L’armée tient à préciser que les 300 personnes atteintes du Vih-Sida, suivies à l’hôpital militaire de Ouakam, ne sont pas toutes des soldats. Dans ce lot, il n’y a que 26 militaires, atteints du VIH, soit 8 % de l’effectif des personnes suivies. Cette information a été donnée ce week-end lors de la randonnée pédestre organisée dans le cadre de la sensibilisation des troupes et des familles des soldats.
Le coordinateur du programme Sida des forces armées qui regroupe l’armée et la gendarmerie, le colonel Babacar Faye, signale qu’il n’y a que 10 militaires atteints, perdus de vue, sur les 300 malades suivis au niveau de l’hôpital militaire de Ouakam. D’après lui, 92 % de l’effectif des malades suivis à l’hôpital militaire de Ouakam sont des civils. « Le programme sida de l’armée a enregistré d’excellents résultats durant ces dernières années. Il est nécessaire de ne pas baisser la garde face à cette tueuse silencieuse » exhorte le colonel Faye.
12 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (12:08 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (12:10 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (12:11 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (12:29 PM)Anonymus
En Novembre, 2015 (12:52 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (13:04 PM)ces informations devaient etre tenues secretes
Anonyme
En Novembre, 2015 (13:04 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (13:18 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (14:13 PM)Militaire
En Novembre, 2015 (14:27 PM)Ils sont la pluapart du temps dans les terrains d'opérations qui sont le plus souvent des zones a risque surtout dans leurs missions en afrique congo;darfour;cote d'ivoire partout en afrique les zones de guerre sont des zones a risque ils leur faut des conseillers medicaux trés fort comme le dit alpha blondy dans sa chanson n'oublie jamais de proteger ton vuvuzela protegeons nous à bon entendeur la capote
Moi Pas Comprendre
En Novembre, 2015 (20:57 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (22:07 PM)Participer à la Discussion