L'ordre des docteurs vétérinaires du Sénégal est très remonté contre l'exercice illégal de la médecine vétérinaire au Sénégal. En effet, selon eux, un assainissement du secteur s'impose.
"Actuellement, le Sénégal est confronté à une énorme difficulté par rapport à l'exercice illégal de la médecine vétérinaire. A l'image de ce qui se passe en pharmacie humaine et de la médecine humaine, notre secteur n'est pas en rade et il y a pas mal d'usurpation de fonction
qui se font. C'est pourquoi nous avons décidé de combattre cet exercice illégal de la médecine vétérinaire", a précisé Moussa Ndiaye Diouf, docteur et vice-président de l'ordre des docteurs vétérinaires du Sénégal sur Rfm.
Par ailleurs, le spécialiste renseigne que les professionnels de ce métier font face à un manque de ressource humaine.
"On a quand même pas mal de ressources humaines en termes de docteurs vétérinaire formés ici au Sénégal et dans d'autres pays partenaires, mais le nombre reste toujours insuffisant car on est moins de 500 vétérinaires actuellement au Sénégal. Je pense que c'est un grand défis qu'il faudra relever. Il faut aussi intégrer ces vétérinaires professionnels de sorte qu'ils puissent jouer leur rôle de premier plan en termes de santé publique et en termes de santé animale", souligne-t-il.
"Actuellement, le Sénégal est confronté à une énorme difficulté par rapport à l'exercice illégal de la médecine vétérinaire. A l'image de ce qui se passe en pharmacie humaine et de la médecine humaine, notre secteur n'est pas en rade et il y a pas mal d'usurpation de fonction
qui se font. C'est pourquoi nous avons décidé de combattre cet exercice illégal de la médecine vétérinaire", a précisé Moussa Ndiaye Diouf, docteur et vice-président de l'ordre des docteurs vétérinaires du Sénégal sur Rfm.
Par ailleurs, le spécialiste renseigne que les professionnels de ce métier font face à un manque de ressource humaine.
"On a quand même pas mal de ressources humaines en termes de docteurs vétérinaire formés ici au Sénégal et dans d'autres pays partenaires, mais le nombre reste toujours insuffisant car on est moins de 500 vétérinaires actuellement au Sénégal. Je pense que c'est un grand défis qu'il faudra relever. Il faut aussi intégrer ces vétérinaires professionnels de sorte qu'ils puissent jouer leur rôle de premier plan en termes de santé publique et en termes de santé animale", souligne-t-il.
11 Commentaires
Ladoum
En Mars, 2022 (14:36 PM)Reply_author
En Mars, 2022 (12:15 PM)Ou va-t-on ?
Moi, je suis un sénégalais de l'exterieur et je me suis fier à un de ces vetos de quartier pour soigner un de mes moutons qui avait une petite furoncle sur la joue, apres ses soins il m"a pris 15000 frs. Deux jours apres le mouton est decedé suite aux soins prodigués. Quand je me suis bien renseigné sur sa personne, on m'a dit que ses grands parents et c'est lui qui les soingnait, et depuis il est devenu veto.
Quel Sénégal !!!!!
Reply_author
En Mars, 2022 (11:48 AM)Chaque technicien a sa place dans le système mais il faut qu'il la respecte et se limite à ce qui est prévu par la législation qui existe.
Dans le privé aussi, il faut plus de solidarité. Les cabinets vétérinaires doivent recruter (si les moyens le permettent) des techniciens des autres niveaux au lieu de former des soit disants auxiliaires. En fait ce sont souvent ces gens en rupture de ban qui créent le désordre dans la profession.
C'est mon humble opinion.
pays de merde
Cheikh Sene
En Mars, 2022 (06:49 AM)La savoir faire n'est pas le diplôme qui n'est que papier devant l'urgence des cas à régler dans l'immédiat.