Une apparente mutation génétique d'un des parasites du paludisme, appelé Plasmodium vivax, pourrait menacer des dizaines de millions de personnes dans le monde notamment en Afrique qui y sont jusqu'à présent naturellement résistantes, révèlent vendredi deux recherches aux Etats-Unis.
La Plasmodium vivax, à l'origine d'une forme plus bénigne du paludisme qui a provoqué près de 20 millions de cas en 2010, "pourrait connaître une mutation rapide" pour déjouer la protection naturelle conférée par un certain type sanguin trouvé chez des millions d'Africains, expliquent les auteurs de ces travaux.
1 Commentaires
Le Medicament Act???
En Novembre, 2013 (15:21 PM)Participer à la Discussion