Un accord mondial sur le climat doit prendre en compte ’’les préoccupations majeures’’ de l’Afrique, qui fait partie de la solution aux défis climatiques, a indiqué, jeudi à Dakar, Mathieu Ciowela, directeur pays du PNUD au Sénégal.
"Limiter le réchauffement climatique est l’affaire de tous. Il reste le plus grand défi de notre temps et nous oblige à agir vite avant que le seuil critique ne soit atteint", a-t-il déclaré.
Mathieu Ciowela intervenit lors d’une réunion de concertation d’experts africains, en prélude des négociations de la COP 21, la conférence des Nations unies sur le climat, prévue à Paris, en décembre prochain.
"Les travaux de cette réunion des experts, constitueront la base pour la déclaration de la réunion ministérielle qui se tiendra samedi à Dakar, qui contribuera à renforcer la position commune du groupe africain sur le nouvel accord sur le climat", a-t-il signalé.
"L’Afrique est le continent le plus vulnérable face aux impacts des changements climatiques. On a en mémoire les sécheresses qui ont frappé le Sahel et la Corne de l’Afrique en 2011, les inondations dramatiques que certains de nos pays ont connu ces dernières années, les avancées de la mer et l’érosion côtière le long de nos côtes ouest africaines", a rappelé le directeur pays du PNUD Sénégal.
"Dans notre sous-région, a fait observer Mathieu Ciowela, plusieurs pays ont pris les devants avec le soutien des partenaires au développement, pour mettre en œuvre des actions concrètes pour l’atténuation et l’adaptation aux effets des changements climatiques", a-t-il souligné.
Dans cette perspective, le PNUD "travaille avec les pays africains pour relever les défis de développement", a indiqué son directeur pays au Sénégal.
"Nous sommes en train d’apporter des appuis techniques et financiers à plus de 140 pays à travers le monde. L’Afrique reste une priorit" selon le directeur.
Ainsi le PNUD s’est-il selon lui engagé "à soutenir les pays à atteindre un développement résilient aux changements climatiques, à travers la mise en œuvre des plans nationaux d’adaptation, des solutions pratiques pour la gouvernance des risques, des systèmes d’alerte précoce et la planification du relèvement et de la réhabilitation".
SBS/BK
"Limiter le réchauffement climatique est l’affaire de tous. Il reste le plus grand défi de notre temps et nous oblige à agir vite avant que le seuil critique ne soit atteint", a-t-il déclaré.
Mathieu Ciowela intervenit lors d’une réunion de concertation d’experts africains, en prélude des négociations de la COP 21, la conférence des Nations unies sur le climat, prévue à Paris, en décembre prochain.
"Les travaux de cette réunion des experts, constitueront la base pour la déclaration de la réunion ministérielle qui se tiendra samedi à Dakar, qui contribuera à renforcer la position commune du groupe africain sur le nouvel accord sur le climat", a-t-il signalé.
"L’Afrique est le continent le plus vulnérable face aux impacts des changements climatiques. On a en mémoire les sécheresses qui ont frappé le Sahel et la Corne de l’Afrique en 2011, les inondations dramatiques que certains de nos pays ont connu ces dernières années, les avancées de la mer et l’érosion côtière le long de nos côtes ouest africaines", a rappelé le directeur pays du PNUD Sénégal.
"Dans notre sous-région, a fait observer Mathieu Ciowela, plusieurs pays ont pris les devants avec le soutien des partenaires au développement, pour mettre en œuvre des actions concrètes pour l’atténuation et l’adaptation aux effets des changements climatiques", a-t-il souligné.
Dans cette perspective, le PNUD "travaille avec les pays africains pour relever les défis de développement", a indiqué son directeur pays au Sénégal.
"Nous sommes en train d’apporter des appuis techniques et financiers à plus de 140 pays à travers le monde. L’Afrique reste une priorit" selon le directeur.
Ainsi le PNUD s’est-il selon lui engagé "à soutenir les pays à atteindre un développement résilient aux changements climatiques, à travers la mise en œuvre des plans nationaux d’adaptation, des solutions pratiques pour la gouvernance des risques, des systèmes d’alerte précoce et la planification du relèvement et de la réhabilitation".
SBS/BK
1 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (07:32 AM)Participer à la Discussion