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En Guinée Bissau, le tribunal militaire de Bissau a infligé de lourdes peines de prison à 14 soldats accusés d’avoir participé au putsch manqué du 1er février 2022. Selon l’Agence de presse portugaise Lusa qui rapporte l’information, 8 des prévenus ont écopé de 24 ans de prison, 3 de 29 ans et 3 autres, de 12 ans, pour « tentative d’atteinte à l’Etat de droit, tentative d’assassinat du Président de la République et meurtre aggravé ».
11 accusés acquittés
Ils ont également été radiés de l’Armée bissau-guinéenne.
Par ailleurs, 11 autres accusés ont été acquittés lors du même procès, le tribunal n’ayant pas réussi à prouver leur implication directe, dans la tentative de putsch.
L’ex-chef de la marine Bubo Na Tchuto, considéré comme le cerveau de la tentative de coup d’Etat n’a pas encore été jugé en raison d’un manque de quorum de juges au Tribunal militaire supérieur.
L’un des magistrats de ce tribunal a été transféré à l’état-major général des forces armées, explique l’avocat de Bubo, Marcelino Intupe.
12 morts lors de l’attaque
Pour mémoire, le 1er février 2022, des hommes armés avaient fait irruption dans la salle où se tenait le Conseil des ministres au Palais du gouvernement. Ils ont ouvert le feu sur les personnes présentes, dont le chef de l’Etat Umaro Sissoco Embalo.
Ce dernier n'a pas été touché, mais il y a eu 12 morts. La plupart était des membres de la sécurité présidentielle et des chauffeurs des ministres.
2 Commentaires
En 2021, j’ai signé un contrat avec Teyliom pour l’acquisition d’une villa, avec une livraison contractuellement prévue pour décembre 2023. J’ai réglé l’intégralité du montant en fin d’année 2023, respectant scrupuleusement mes obligations. Cependant, à ce jour, la villa n’existe pas. Aucun chantier, aucun remboursement, aucune réponse aux multiples relances que j’ai adressées à Teyliom.
Dans l’espoir d’un règlement à l’amiable, j’ai pris l’initiative de rédiger une lettre de désistement, demandant à Teyliom de me rembourser les sommes versées. Bien que cette lettre ait été dûment reçue, elle n’a donné lieu à aucune suite concrète ni probante. Face à cette situation intolérable, j’ai dû me résoudre à engager un avocat pour défendre mes droits, entraînant des frais supplémentaires que je n’aurais jamais dû supporter. Aujourd’hui, on me demande d’attendre encore jusqu’en mai. Pourquoi ? Qui protège Teyliom ? Qui défend leurs victimes ?
En votant Pastef, je pensais qu’une rupture allait enfin s’opérer, qu’on allait en finir avec ce genre d’injustice. Toujours rien. J’ai écrit à un député pour qu’il prenne cette affaire au sérieux. Silence. Rien. Je suis désemparé, ne sachant plus à quel saint me vouer. Personne pour nous défendre de prédateurs comme Teyliom.
Cette situation met en lumière non seulement un manquement grave de la part de Teyliom à ses engagements contractuels, mais également une inaction inexplicable des mécanismes judiciaires. Les renvois répétés d’audience et l’absence d’avancées tangibles dans ce dossier laissent un goût amer d’injustice et d’impunité.
Je ne demande pas seulement le remboursement de mes fonds, mais également des réparations à la hauteur du préjudice subi, qu’il soit financier, moral ou psychologique. Les droits des citoyens ne doivent pas être sacrifiés sur l’autel de la complaisance envers des entreprises qui se croient au-dessus des lois. Je continuerai à me battre pour que justice soit faite et pour que de tels abus cessent définitivement.
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