Le Dr Alioune Sarr a dirigé le CNG de 1994 à 2020. A plusieurs reprises, son départ a été évoqué. Mais chaque fois il était reconduit par les différents ministres des Sports qui se sont succédé.
Il a même été la cible d’une tentative de putsch qui a foiré parce que son premier vice-président à l’époque, Cheikh Tidiane Ndiaye, qui était censé le remplacer, a refusé de participer au coup.
«A un moment donné, on m’a convoqué en haut-lieu, se rappelle Cheikh Tidiane Ndiaye dans Sunu Lamb. Ils m’ont demandé de remplacer Alioune Sarr à la tête du CNG. J’ai catégoriquement refusé cette offre. Je préférerais mourir de faire ça à Alioune Sarr, même si on me payait 50 millions de francs CFA.»
L’ancien vice-président du CNG, qui a démissionné de son poste en 2013, ajoute : «C’est Alioune Sarr qui m’a coopté en tant que premier vice-président du CNG chargé de la lutte avec frappe. Je ne pouvais pas le trahir. Il m’a fallu six mois pour lui raconter cette histoire.»
Il a même été la cible d’une tentative de putsch qui a foiré parce que son premier vice-président à l’époque, Cheikh Tidiane Ndiaye, qui était censé le remplacer, a refusé de participer au coup.
«A un moment donné, on m’a convoqué en haut-lieu, se rappelle Cheikh Tidiane Ndiaye dans Sunu Lamb. Ils m’ont demandé de remplacer Alioune Sarr à la tête du CNG. J’ai catégoriquement refusé cette offre. Je préférerais mourir de faire ça à Alioune Sarr, même si on me payait 50 millions de francs CFA.»
L’ancien vice-président du CNG, qui a démissionné de son poste en 2013, ajoute : «C’est Alioune Sarr qui m’a coopté en tant que premier vice-président du CNG chargé de la lutte avec frappe. Je ne pouvais pas le trahir. Il m’a fallu six mois pour lui raconter cette histoire.»
4 Commentaires
10 ans président ça suffit.
Nul n'est indispensable.
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