A. Diop et M. Cissé, conducteur de moto Jakarta et électricien, âgés respectivement de 18 et 21 ans, ont été condamnés à 5 ans de réclusion criminelle. D'après L'Observateur, ils ont été reconnus coupables de viol collectif sur une fille.
A la barre de la chambre criminelle du Tribunal de grande instance de Diourbel, la présumée victime, N. D. Diop, est revenue sur les circonstances de sa mésaventure, confiant que la nuit du 30 mai 2021, elle avait proposé aux prévenus de la déposer chez elle.
Mais, a-t-elle déclaré, "au lieu de me ramener, ils avaient fait un détour derrière un hôtel pour la forcer à entretenir des rapports sexuels. Je portais un jean noir et un body. Quand A. Diop m'a déshabillé, j'ai refusé."
A l'en croire, elle était parvenue à desserrer l'étau pour prendre la fuite. Mais, a-t-elle dit, "A. Diop m'a poursuivie, et m'a fauchée. M. Cissé l'a aidé à me déshabiller. Quand j'ai voulu crier, (ce dernier) m'a bâillonnée avec sa main. Après, ils m'ont menacée de mort" avant d'abuser d'elle à tour de rôle.
"C'est eux qui m'ont ramené chez moi, et c'était la première fois que j'entretenais des rapports sexuels", jure-t-elle. D'ailleurs, a-t-elle relevé, "sa tante a vu ses habits tachetés de sang".
Une version rejetée par A. Diop, qui assure qu'elle était consentante. "On a discuté jusqu'à ce qu'elle soit d'accord. Je l'ai déshabillé parce qu'elle était consentante. Je suis le premier à avoir entretenu des rapports sexuels avec elle", s'est-il défendu. Il ajoute : "M. Cissé nous regardait faire mais tout d'un coup, il est venu me pousser. Je l'ai laissé, et je suis retourné sur ma moto. Quand on est arrivé au rond point au niveau de la gargote (maïga), je lui ai acheté un sandwich, puis je lui ai remis 2000 F CFA. C'est ce qui était convenu."
Soutenant la thèse du consentement, M. Cissé a, toutefois, admis avoir "retenu" la fille "quand elle a voulu refuser." "Elle était consentante au début. C'est A. Diop qui négociait avec elle. Quand ce dernier entretenait des rapports sexuels avec lui, je l'avais retenue quand elle a voulu refuser", a-t-il expliqué.
Le procureur de la République, Farba Ngom, estimant qu'A. Diop avait des intentions "malveillantes" surtout que la victime a tenté de s'enfuir, avait requis 15 ans contre lui, et 10 ans de réclusion criminelle contre son acolyte, M. Cissé. A qui il est reproché de "s'être laissé gagner par ses pulsions" au lieu d'aider la victime en assistant à la scène.
Les avocats de la défense, plaidant une "application bienveillante de la justice", ont soutenu que "beaucoup de zones d'ombre" entourent cette affaire.
A la barre de la chambre criminelle du Tribunal de grande instance de Diourbel, la présumée victime, N. D. Diop, est revenue sur les circonstances de sa mésaventure, confiant que la nuit du 30 mai 2021, elle avait proposé aux prévenus de la déposer chez elle.
Mais, a-t-elle déclaré, "au lieu de me ramener, ils avaient fait un détour derrière un hôtel pour la forcer à entretenir des rapports sexuels. Je portais un jean noir et un body. Quand A. Diop m'a déshabillé, j'ai refusé."
A l'en croire, elle était parvenue à desserrer l'étau pour prendre la fuite. Mais, a-t-elle dit, "A. Diop m'a poursuivie, et m'a fauchée. M. Cissé l'a aidé à me déshabiller. Quand j'ai voulu crier, (ce dernier) m'a bâillonnée avec sa main. Après, ils m'ont menacée de mort" avant d'abuser d'elle à tour de rôle.
"C'est eux qui m'ont ramené chez moi, et c'était la première fois que j'entretenais des rapports sexuels", jure-t-elle. D'ailleurs, a-t-elle relevé, "sa tante a vu ses habits tachetés de sang".
Une version rejetée par A. Diop, qui assure qu'elle était consentante. "On a discuté jusqu'à ce qu'elle soit d'accord. Je l'ai déshabillé parce qu'elle était consentante. Je suis le premier à avoir entretenu des rapports sexuels avec elle", s'est-il défendu. Il ajoute : "M. Cissé nous regardait faire mais tout d'un coup, il est venu me pousser. Je l'ai laissé, et je suis retourné sur ma moto. Quand on est arrivé au rond point au niveau de la gargote (maïga), je lui ai acheté un sandwich, puis je lui ai remis 2000 F CFA. C'est ce qui était convenu."
Soutenant la thèse du consentement, M. Cissé a, toutefois, admis avoir "retenu" la fille "quand elle a voulu refuser." "Elle était consentante au début. C'est A. Diop qui négociait avec elle. Quand ce dernier entretenait des rapports sexuels avec lui, je l'avais retenue quand elle a voulu refuser", a-t-il expliqué.
Le procureur de la République, Farba Ngom, estimant qu'A. Diop avait des intentions "malveillantes" surtout que la victime a tenté de s'enfuir, avait requis 15 ans contre lui, et 10 ans de réclusion criminelle contre son acolyte, M. Cissé. A qui il est reproché de "s'être laissé gagner par ses pulsions" au lieu d'aider la victime en assistant à la scène.
Les avocats de la défense, plaidant une "application bienveillante de la justice", ont soutenu que "beaucoup de zones d'ombre" entourent cette affaire.
4 Commentaires
Avocat
En Novembre, 2023 (14:47 PM)Putin vous êtes de vrai chiots.
Dire que se soir vous allez regarder avec beaucoup dattendrissement vos filles.
Cheutt
En Novembre, 2023 (15:59 PM)doyna war. on espere que ce n'est pas le fameux farba ngom de l'apr ou peut etre c'est une homonymie
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