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Le cadre de concertation sur le barrage d’Affiniam hausse à nouveau le ton pour dénoncer la remontée notable de la langue salée dans les périmètres rizicoles entourant cette infrastructure. Selon ses membres, cette situation résulte d’une « invasion des eaux marines dans tout le réseau hydrographique », entraînant une dégradation accrue des sols propices à l’agriculture, notamment à la production de riz.
Après une première mobilisation début janvier, le cadre a déposé un mémorandum auprès de la préfecture de Bignona, dont une copie nous est parvenue. Signé par son coordonnateur, Lamine Dem Diatta, ce document exprime à l’autorité administrative l’inquiétude face à l’absence d’études d’impact environnemental, économique et social préalables à la construction de l’ouvrage. Pour étayer cette affirmation, le cadre se réfère à une interview du directeur du barrage datée du 18 janvier 2025.
Aux yeux des prétendus bénéficiaires de la zone ciblée, le barrage d’Affiniam est qualifié de « barrage anti-population ». « Il agit contre ces communautés en produisant des effets contraires à sa mission », a déclaré Lamine Dem Diatta. Selon lui, loin de répondre aux attentes, l’infrastructure brise les espoirs des populations et les pousse à l’exode rural. Le cadre estime que le calvaire enduré depuis plus de 40 ans a trop duré et ne peut se prolonger au nom du « droit au bien-être ».
Les populations impactées envisagent désormais des recours auprès des juridictions compétentes et d’autres organismes pour obtenir réparation de ce qu’elles considèrent comme une injustice environnementale et socio-économique, souligne le mémorandum.
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En 2021, j’ai signé un contrat avec Teyliom pour l’acquisition d’une villa, avec une livraison contractuellement prévue pour décembre 2023. J’ai réglé l’intégralité du montant en fin d’année 2023, respectant scrupuleusement mes obligations. Cependant, à ce jour, la villa n’existe pas. Aucun chantier, aucun remboursement, aucune réponse aux multiples relances que j’ai adressées à Teyliom.
Dans l’espoir d’un règlement à l’amiable, j’ai pris l’initiative de rédiger une lettre de désistement, demandant à Teyliom de me rembourser les sommes versées. Bien que cette lettre ait été dûment reçue, elle n’a donné lieu à aucune suite concrète ni probante. Face à cette situation intolérable, j’ai dû me résoudre à engager un avocat pour défendre mes droits, entraînant des frais supplémentaires que je n’aurais jamais dû supporter. Aujourd’hui, on me demande d’attendre encore jusqu’en mai. Pourquoi ? Qui protège Teyliom ? Qui défend leurs victimes ?
En votant Pastef, je pensais qu’une rupture allait enfin s’opérer, qu’on allait en finir avec ce genre d’injustice. Toujours rien. J’ai écrit à un député pour qu’il prenne cette affaire au sérieux. Silence. Rien. Je suis désemparé, ne sachant plus à quel saint me vouer. Personne pour nous défendre de prédateurs comme Teyliom.
Cette situation met en lumière non seulement un manquement grave de la part de Teyliom à ses engagements contractuels, mais également une inaction inexplicable des mécanismes judiciaires. Les renvois répétés d’audience et l’absence d’avancées tangibles dans ce dossier laissent un goût amer d’injustice et d’impunité.
Je ne demande pas seulement le remboursement de mes fonds, mais également des réparations à la hauteur du préjudice subi, qu’il soit financier, moral ou psychologique. Les droits des citoyens ne doivent pas être sacrifiés sur l’autel de la complaisance envers des entreprises qui se croient au-dessus des lois. Je continuerai à me battre pour que justice soit faite et pour que de tels abus cessent définitivement.
En 2021, j’ai signé un contrat avec Teyliom pour l’acquisition d’une villa, avec une livraison contractuellement prévue pour décembre 2023. J’ai réglé l’intégralité du montant en fin d’année 2023, respectant scrupuleusement mes obligations. Cependant, à ce jour, la villa n’existe pas. Aucun chantier, aucun remboursement, aucune réponse aux multiples relances que j’ai adressées à Teyliom.
Dans l’espoir d’un règlement à l’amiable, j’ai pris l’initiative de rédiger une lettre de désistement, demandant à Teyliom de me rembourser les sommes versées. Bien que cette lettre ait été dûment reçue, elle n’a donné lieu à aucune suite concrète ni probante. Face à cette situation intolérable, j’ai dû me résoudre à engager un avocat pour défendre mes droits, entraînant des frais supplémentaires que je n’aurais jamais dû supporter. Aujourd’hui, on me demande d’attendre encore jusqu’en mai. Pourquoi ? Qui protège Teyliom ? Qui défend leurs victimes ?
En votant Pastef, je pensais qu’une rupture allait enfin s’opérer, qu’on allait en finir avec ce genre d’injustice. Toujours rien. J’ai écrit à un député pour qu’il prenne cette affaire au sérieux. Silence. Rien. Je suis désemparé, ne sachant plus à quel saint me vouer. Personne pour nous défendre de prédateurs comme Teyliom.
