Un ressortissant soudanais a été arrêté et placé sous mandat de dépôt, pour terrorisme, rapporte le quotidien Libération dans sa parution de ce mercredi.
Ishag Yagoub Adam, né au Darfour et âgé de 55 ans, a été intercepté à Rosso (au nord du Sénégal) le 8 janvier dernier et conduit sous bonne escorte à Dakar par la Brigade anti-terroriste de la Division des investigations criminelles (DIC).
Se disant orpailleur, le Soudanais, venu de la Mauritanie, était entré au Sénégal pour obtenir un «cachet de sortie» sur son passeport, en vue de régulariser sa situation en Mauritanie.
Les limiers ont découvert sur son téléphone portable des images ainsi que des activités de groupes armés, des scènes d’attaques et des personnes froidement exécutés.
Après des années dans l’agriculture, il a indiqué avoir débuté des activités d’orpaillage en 2013, alors qu’il était au Cameroun.
Trois mois plus tard, il a confié aux enquêteurs qu’il est parti au Tchad avec sa famille où il a séjourné pendant 7 ans.
Il a également reconnu être entré clandestinement au Sénégal, par voie fluviale, le 7 janvier dernier.
À propos des images d’exécution retrouvées dans son téléphone, il déclare les avoir obtenues dans un groupe WhatsApp dénommé «Wadassouna» dont il est membre.
Dans tous les pays où il a séjourné (Cameroun, Tchad, Niger, Mali et Mauritanie) touchés par le terrorisme, il a utilisé des filières clandestines.
Ishag Yagoub Adam, né au Darfour et âgé de 55 ans, a été intercepté à Rosso (au nord du Sénégal) le 8 janvier dernier et conduit sous bonne escorte à Dakar par la Brigade anti-terroriste de la Division des investigations criminelles (DIC).
Se disant orpailleur, le Soudanais, venu de la Mauritanie, était entré au Sénégal pour obtenir un «cachet de sortie» sur son passeport, en vue de régulariser sa situation en Mauritanie.
Les limiers ont découvert sur son téléphone portable des images ainsi que des activités de groupes armés, des scènes d’attaques et des personnes froidement exécutés.
Après des années dans l’agriculture, il a indiqué avoir débuté des activités d’orpaillage en 2013, alors qu’il était au Cameroun.
Trois mois plus tard, il a confié aux enquêteurs qu’il est parti au Tchad avec sa famille où il a séjourné pendant 7 ans.
Il a également reconnu être entré clandestinement au Sénégal, par voie fluviale, le 7 janvier dernier.
À propos des images d’exécution retrouvées dans son téléphone, il déclare les avoir obtenues dans un groupe WhatsApp dénommé «Wadassouna» dont il est membre.
Dans tous les pays où il a séjourné (Cameroun, Tchad, Niger, Mali et Mauritanie) touchés par le terrorisme, il a utilisé des filières clandestines.
3 Commentaires
Nianthio
En Janvier, 2022 (14:35 PM)Participer à la Discussion