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Jeudi 10 mars, à 23 heures 30, Fatoumata Tounkara jette dans un puits Lassana Wagué, le bébé de sept mois dont la disparition avait été constatée quelques instants plus tôt par sa mère, Aminata Sow.
Son acte accompli, la meurtrière présumée rentre chez elle se coucher. Réveillée en pleine nuit par la maman éplorée, qui lui demandait si elle n’avait pas vu son enfant, elle répond par la négative avant de se rendormir.
Le lendemain, Fatoumata Tounkara participe aux recherches dans tout le village de Niéméniké (Kédougou). Et lorsque le corps sans vie de Lassana Wagué a été retrouvé au fond du puits, elle fond en larmes pour marquer une tristesse qui était en réalité feinte.
C’est suite à son arrestation que son masque est tombé. Et c’est la mise en cause elle-même qui a raconté aux gendarmes sa supercherie. Elle est passée aux aveux mercredi dernier avant de réitérer, le lendemain, ses déclarations.
Fatoumata Tounkara aurait agi sous la dictée de la coépouse de la mère de «bébé Lassana», Fatou Wagué, et de la grand-mère paternelle de la victime, Siya Traoré. Ces dernières sont en garde à vue.
Libération, qui a révélé l’affaire et la suit depuis le début, informe que les trois dames seront présentées ce vendredi 18 mars au procureur de Kédougou. Elles sont poursuivies pour association de malfaiteurs, enlèvement de mineur, assassinat et complicité d’assassinat.
Quid du mobile de ce crime crapuleux ? Les enquêteurs, assure le journal, pointent l’argent et la jalousie avec comme déclencheur deux événements qui se sont déroulés en l’espace de deux ans.
En 2019, lorsqu’Ibrahima Wagué, fils unique de Siya Traoré et orpailleur de son état, a pris une deuxième épouse, cette dernière s’oppose à l’union. En vain. Elle ne cessera jamais de montrer son hostilité au couple.
Deux années plus tard, Aminata Sow donne naissance à un garçon. La situation se tend davantage. Siya Traoré et Fatou Wagué, la première épouse d’Ibrahima, avec qui il a deux filles, craignent pour l’héritage, selon les enquêteurs.
Il fallait donc éliminer le nouveau-né. Siya Traoré et Fatou Wagne «emploient» Fatoumata Tounkara, qui avait l’habitude de garder Lassana Wagué, pour éliminer le bébé de sept mois. Le forfait accompli, le trio pleurait aux côtés de la maman de l’enfant, qui ne se doutait de rien.
Son acte accompli, la meurtrière présumée rentre chez elle se coucher. Réveillée en pleine nuit par la maman éplorée, qui lui demandait si elle n’avait pas vu son enfant, elle répond par la négative avant de se rendormir.
Le lendemain, Fatoumata Tounkara participe aux recherches dans tout le village de Niéméniké (Kédougou). Et lorsque le corps sans vie de Lassana Wagué a été retrouvé au fond du puits, elle fond en larmes pour marquer une tristesse qui était en réalité feinte.
C’est suite à son arrestation que son masque est tombé. Et c’est la mise en cause elle-même qui a raconté aux gendarmes sa supercherie. Elle est passée aux aveux mercredi dernier avant de réitérer, le lendemain, ses déclarations.
Fatoumata Tounkara aurait agi sous la dictée de la coépouse de la mère de «bébé Lassana», Fatou Wagué, et de la grand-mère paternelle de la victime, Siya Traoré. Ces dernières sont en garde à vue.
Libération, qui a révélé l’affaire et la suit depuis le début, informe que les trois dames seront présentées ce vendredi 18 mars au procureur de Kédougou. Elles sont poursuivies pour association de malfaiteurs, enlèvement de mineur, assassinat et complicité d’assassinat.
Quid du mobile de ce crime crapuleux ? Les enquêteurs, assure le journal, pointent l’argent et la jalousie avec comme déclencheur deux événements qui se sont déroulés en l’espace de deux ans.
En 2019, lorsqu’Ibrahima Wagué, fils unique de Siya Traoré et orpailleur de son état, a pris une deuxième épouse, cette dernière s’oppose à l’union. En vain. Elle ne cessera jamais de montrer son hostilité au couple.
