Karim Wade revient au tribunal ce vendredi, dans le cadre de la confiscation de ses biens, décidé par la Cour de répression de l’enrichissement illicite qui l’avait condamné aussi à 6 ans de prison. Et, selon les informations glanées par Libération, c’est dans le cadre d’une procédure de contestation que les conseils de Karim Wade seront ce jour, au tribunal, plus précisément à la salle 3.
En effet, à la suite de l’arrêt de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), l’Etat a fait main basse sur les comptes bancaires de Karim Wade. Or, ces comptes sont débiteurs. Du coup, les avocats de Karim ont saisi le tribunal pour contrer cette saisie qui n’a, à leurs yeux, aucun sens.
En effet, à la suite de l’arrêt de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), l’Etat a fait main basse sur les comptes bancaires de Karim Wade. Or, ces comptes sont débiteurs. Du coup, les avocats de Karim ont saisi le tribunal pour contrer cette saisie qui n’a, à leurs yeux, aucun sens.
13 Commentaires
Anonyme
En Février, 2016 (06:46 AM)Qui peut me dire combien gagné par mois ,Monsieur le ministre d’État Karim M. WADE
Anonyme
En Février, 2016 (06:46 AM)Mansawali Walimansa Mansa 2016
En Février, 2016 (06:50 AM)Opposons ici notre droit à l'usage de tout le droit dans toute la vérité du droit
Xxx3
En Février, 2016 (06:55 AM)Anonyme
En Février, 2016 (08:40 AM)Xeme
En Février, 2016 (09:05 AM)Anonyme
En Février, 2016 (09:11 AM)rattrapage avec karim president en 2017
Prochaine Crei
En Février, 2016 (09:32 AM)Depuis le 30 septembre dernier, la société pétrolière anglo-irlandaise Tullow Oil, dirigée par David Roux, a commencé des recherches au nord de Libreville. Ces recherches vont se développer sur les côtes du Cap Estérias, à une trentaine de kilomètres au nord de Libreville, grâce à une société pétrolière dénommée Kiarsseny Marin. Depuis 2009, Tullow Oil Gabon entreprend des campagnes sismiques au large des côtes de Libreville, allant du port d’Owendo au nord de Libreville, notamment dans la zone du Cap Estérias.
Basée à Londres, Tullow Oil avait jusqu’en 2004 une position marginale au Gabon dans l’exploration du pétrole, date à laquelle elle avait racheté la société Energy Africa Gabon, qui elle en revanche avait une présence significative tant dans l’exploration que dans l’exploitation. Tullow Oil Gabon SA détient des participations dans 18 licences, dont 11 champs en production.
Le Sénégal était également dans le viseur de Tullow Oil, mais le projet pourrait se heurter à la concurrence sérieuse du frère du président de la République, le journaliste Aliou Sall.
Petro-Tim Sénégal S.A.U, qui vient de voir le jour, il y a quatre mois, a son siège social à Dakar sur la Vdn. Son objet social est l’exploration et la recherche pétrolière ; la prise de participation dans tous titres miniers et pétroliers, l’exploitation, la production, le stockage temporaire, le traitement, le transport, le raffinage, la distribution, le marketing et la commercialisation.
Le capital social de la société est fixé à 20.000.000 FCFA à libérer en numéraires au moment de la constitution de la société. Avec son statut de Société anonyme unipersonnelle (S.A.U), Aliou Sall, frère du chef de l’Etat et ancien ministre-conseiller à l’Ambassade du Sénégal en Chine, étant le seul et unique actionnaire, les dispositions statutaires relatives à la constitution des réserves et à la répartition des bénéfices et du bon de liquidation, tout comme les conditions d’admission aux assemblées d’actionnaires et d’exercice du droit de vote, n’ont plus leur place dans les statuts de la société.
Vous avez dit sévérité dans la gestion des contrats ?
Dans un article publié dans le site leblogfinance.com, Elisabeth Studer, spécialiste du secteur, lançait cet avertissement, afin de faciliter la compréhension du marché de la prospection pétrolière.
