Les troubles notés à l’Assemblée nationale dans le cadre du contrôle du groupe parlementaire de l’opposition et la question terroriste préoccupent les quotidiens reçus mercredi à l’APS.
’’Trouble à l’Assemblée nationale, Niasse brandit la chicotte’’, annonce L’As qui ajoute : ‘’Moustapha Niasse a sorti le sabre. Le président de l’Assemblée nationale a décidé d’expulser toute personne prise en train de troubler l’ordre lors des travaux des commissions techniques (…)’’.
’’(Niasse) a brandi l’article 53 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale qui lui donne pleins pouvoirs de sortir manu militari un fauteur de trouble, fût-ce un député (…)’’, poursuit L’As.
Sud Quotidien annonce que l’opposition ‘’réajuste’’ sa riposte dans le cadre de son combat pour le contrôle du groupe parlementaire des Libéraux et démocrates.
’’Trouble à l’Assemblée nationale, Niasse brandit la chicotte’’, annonce L’As qui ajoute : ‘’Moustapha Niasse a sorti le sabre. Le président de l’Assemblée nationale a décidé d’expulser toute personne prise en train de troubler l’ordre lors des travaux des commissions techniques (…)’’.
’’(Niasse) a brandi l’article 53 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale qui lui donne pleins pouvoirs de sortir manu militari un fauteur de trouble, fût-ce un député (…)’’, poursuit L’As.
Sud Quotidien annonce que l’opposition ‘’réajuste’’ sa riposte dans le cadre de son combat pour le contrôle du groupe parlementaire des Libéraux et démocrates.
Ces opposants comptent saisir les ambassadeurs et les chefs religieux.
Dans sa livraison du jour, Walfadjri revient sur ce qu’il appelle ‘’(un) coup de filet dans les milieux islamistes’’, en référence aux arrestations d’imams soupçonnés de faire l’apologie du terrorisme.
’’Sale temps pour les imams et prédicateurs’’, titre le journal, qui écrit : ‘’Les imams occupent la première marche du podium des personnes emprisonnées pour des infractions liées au terrorisme. Pourtant, ils ne sont ni des terroristes et n’ont jamais commis un attentat et tenté d’en commettre’’.
’’Au total, une trentaine de personnes sont emprisonnées. Et l’arrestation de l’imam Ndao de Kaolack n’est pas sans rappeler les cas précédents’’, selon le journal.
Walf rappelle que selon la loi 2009-16 du 2 mars 2009 relative à la lutte contre le financement du terrorisme, ‘’les personnes physiques coupables d’une infraction similaire sont punies d’une peine d’emprisonnement de 10 ans au moins’’.
Dans sa livraison du jour, Walfadjri revient sur ce qu’il appelle ‘’(un) coup de filet dans les milieux islamistes’’, en référence aux arrestations d’imams soupçonnés de faire l’apologie du terrorisme.
’’Sale temps pour les imams et prédicateurs’’, titre le journal, qui écrit : ‘’Les imams occupent la première marche du podium des personnes emprisonnées pour des infractions liées au terrorisme. Pourtant, ils ne sont ni des terroristes et n’ont jamais commis un attentat et tenté d’en commettre’’.
’’Au total, une trentaine de personnes sont emprisonnées. Et l’arrestation de l’imam Ndao de Kaolack n’est pas sans rappeler les cas précédents’’, selon le journal.
Walf rappelle que selon la loi 2009-16 du 2 mars 2009 relative à la lutte contre le financement du terrorisme, ‘’les personnes physiques coupables d’une infraction similaire sont punies d’une peine d’emprisonnement de 10 ans au moins’’.
Sur le même sujet, Enquête souligne qu’après 96 heures de garde à vue, ‘’l’imam Alioune Badara Ndao et ses 6 acolytes arrêtés pour connexion présumée avec le terrorisme devraient être déférés au parquet aujourd’hui’’.
’’L’imam Ndao a été perdu par ses sermons jugés radicaux et considérés comme une apologie du terrorisme (…)’’, rappelle le journal.
Pour sa part, Le Quotidien note que face à la menace du terrorisme jihadiste, ’’l’Etat du Sénégal semble avoir décidé de tenir l’œil sur les mosquées, et sur certains prêches des imams’’.
’’La conséquence, selon le journal, c’est que depuis un certain temps, aussi bien la banlieue de Dakar que certaines villes de l’intérieur du pays, ont connu des rafles de religieux musulmans présentés comme très radicaux pour ne pas dire extrémistes dans leur présentation et leur manière de vivre leur foi’’.
’’Cependant gare au retour de bâton. Si la prévention sécuritaire ne se fait pas bien, on risquerait de voir des gens plus radicaux entrer en clandestinité et mener leurs activités de manière plus violente. La répression ne doit pas non plus négliger la concertation avec les éléments modérés de la corporation’’, selon Le Quotidien.
OID/ASG
’’L’imam Ndao a été perdu par ses sermons jugés radicaux et considérés comme une apologie du terrorisme (…)’’, rappelle le journal.
Pour sa part, Le Quotidien note que face à la menace du terrorisme jihadiste, ’’l’Etat du Sénégal semble avoir décidé de tenir l’œil sur les mosquées, et sur certains prêches des imams’’.
’’La conséquence, selon le journal, c’est que depuis un certain temps, aussi bien la banlieue de Dakar que certaines villes de l’intérieur du pays, ont connu des rafles de religieux musulmans présentés comme très radicaux pour ne pas dire extrémistes dans leur présentation et leur manière de vivre leur foi’’.
’’Cependant gare au retour de bâton. Si la prévention sécuritaire ne se fait pas bien, on risquerait de voir des gens plus radicaux entrer en clandestinité et mener leurs activités de manière plus violente. La répression ne doit pas non plus négliger la concertation avec les éléments modérés de la corporation’’, selon Le Quotidien.
OID/ASG
1 Commentaires
Guisguis
En Novembre, 2015 (11:17 AM)Participer à la Discussion