Après l'attaque à la machette contre un employé du Port autonome de Dakar (Pad) à Boune, vendredi dernier, un Jakarta man a été pris à partie par des agresseurs à Diamaguène. Les Échos, qui alerte sur une série d'agressions en banlieue dakaroise, informe dans sa livraison de ce mardi 25 février, que la dernière victime a été la cible de redoutables agresseurs.
Ces derniers, au nombre de sept, opérant en bande organisée à bord de deux motos, sévissent au petit matin. Armés, ils détroussent tout passant qui croise leur chemin.
«Lundi dernier, vers 06h15, les deux gangs déboulent d'une ruelle de Diamaguène et passent par les abords du bassin de rétention des eaux usées de la localité. [...] Arrivés à quelques jets de pierres de l'arrêt des cars de transport en commun dit Nestlé, les brigands tombent dans la rue sur deux individus dont un Jakarta man», reprend le journal. Qui enchaine :
Brandissant leurs armes, ils attaquent le passant avant de tenter d'arracher la moto au second nommé. Le Jakarta man résiste, «agrippant de toutes ses forces le guidon de son engin», au moment où «l'un des agresseurs s'emploie à lui faire lâcher prise».
«Furieux, un des [assaillants] lui assène un coup de couteau». Atteint au niveau du flanc gauche, la victime continue de résister : « Refusant de lâcher prise, il appelle au secours.»
«Redoutant des représailles, les agresseurs démarrent en trombe et disparaissent dans la nature. [Mais avant de s'enfuir], un des agresseurs a asséné un second coup de couteau à la victime, [le poignardant] au même endroit», confie un témoin oculaire.
«Ils [les malfaiteurs] en sont à leur énième coup. [...]. Ils guettent les premières heures de la matinée pour frapper. Ils ciblent les gens qui se lèvent tôt le matin pour vaquer à leur opération, aller accomplir la prière de l'aube à la Mosquée puis se rendre au boulot ou à l'école», détaille celui-ci.
La chasse à l'homme a été lancée contre les auteurs de ces agressions à travers «des opérations avec une densification du maillage sécuritaire», rassure Les Échos.
Ces derniers, au nombre de sept, opérant en bande organisée à bord de deux motos, sévissent au petit matin. Armés, ils détroussent tout passant qui croise leur chemin.
«Lundi dernier, vers 06h15, les deux gangs déboulent d'une ruelle de Diamaguène et passent par les abords du bassin de rétention des eaux usées de la localité. [...] Arrivés à quelques jets de pierres de l'arrêt des cars de transport en commun dit Nestlé, les brigands tombent dans la rue sur deux individus dont un Jakarta man», reprend le journal. Qui enchaine :
Brandissant leurs armes, ils attaquent le passant avant de tenter d'arracher la moto au second nommé. Le Jakarta man résiste, «agrippant de toutes ses forces le guidon de son engin», au moment où «l'un des agresseurs s'emploie à lui faire lâcher prise».
«Furieux, un des [assaillants] lui assène un coup de couteau». Atteint au niveau du flanc gauche, la victime continue de résister : « Refusant de lâcher prise, il appelle au secours.»
«Redoutant des représailles, les agresseurs démarrent en trombe et disparaissent dans la nature. [Mais avant de s'enfuir], un des agresseurs a asséné un second coup de couteau à la victime, [le poignardant] au même endroit», confie un témoin oculaire.
«Ils [les malfaiteurs] en sont à leur énième coup. [...]. Ils guettent les premières heures de la matinée pour frapper. Ils ciblent les gens qui se lèvent tôt le matin pour vaquer à leur opération, aller accomplir la prière de l'aube à la Mosquée puis se rendre au boulot ou à l'école», détaille celui-ci.
La chasse à l'homme a été lancée contre les auteurs de ces agressions à travers «des opérations avec une densification du maillage sécuritaire», rassure Les Échos.
2 Commentaires
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il y a 2 heures (18:55 PM)1 bandit + preuve video du forfait = prime
Apres à chacun sa créativité
On peut même inviter les civils
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