« Alors que nous indiquions ici-même après l’élection de Macky Sall à la présidence de la République que son arrivée au pouvoir pouvait être quelque peu liée à de très fortes odeurs de pétrole, les faits semblent nous donner raison aujourd’hui ». Le nouveau magazine «Gouvernances», paru lundi à Dakar et propriété du même Aliou Sall, indiquait pourtant que les autorités sénégalaises envisageaient des mesures de rigueur dans la gestion des permis attribués aux compagnies de recherches pétrolifères opérant dans les blocs du pays.
Dans un entretien avec cette nouvelle revue sénégalaise d’analyses des politiques publiques, de l’économie et de la finance, Mamadou Faye, nouveau Directeur général de la Société des Pétroles du Sénégal (Petrosen) a ainsi indiqué que le nouveau gouvernement sera désormais « plus sévère » en « limitant les extensions ».
Le directeur de Petrosen a, par ailleurs, précisé que si c’était nécessaire, les contrats et demandes de garanties bancaires déposées par les compagnies pourraient être stoppées. « Si au-delà du temps défini la société concernée ne réalise pas les travaux, nous allons récupérer nous-mêmes la garantie bancaire et faire les travaux ».
«Se plaignant par ailleurs du fait que l’actuelle « gestion conciliante des contrats » ne permettait pas au Sénégal de rattraper son retard sur certains pays africains, alors même que beaucoup de compagnies opèrent dans les blocs sénégalais.
En fait « la mise en évidence de petits gisements de pétrole et de gaz naturel produits depuis les années 1960 démontre l’existence d’un système pétrolier fonctionnel dans le bassin sédimentaire du Sénégal ». Mamadou Faye a par ailleurs souligné les découvertes de pétrole opérées dans l’offshore mauritanien, au Ghana et récemment en Sierra Leone, justifiaient – selon lui – les espoirs du Sénégal fondés sur « la similitude des pièges rencontrés dans ces bassins avec ceux identifiés dans l’offshore profond au Sénégal ».
Pour rappel plusieurs travaux d’exploration avaient été menés aussi bien en offshore qu’en on-shore, entre les régions de Dakar et de Thiès.
Ainsi en 2011 le Sénégal a enregistré, 26 manifestations d’intérêt et 11 demandes de permis émanant des compagnies pétrolières internationales. « Nous avons récemment annulé des permis de recherche d’or signés entre le 1er et le second tour de la Présidentielle par l’ancien régime. Nous avons pris ces décisions parce que certains actes étaient suspects » a révélé M. Faye.
Discours un « tantinet simpliste et risible »… alors que le nouveau président, Macky Sall est très fortement lié à l’ancien régime de Wade et à l’odeur du pétrole, ne serait-ce qu’en tant qu’ancien ministre de l’Energie et des mines et ancien directeur de Petrosen.
Le nouvel homme fort du pays, géologue de formation, est nécessairement lié au secteur pétrolier, son centre d’intérêt par excellence.
Le site de Petrosen (Société des Pétroles du Sénégal), précise d’ailleurs qu’African Petroleum a signé avec l’Etat du Sénégal deux contrats portant sur les blocs de Rufisque Offshore profond et Sénégal Offshore Sud profond. En «fouillant» sur le site, nous apprenons également que Tullow Oil (Royaume-Uni), en partenariat avec Dana et Petrosen, a acquis 620 km² de données sismiques 3D, au large de Saint-Louis (ancienne capitale de l’AOF Afrique Occidentale Française), entre le mois de mars et mai 2008.
Plus loin encore, nous apprenons, en analysant la carte du potentiel et des opportunités pétrolières au Sénégal, que sont déjà présentes sur les lieux : les sociétés Fortesa (basée à Houston USA) (permis de Thiès), Maurel et Prom, Energy Africa, Hunt Oil (USA), Edison, Al Tani et Kampac Oil, lesquelles détiennent des permis d’exploration.
