Le Sénégal traîne encore les pieds à propos de l’adoption de la loi encadrant l’accès à l’information. Alors qu’elle fait partie de l’un des 12 engagements contenus dans le Plan d’action national (Pan) du Partenariat pour le gouvernement ouvert (Pgo) dont le pays est signataire depuis 2018.
Si pour le moment, le Pan doit être validé en Conseil des ministres, le Sénégal a désormais deux (2) années pour appliquer les engagements, qui sont répartis en 3 axes. Il s’agit de l’amélioration de la transparence dans la gestion publique et de l’accès à l’information.
Sur cet axe, notre pays s’est engagé à adopter la loi sur l’accès à l’information ; à renforcer les mécanismes de transparence budgétaire ; à renforcer les attributions de l’Ofnac.
Sur cette question, informe Le Quotidien, deux hypothèses se dégagent. Il s’agit du détachement d’un Procureur spécial pour suivre l’action judiciaire issue des recommandations des rapports de l’Ofnac. La deuxième hypothèse est la constitution en partie civile de l’Ofnac dans les poursuites des auteurs de fraudes.
Le 2ème engagement de cet axe est l’adhésion du Sénégal à l’Initiative pour la transparence dans le secteur de la pêche (Fiti). En ce qui concerne l’amélioration de l’accès aux services publics de qualité, le 2ème axe des engagements, le Sénégal veut améliorer l’accueil des usagers aux services publics.
Dans cette même logique, le pays va dématérialiser 10 procédures administratives. Aussi, le renforcement de l’accès des personnes handicapées aux services sociaux de base est prévu. Le renforcement des dispositifs d’accès à la justice de proximité est le dernier engagement de ce 2ème axe.
La promotion de l’approche du budget participatif au niveau local, le renforcement de la participation des femmes et des jeunes dans les instances de décision ainsi que la participation des populations dans l’élaboration, la mise en œuvre et le suivi de la politique environnementale sont logés dans le dernier axe qui est le renforcement de la participation et de l’engagement du citoyen.
Ces résultats sont le fruit de la concertation nationale menée par le Comité national de pilotage du Pgo. Hier, un atelier de partage a été organisé pour vulgariser les avancées de ce projet.
Le Pgo est une initiative née en 2011 aux Usa. Il vise une transparence dans l’action publique. Ils sont plus de 70 pays signataires.
Le Sénégal a adhéré en 2018 au Pgo. Chaque pays signataire doit produire chaque 2 ans, un rapport sur l’application des engagements pris. Ces derniers émanent des consultations nationales que les gouvernements valident. Le Comité de pilotage est composé paritairement des structures étatiques et des organisations de la Société civile.
Si pour le moment, le Pan doit être validé en Conseil des ministres, le Sénégal a désormais deux (2) années pour appliquer les engagements, qui sont répartis en 3 axes. Il s’agit de l’amélioration de la transparence dans la gestion publique et de l’accès à l’information.
Sur cet axe, notre pays s’est engagé à adopter la loi sur l’accès à l’information ; à renforcer les mécanismes de transparence budgétaire ; à renforcer les attributions de l’Ofnac.
Sur cette question, informe Le Quotidien, deux hypothèses se dégagent. Il s’agit du détachement d’un Procureur spécial pour suivre l’action judiciaire issue des recommandations des rapports de l’Ofnac. La deuxième hypothèse est la constitution en partie civile de l’Ofnac dans les poursuites des auteurs de fraudes.
Le 2ème engagement de cet axe est l’adhésion du Sénégal à l’Initiative pour la transparence dans le secteur de la pêche (Fiti). En ce qui concerne l’amélioration de l’accès aux services publics de qualité, le 2ème axe des engagements, le Sénégal veut améliorer l’accueil des usagers aux services publics.
Dans cette même logique, le pays va dématérialiser 10 procédures administratives. Aussi, le renforcement de l’accès des personnes handicapées aux services sociaux de base est prévu. Le renforcement des dispositifs d’accès à la justice de proximité est le dernier engagement de ce 2ème axe.
La promotion de l’approche du budget participatif au niveau local, le renforcement de la participation des femmes et des jeunes dans les instances de décision ainsi que la participation des populations dans l’élaboration, la mise en œuvre et le suivi de la politique environnementale sont logés dans le dernier axe qui est le renforcement de la participation et de l’engagement du citoyen.
Ces résultats sont le fruit de la concertation nationale menée par le Comité national de pilotage du Pgo. Hier, un atelier de partage a été organisé pour vulgariser les avancées de ce projet.
Le Pgo est une initiative née en 2011 aux Usa. Il vise une transparence dans l’action publique. Ils sont plus de 70 pays signataires.
Le Sénégal a adhéré en 2018 au Pgo. Chaque pays signataire doit produire chaque 2 ans, un rapport sur l’application des engagements pris. Ces derniers émanent des consultations nationales que les gouvernements valident. Le Comité de pilotage est composé paritairement des structures étatiques et des organisations de la Société civile.
3 Commentaires
Khalasse
En Juillet, 2022 (23:07 PM)Participer à la Discussion