Cette situation met en lumière non seulement un manquement grave de la part de Teyliom à ses engagements contractuels, mais également une inaction inexplicable des mécanismes judiciaires. Les renvois répétés d’audience et l’absence d’avancées tangibles dans ce dossier laissent un goût amer d’injustice et d’impunité.
Je ne demande pas seulement le remboursement de mes fonds, mais également des réparations à la hauteur du préjudice subi, qu’il soit financier, moral ou psychologique. Les droits des citoyens ne doivent pas être sacrifiés sur l’autel de la complaisance envers des entreprises qui se croient au-dessus des lois. Je continuerai à me battre pour que justice soit faite et pour que de tels abus cessent définitivement.
En 2021, j’ai signé un contrat avec Teyliom pour l’acquisition d’une villa, avec une livraison contractuellement prévue pour décembre 2023. J’ai réglé l’intégralité du montant en fin d’année 2023, respectant scrupuleusement mes obligations. Cependant, à ce jour, la villa n’existe pas. Aucun chantier, aucun remboursement, aucune réponse aux multiples relances que j’ai adressées à Teyliom.
Dans l’espoir d’un règlement à l’amiable, j’ai pris l’initiative de rédiger une lettre de désistement, demandant à Teyliom de me rembourser les sommes versées. Bien que cette lettre ait été dûment reçue, elle n’a donné lieu à aucune suite concrète ni probante. Face à cette situation intolérable, j’ai dû me résoudre à engager un avocat pour défendre mes droits, entraînant des frais supplémentaires que je n’aurais jamais dû supporter. Aujourd’hui, on me demande d’attendre encore jusqu’en mai. Pourquoi ? Qui protège Teyliom ? Qui défend leurs victimes ?
En votant Pastef, je pensais qu’une rupture allait enfin s’opérer, qu’on allait en finir avec ce genre d’injustice. Toujours rien. J’ai écrit à un député pour qu’il prenne cette affaire au sérieux. Silence. Rien. Je suis désemparé, ne sachant plus à quel saint me vouer. Personne pour nous défendre de prédateurs comme Teyliom.
Cette situation met en lumière non seulement un manquement grave de la part de Teyliom à ses engagements contractuels, mais également une inaction inexplicable des mécanismes judiciaires. Les renvois répétés d’audience et l’absence d’avancées tangibles dans ce dossier laissent un goût amer d’injustice et d’impunité.
Je ne demande pas seulement le remboursement de mes fonds, mais également des réparations à la hauteur du préjudice subi, qu’il soit financier, moral ou psychologique. Les droits des citoyens ne doivent pas être sacrifiés sur l’autel de la complaisance envers des entreprises qui se croient au-dessus des lois. Je continuerai à me battre pour que justice soit faite et pour que de tels abus cessent définitivement.
En 2021, j’ai signé un contrat avec Teyliom pour l’acquisition d’une villa, avec une livraison contractuellement prévue pour décembre 2023. J’ai réglé l’intégralité du montant en fin d’année 2023, respectant scrupuleusement mes obligations. Cependant, à ce jour, la villa n’existe pas. Aucun chantier, aucun remboursement, aucune réponse aux multiples relances que j’ai adressées à Teyliom.
Dans l’espoir d’un règlement à l’amiable, j’ai pris l’initiative de rédiger une lettre de désistement, demandant à Teyliom de me rembourser les sommes versées. Bien que cette lettre ait été dûment reçue, elle n’a donné lieu à aucune suite concrète ni probante. Face à cette situation intolérable, j’ai dû me résoudre à engager un avocat pour défendre mes droits, entraînant des frais supplémentaires que je n’aurais jamais dû supporter. Aujourd’hui, on me demande d’attendre encore jusqu’en mai. Pourquoi ? Qui protège Teyliom ? Qui défend leurs victimes ?
En votant Pastef, je pensais qu’une rupture allait enfin s’opérer, qu’on allait en finir avec ce genre d’injustice. Toujours rien. J’ai écrit à un député pour qu’il prenne cette affaire au sérieux. Silence. Rien. Je suis désemparé, ne sachant plus à quel saint me vouer. Personne pour nous défendre de prédateurs comme Teyliom.
Cette situation met en lumière non seulement un manquement grave de la part de Teyliom à ses engagements contractuels, mais également une inaction inexplicable des mécanismes judiciaires. Les renvois répétés d’audience et l’absence d’avancées tangibles dans ce dossier laissent un goût amer d’injustice et d’impunité.
Je ne demande pas seulement le remboursement de mes fonds, mais également des réparations à la hauteur du préjudice subi, qu’il soit financier, moral ou psychologique. Les droits des citoyens ne doivent pas être sacrifiés sur l’autel de la complaisance envers des entreprises qui se croient au-dessus des lois. Je continuerai à me battre pour que justice soit faite et pour que de tels abus cessent définitivement.
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