Aladji Djité devra encore prendre son mal en patience en prison. Complice présumé de Thione Seck dans l’affaire des faux billets qui a valu au leader du Raam Daan un séjour en prison, ce dernier n’a pas obtenu la liberté provisoire. La chambre d’accusation a rejeté une nouvelle fois sa demande dans ce sens. Ce qui révolte ses avocats, qui ne goûtent pas que leur client croupit en prison alors que Thione Seck, lui, a bénéficié d’une liberté provisoire et s’offre même le luxe d’animer une soirée au Penc Mi, le jour de la Tabaski. (Source : Libération)
11 Commentaires
Vrai
En Septembre, 2016 (06:59 AM)Injuste
En Septembre, 2016 (07:15 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (07:51 AM)Gokh
En Septembre, 2016 (07:52 AM)Matières premières : comment les traders suisses écoulent du carburant toxique en Afrique
Dans l’enquête intitulée « Diesel sale », l’ONG Public Eye (ex-Déclaration de Berne) dévoile les pratiques peu scrupuleuses de traders pétroliers suisses en Afrique. Quatre enquêteurs ont travaillé durant trois ans pour percer les mystères toxiques de l’essence et du diesel distribués sur le continent africain par les géants suisses du négoce de matières premières.
Les résultats de cette enquête publiée jeudi 15 septembre sont sans appel : les carburants écoulés en Afrique ont une teneur en soufre entre 200 et 1 000 fois plus élevée qu’en Europe, mettant gravement en péril la santé de populations exposées aux particules fines et à d’autres substances chimiques cancérigènes.
Des produits toxiques ajoutés aux carburants pour augmenter les profits
Pour augmenter leurs profits, les traders effectuent des mélanges avec des produits toxiques et particulièrement nocifs pour l’environnement et pour la santé. Des opérations souvent risquées qui s’effectuent à quai, notamment à Rotterdam, Amsterdam et Anvers, ou en pleine mer à quelques miles des côtes de Gibraltar ou des ports d’Afrique de l’Ouest.
Les traders ont un nom pour qualifier ces produits pétroliers : « qualité africaine ». Ce carburant toxique est écoulé en Afrique de l’Ouest où les négociants en matières premières profitent de réglementations qui permettent encore l’importation de diesel et d’essence contenant un taux de soufre très élevé. Ils en ont fait un marché parallèle et opaque.
Dans les stations essence de Trafigura, Vitol ou Oryx
Public Eye a effectué des prélèvements dans des stations essence de huit pays africains (Angola, Bénin, Congo-Brazzaville, Ghana, Côte d’ivoire, Mali, Sénégal et Zambie) détenues ou alimentées par ces maîtres du négoce pétrolier, comme Trafigura, Vitol ou Oryx. Plus de deux tiers des échantillons contiennent un taux de soufre supérieur à 1 500 parties par million (ppm). Avec une pointe à 3 780 ppm au Mali. La limite est de 10 ppm en Europe, aux Etats-Unis et même en Chine, à (...)
Anonyme
En Septembre, 2016 (08:47 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (08:57 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (09:42 AM)Thione Sac
En Septembre, 2016 (10:26 AM)Bayefall
En Septembre, 2016 (12:29 PM)Asss
En Septembre, 2016 (13:09 PM)Kénn Waxatiko
En Septembre, 2016 (14:42 PM)Participer à la Discussion