''Nous voulons réitérer l'option de notre pays de faire de la santé un facteur de développement, une priorité ainsi que notre engagement à protéger les cibles les plus vulnérables en respectant les conventions signées pour le bon développement et l'épanouissement des enfants'', a notamment dit le ministre qui s'exprimait lors de la cérémonie de lancement du Plan d'accélération pour la survie de l'enfant à la suite de l'appel renouvelé à l'action sur la promesse renouvelée.
A travers le plan d'accélération, ‘'nous voulons contribuer durablement à l'accès universel à des services de qualité et aux produits d'importance vitale pour la santé de la mère, du nouveau-né et de l'enfant, a ajouté le ministre, tout en appelant que la mortalité infanto-juvénile au Sénégal est 72 pour 1000 naissances vivantes, selon l'Enquête de démographie et de santé (Eds V) alors que l'objectif fixé pour 2015 est de 46 pour 1000 naissances vivantes.
Le ministre de la santé a en outre fait remarquer que le sida, le paludisme et la tuberculose ont un impact sur les enfants, affirmant que la volonté des autorités sénégalaises est d'accélérer la vaccination qui a atteint en matière de lutte contre ces maladies un taux de couverture de 80% de couverture.
‘'Nous voulons, a-t-elle souligné, introduire d'autres vaccins, le vaccin contre le pneumocoque pour régler le problème des infections respiratoires, le vaccin contre le rota virus qui cause les diarrhées chez les enfants et consolider les programmes intégrés sur la prise en charge gratuite des enfants de 0 à 5 ans''.
Dans ce contexte, une attention particulière est accordée aux nouveau-nés, a dit le ministre, relevant que l'accent sera également mis sur les femmes enceintes et les accouchements en vue de minorer les naissances prématurées.
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En Juillet, 2013 (19:54 PM)Participer à la Discussion