En juin 2010, l’ancien boss de Pétrosen Amadou Djibril Kanouté, avait déclaré en présentant le Plan stratégique 2008-2012, que les compagnies pétrolières présentes dans le bassin sédimentaire du Sénégal avaient globalement dépensé plus de 125 millions de dollars depuis 2000. Certaines compagnies comme Fortesa, Hunt Oil, Far, Edison ou Tullow Oïl ayant, à cette date, injecté chacun des montants variant entre 37 et 21 millions de dollars
Anonyme
En Février, 2016 (09:33 AM)D’aucuns se posent la question de savoir comment l’Etat du Sénégal peut-il confier la mise en œuvre d’un tel dossier à un avocat mis en examen qui fait l’objet de poursuites pour faux et usage de faux? Surtout que ce vendredi 28 novembre, il devait se rendre au tribunal arbitral pour officiellement retirer la plainte de l’Etat du Sénégal contre MITTAL et mettre ainsi un terme à la procédure d’arbitrage, pour renoncer aux 2 000 milliards de F.CFA de dommages et intérêts que le tribunal arbitral de Paris s’apprêtait à octroyer à l’Etat du Sénégal, suite à l’accord scandaleux et nébuleux signé en catimini par l’Etat du Sénégal.
Les poursuites engagées par la justice française contre l’avocat personnel de Macky Sall et de l’Etat du Sénégal ne font qu’apporter de l’eau au moulin de l’opposition et démontre qu’il n’y a pas que l’accord avec MITTAL qui est ténébreux, mais également l’avocat en charge des intérêts de l’Etat qui a été parachuté à la dernière minute par Macky Sall en personne.
Pour rappel, François Meyer est également avocat de l’Etat du Sénégal, représentant personnellement Macky Sall dans le procès de Karim Wade devant la CREI. Il a des relations privilégiées avec le Président Henri Grégoire Diop avec qui il déjeune régulièrement lors des pauses-déjeuner. De nombreux observateurs ont pu d’ailleurs constater qu’il se retirait régulièrement avec les juges lors de leurs délibérations utilisant la porte d’accès réservée à la Cour..
L’avocat français personnel de Macky Sall, Me François Meyer, qui négocie l’accord à l’amiable entre l’Etat du Sénégal et le groupe MITTAL aux fins d'arrêter la procédure d’arbitrage en cours à Paris, vient d'être mis en examen à Paris par le juge TOURRAINE, pour avoir fait de fausses fiches de paie à l’épouse de l’homme d’affaires Michel Tomi, poursuivi également par la justice française.
D’aucuns se posent la question de savoir comment l’Etat du Sénégal peut-il confier la mise en œuvre d’un tel dossier à un avocat mis en examen qui fait l’objet de poursuites pour faux et usage de faux? Surtout que ce vendredi 28 novembre, il devait se rendre au tribunal arbitral pour officiellement retirer la plainte de l’Etat du Sénégal contre MITTAL et mettre ainsi un terme à la procédure d’arbitrage, pour renoncer aux 2 000 milliards de F.CFA de dommages et intérêts que le tribunal arbitral de Paris s’apprêtait à octroyer à l’Etat du Sénégal, suite à l’accord scandaleux et nébuleux signé en catimini par l’Etat du Sénégal.
Les poursuites engagées par la justice française contre l’avocat personnel de Macky Sall et de l’Etat du Sénégal ne font qu’apporter de l’eau au moulin de l’opposition et démontre qu’il n’y a pas que l’accord avec MITTAL qui est ténébreux, mais également l’avocat en charge des intérêts de l’Etat qui a été parachuté à la dernière minute par Macky Sall en personne.
Pour rappel, François Meyer est également avocat de l’Etat du Sénégal, représentant personnellement Macky Sall dans le procès de Karim Wade devant la CREI. Il a des relations privilégiées avec le Président Henri Grégoire Diop avec qui il déjeune régulièrement lors des pauses-déjeuner. De nombreux observateurs ont pu d’ailleurs constater qu’il se retirait régulièrement avec les juges lors de leurs délibérations utilisant la porte d’accès réservée à la Cour..
Anonyme
En Février, 2016 (09:34 AM)À la sortie du lycée, Karim Wade entreprend des études supérieures à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, où, après une maîtrise en sciences de gestion (MSG), il prépare un DESS en ingénierie financière qu'il obtient en 1995 avec un mémoire intitulé Utilités et perspectives de développement du corporate governance en France et coécrit avec sa sœur cadette[4]. C'est aussi à la Sorbonne qu'il fait la connaissance d'une jeune Française, Karine, qu'il épouse et avec laquelle il a trois filles (3, 5 et 7 ans en 2009). Karine Wade est morte le 10 avril 2009[5]. En marge de ses études, il s'implique dans le combat politique de son père et, à Paris, il participe à des réunions à la permanence du PDS, à des manifestations, et distribue des tracts avec sa sœur, également étudiante[6].
