souteneurs du challenger prétendent que leur soutien est sans condition. De ce fait, ils reçoivent des frais de campagne. Si le challenger passe, c’est le jackpot : rentes assurées durant le mandat du nouvel élu. Le supporter du candidat battu va transhumer par contournement, pour, dit-il, soutenir l’action du Président de la République. Dans tous les cas, les entrepreneurs politiques ne perdent rien de leur investissement et suceront le sang du contribuable sénégalais : salaires, passeport, logement, couverture maladie, parc automobiles, carburant, voyages à l’autre bout du monde. C’est pourquoi les partis yobaléma, altoppé prospèrent. Violence au summum sur le peuple dépouillé ne saurait être plus pernicieuse. Ainsi déguisé, le vol est institutionnalisé et le crime organisé sans porter le nom de camorra ou oser appeler au « legalize it » à propos du yamba de Peter Tosh et du mouvement rastafari. Personne ou peu pour défendre les intérêts supérieurs de la nation orpheline et impunément violée à répétitions sur recommandation juridiquement encadrée. Le seul métier qui vaille est la politique. Inutile de travailler ; point de curriculum-vitae à faire valoir. Le parcours politique prime sur parcours professionnel.
Faites de la politique et toujours de la politique, rien que de la politique, ainsi ventre et bas-ventre sont éternellement satisfaits. Les compétences en politique politicienne payent plus que les compétences pures.
Ah tchim !, tchim mbaye ! transhumance !, appellation d’origine contrôlée de la prostitution politique avec ou sans la carte sanitaire du parti au pouvoir! Et si la proposition de l’ex- Premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye avait abouti, combien d’hommes politiques, pardon, de bêtes en transhumance à la recherche de pâturages d’abord verts-PS, ensuite bleus-PDS, après marron-beige-APR, voulant goinfrer à tous les râteliers, de Senghor à Diouf, en passant par Wade et Macky, seraient fusillés ?
Rage du pays, les politichiens émergent, l’homo-senegalensis s’immerge et se noie mais quand le peuple se réveillera, le monde des politichiens s’effondrera. Donald Trump ne parlera plus de pays de merde. Le rire du nègre bon banania, comme pendant l’époque coloniale, ne se rappellera plus au bon souvenir de l’homo-africanus, risée du monde.
Tuubé Waalo
Anonyme
En Février, 2018 (15:16 PM)Secka
En Février, 2018 (15:37 PM)Wassalam.
Anonyme
En Février, 2018 (16:11 PM)MONSIEUR SERIGNE BASSIROU GUEYE PREND LA CARTE N°02 DE L'APR
MONSIEUR SERIGNE BASSIROU GUEYE PREND LA CARTE N°02 DE L'APR
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MONSIEUR SERIGNE BASSIROU GUEYE PREND LA CARTE N°02 DE L'APR
Anonyme
En Février, 2018 (16:28 PM)C’ est la tempête, l’orage qui s’annonce pour toi.
Anonyme
En Février, 2018 (16:28 PM)C’ est la tempête, l’orage qui s’annonce pour toi.
Anonyme
En Février, 2018 (16:28 PM)C’ est la tempête, l’orage qui s’annonce pour toi.
Kant
En Février, 2018 (16:44 PM)C'est ahurissant
Si ce n'est pas de la légèreté c'est de la folie ou du vol par association de malfaiteurs
Inconnu
En Février, 2018 (17:43 PM)Il faut vraiment qu'il paie les fautes . Cet homme ne mérite pas de se présenter devant les sénégalais.
Anonyme
En Février, 2018 (18:59 PM)Anonyme
En Février, 2018 (09:59 AM)Anonyme
En Février, 2018 (10:03 AM)de qui se moque khalifa sall
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