Deux années plus tard, Aminata Sow donne naissance à un garçon. La situation se tend davantage. Siya Traoré et Fatou Wagué, la première épouse d’Ibrahima, avec qui il a deux filles, craignent pour l’héritage, selon les enquêteurs.
Il fallait donc éliminer le nouveau-né. Siya Traoré et Fatou Wagne «emploient» Fatoumata Tounkara, qui avait l’habitude de garder Lassana Wagué, pour éliminer le bébé de sept mois. Le forfait accompli, le trio pleurait aux côtés de la maman de l’enfant, qui ne se doutait de rien.
32 Commentaires
Reply_author
En Mars, 2022 (11:38 AM)Reply_author
En Mars, 2022 (12:08 PM)Reply_author
En Mars, 2022 (15:42 PM)Reply_author
En Mars, 2022 (19:05 PM)Reply_author
En Mars, 2022 (10:12 AM)Reply_author
En Mars, 2022 (09:23 AM)Reply_author
En Mars, 2022 (10:31 AM)Avis
En Mars, 2022 (08:46 AM)Ouz
En Mars, 2022 (08:49 AM)Reply_author
En Mars, 2022 (09:22 AM)Reply_author
En Mars, 2022 (10:27 AM)Reply_author
En Mars, 2022 (11:51 AM)Life Expectancy
En Mars, 2022 (16:27 PM)Songo
En Mars, 2022 (08:50 AM)Cheikh Diouf
En Mars, 2022 (08:51 AM)Un garçon de quelques mois lâchement tué par trois femmes. C'est le comble de la cruauté.
Féministe Reply_author
En Mars, 2022 (09:16 AM)Voici un exemple des effets néfastes de la polygamie !!!
Mesdames, soyez indépendantes sur tous les plans (mentalement, financièrement ect...) afin d'éviter de subir la polygamie qui rend 99% des femmes malheureuses !!! Vive le féminisme !!!
Reply_author
En Mars, 2022 (09:32 AM)Reply_author
En Mars, 2022 (12:04 PM)La femme est une créature divine capable du meilleur et du pire comme l'homme d'ailleurs. Cela étant je vois jusqu'à quel point l'être humain peut être cruel. Ces trois femmes merritent la mort.
Aroka
En Mars, 2022 (09:17 AM)Je n'imagine même pas la douleur que doivent ressentir ses parents 😢. Repose en paix petit ange🤲
Reply_author
En Mars, 2022 (09:49 AM)Reply_author
En Mars, 2022 (11:45 AM)Ibrahima
En Mars, 2022 (09:37 AM)Damel
En Mars, 2022 (09:47 AM)Madame
En Mars, 2022 (09:48 AM)Mamadou
En Mars, 2022 (10:18 AM)Tambakhara
En Mars, 2022 (10:25 AM)Reply_author
En Mars, 2022 (10:54 AM)Reply_author
En Mars, 2022 (17:32 PM)se cacher derrière la polygamie pour justifier ce crime est encore plus abject. ici il n'y a que la méchanceté la cupidité l'égoisme pour un début d'explication. au fond d'elles méme elles ne savent méme pourquoi et comment elles en sont arrivées à ce point de non retour. entre femmes elles ont tellement laissé libre court à leur sadisme que leur propre raison à foutu le camp. rien ne pouvait les arréter le mari lui méme n'était plus en sécurité. aprés le bébé elles pouvaient très bien attenter à sa vie pour des histoires d'héritage. cela s'est vu ailleurs. ce crime elles l'ont patiemment planifié et mis en exécution. ce sont des personnes avec un sang froid démoniaque. il n'y a aucune pitié à avoir pour elles
Sincères condoléances aux parents éplorés. Que Dieu donne aux meurtrières de se repentir sincèrement.
Mais na yone def liguey am.
Sénégalais
En Mars, 2022 (12:58 PM)Reply_author
En Mars, 2022 (12:10 PM)Défenseur
En Mars, 2022 (13:08 PM)Les autres meritent tout simplement la peine de mort
Sénégal
En Mars, 2022 (14:10 PM)Participer à la Discussion