Les chauffeurs de la Commission électorale nationale autonome (CENA) sont en mouvement d’humeur dans les 45 départements du Sénégal. Dans un communiqué reçu à Emedia, ils dénoncent "la précarité des conditions" de travail, martelant que "pendant toutes ces années la CENA, (leur) impose un arrêt de travail non rémunéré pendant cinq mois tous les ans."
"En plus de cette situation de 2019 à 2021, un arrêt total de travail non rémunéré nous a été imposé. Comme si cela ne suffisae pas, la CENA nous doit huis mois d’arrières de salaires", revendiquent-ils.
Poursuivant, ils précisent avoir épuisé toutes les voies de recours, citant "la saisine de la présidence de la République, depuis 2019, de l’inspection du travail." "Sans compter le nombre de fois que nous avons rencontré la direction de la CENA et des responsables du ministère de tutelle", fulminent-ils.
En perspective des élections territoriales prévues le 23 janvier 2022, le régulateur électoral, dirigé par Doudou Ndir, a fini de réactiver les 45 commissions électorales départementales (CEDA).
"En plus de cette situation de 2019 à 2021, un arrêt total de travail non rémunéré nous a été imposé. Comme si cela ne suffisae pas, la CENA nous doit huis mois d’arrières de salaires", revendiquent-ils.
Poursuivant, ils précisent avoir épuisé toutes les voies de recours, citant "la saisine de la présidence de la République, depuis 2019, de l’inspection du travail." "Sans compter le nombre de fois que nous avons rencontré la direction de la CENA et des responsables du ministère de tutelle", fulminent-ils.
En perspective des élections territoriales prévues le 23 janvier 2022, le régulateur électoral, dirigé par Doudou Ndir, a fini de réactiver les 45 commissions électorales départementales (CEDA).
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