Les prisonniers de la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Rufisque, ont profité du panel animé à l’occasion du 8 mars par le Directeur adjoint des affaires criminelles et des grâces, Alassane Ndiaye, pour dénoncer leur situation.
Les longues détentions préventives malgré les réformes, les retards dans le traitement des dossiers d’appel entre autres, constituent leurs préoccupations majeures.
Selon Emédia, le constat a été également fait qu’elles ne bénéficient pas des avantages de l’aménagement de peine.
A en croire le site, le cas singulier d’une dame originaire de Tambacounda, condamnée par le Tribunal de Kaolack. Elle avait interjeté appel depuis 2013, mais dont le dossier, introuvable au niveau de la Cour d’appel de Kaolack, a ému l’assistance.
La dame a un comportement irréprochable, ‘’toujours silencieuse dans son coin ‘’, rapporte la même source.
5 Commentaires
Tourem
En Mars, 2022 (14:39 PM)-
Depuis 2013 pour un appel,et quand ont vous dit qu'il y a pas de justice dans ce pays certains font semblant de ne pas comprendre
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Signalier
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En Mars, 2022 (16:21 PM)Pako/ Un Peu Facile
En Mars, 2022 (14:50 PM)Donc je dis pas que ya pas derreur de justice mais apres faut arreter quoi
Le mec qui a vraiment commis un crime faut pas quil vienne nous dire quil est dans le desarroi en taule. Il a pense deux secondes a la victime???? Il a fait comment pour acheter sa moto?? Il etait tout content et le lendemain il se reveille dans la galere? Non mais serieux faut arreter. Moi jai uniquement pitie des mecs victimes dereurs judiciaires- Les autres qui ont commis vraiment des crimes, franchement faut pas venir apres jouer les victimes- Ca me venere serieux-
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