Très attendu, le documentaire de la RTBF “Le milieu du terrain” s’est notamment penché sur le transfert de Gohi Bi Cyriac du Standard vers Anderlecht en 2012. Agent du joueur, Mogi Bayat était parvenu à l’époque à renégocier le contrat de l’Ivoirien peu de temps avant la fin de son aventure à Liège. Dans le deal, une clause plutôt étonnante favorisant un départ aisé vers n’importe quel club, même concurrent.
Nous sommes en 2012. Performant et convaincant avec le Standard, Gohi Bi Cyriac suscite l’intérêt de nombreux clubs belges et étrangers. Anderlecht est particulièrement intéressé. Sollicité par le Sporting, Mogi Bayat devient le nouvel agent de l’attaquant, rapporte la RTBF. Alors que son contrat arrive à échéance un an plus tard, Cyriac se voit offrir une nouvelle proposition.
Logique pour la direction liégeoise qui souhaite prolonger la collaboration et/ou obtenir des indemnités plus importantes lors d'un potentiel transfert? Non. L'échéance mentionnée dans le nouveau contrat n’est pas plus lointaine que celle du précédent. Les changements? Une revalorisation salariale et des primes de match majorées. L'accord comporte également une clause libératoire surprenante. Cyriac est libre de quitter le club pour deux millions d’euros et aucune restriction n’est précisée concernant la destination. Un club rival comme Anderlecht ou Bruges peut acquérir la pépite liégeoise pour le même montant que n'importe quel autre club étranger.
“Le problème c’est qu’il est allé à Anderlecht”
Une offre d’Anderlecht intervient un peu plus tard et Cyriac rejoint la capitale. “Le problème c’est qu’il est allé à Anderlecht, donc c’était mal perçu par les supporters du Standard”, avance Pierre François, directeur général du Standard de l’époque, interrogé par la RTBF. Mais ce qu’on a obtenu financièrement c’était mieux que de rien avoir. Je savais que s’il n’était pas reconduit, il partait libre en Belgique ou à l’étranger. Et si on le reconduisait, on obtenait au moins les 2 millions.”
Cyriac restera trois ans à Anderlecht avant d’être cédé à Ostende contre 1,5 million d’euros. Il est actuellement sans club.
Nous sommes en 2012. Performant et convaincant avec le Standard, Gohi Bi Cyriac suscite l’intérêt de nombreux clubs belges et étrangers. Anderlecht est particulièrement intéressé. Sollicité par le Sporting, Mogi Bayat devient le nouvel agent de l’attaquant, rapporte la RTBF. Alors que son contrat arrive à échéance un an plus tard, Cyriac se voit offrir une nouvelle proposition.
Logique pour la direction liégeoise qui souhaite prolonger la collaboration et/ou obtenir des indemnités plus importantes lors d'un potentiel transfert? Non. L'échéance mentionnée dans le nouveau contrat n’est pas plus lointaine que celle du précédent. Les changements? Une revalorisation salariale et des primes de match majorées. L'accord comporte également une clause libératoire surprenante. Cyriac est libre de quitter le club pour deux millions d’euros et aucune restriction n’est précisée concernant la destination. Un club rival comme Anderlecht ou Bruges peut acquérir la pépite liégeoise pour le même montant que n'importe quel autre club étranger.
“Le problème c’est qu’il est allé à Anderlecht”
Une offre d’Anderlecht intervient un peu plus tard et Cyriac rejoint la capitale. “Le problème c’est qu’il est allé à Anderlecht, donc c’était mal perçu par les supporters du Standard”, avance Pierre François, directeur général du Standard de l’époque, interrogé par la RTBF. Mais ce qu’on a obtenu financièrement c’était mieux que de rien avoir. Je savais que s’il n’était pas reconduit, il partait libre en Belgique ou à l’étranger. Et si on le reconduisait, on obtenait au moins les 2 millions.”
Cyriac restera trois ans à Anderlecht avant d’être cédé à Ostende contre 1,5 million d’euros. Il est actuellement sans club.
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