Dans le cadre de son DESS, il a effectué son stage de 6 mois à Paris, à la Société de banque suisse qui lui propose dans la foulée un poste de cadre au département fusion-acquisition qu'il occupe pendant un an, avant d'être recruté à Londres par la banque d'affaires UBS Warburg, une filiale de l'UBS (en 1998 la Société de banque suisse fusionne avec l'Union de banques suisses pour former l'UBS). Ses activités se situent dans le secteur desmines, dans le conseil à plusieurs gouvernements africains, mais aussi en relation avec des sociétés multinationales telles que De Beers (diamants), Anglo American (mines) ou Texaco (pétrole)[6].
Le tournant de l'année 2000Modifier
Après s'être présenté sans succès aux élections présidentielles de 1978, 1983, 1988 et 1993, Abdoulaye Wade décide de briguer à nouveau le mandat présidentiel en 2000. Fin 1999 Karim Wade rentre à Dakar et aurait participé activement à la campagne électorale. La victoire de son père à l'élection présidentielle de 2000 fait sortir Karim de l'anonymat[7] et la ressemblance physique avec son père, et se penchant sur ses goûts et sa personnalité. Le fils du nouveau président retourne néanmoins à Londres où il est promu directeur associé, avec de substantiels avantages, au sein de UBS Warburg[6].
Il effectue de fréquentes navettes entre Londres et Dakar, puis décide en 2002 de s'installer au Sénégal pour travailler dans l'administration de son père. Il est nommé conseiller personnel du président de la République, chargé de la mise en œuvre de grands projets, tels que le futur Aéroport international Blaise Diagne (AIBD) prévu à Diass, la restructuration des Industries chimiques du Sénégal (ICS) ou la mise en place d'une zone économique spéciale intégrée dans la capitale, devenant ainsi son homme de confiance, son expert financier, son watchdog – selon la formule d'Abdoulaye Wade lui-même[6].
Anonyme
En Février, 2016 (09:38 AM)De qui s’agit-il ? Tout le monde se rappelle de la plainte déposée par l’Etat du Sénégal à Paris contre Karim WADE le 30 Novembre 2012 par le collectif des avocats de l’Etat commis à cet effet et dirigé par Me Moussa Felix SOW et William BOURDON. Pour rappel, cette plainte a fait l’objet d’une instruction sérieuse par le Parquet National Financier de Paris sur toute l’étendue du territoire français. Ainsi l’ensemble des banques, des notaires et des institutions françaises furent saisis par des réquisitions aux fins de communiquer toutes les informations sur des avoirs de Karim WADE, feue son épouse et ses trois enfants.
Ces réquisitions n’ont pas été fructueuses sur tout le territoire français ; ce qui a poussé le Substitut du Parquet National Financier Mr Ariane AMSON a classé sans suite cette plainte de l’état du Sénégal le 19 Mai dernier pour insuffisance de preuves.
1. Concernant, les quelques bijoux retrouvés dans des coffres et appartenant exclusivement à feue Karine MARTEAU ex épouse de Karim WADE ; le MLK voudrait apporter les informations suivantes :
• La valeur totale de ces bijoux se chiffre à la somme de 07 Millions de francs CFA soit 10600 Euros donc loin des 4000 milliards annoncés à grande publicité par les avocats de l’Etat du Sénégal ;
Khalat
En Février, 2016 (12:26 PM)Soigneur De Fous
En Février, 2016 (16:04 PM)Question simple : pourquoi les avocats chercheraient à contrer la saisie de comptes débiteurs, c'est à dire à préserver auprès des banques les intérêts d'un Karim WADE qui doit de l'argent à ces banques ? c'est vraiment prendre les gens pour des moins que rien. Ils nous ont menti 12 durant mais il y'a toujours des Sénégalais qui continuent à les écouter. Pauvre Sénégal
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