Pour de l'argent, certaines personnes ont accédé à la demande de l’étudiant Harouna Bâ de lui envoyer leurs vidéos en tenue d'Eve. D'autres ont accepté de juste montrer une partie nue de leurs corps ou de se mettre dans des positions obscènes.
A l'arrivée, ce fut la désillusion, la déception. Elles ont désenchanté et n'ont récolté que des larmes et surtout un honneur bafoué. Beaucoup d'entre elles ont craqué lorsque leurs vidéos à caractère érotique ont atterri sur la toile.
Selon le quotidien L'Observateur, l’une d'elle a été obligée d'abandonner ses études et de retourner à son village. Certaines parmi elles se sont confiées. Leurs initiales ont été changées.
L.S., 25 ANS, ÉTUDIANTE : «Quand j’ai refusé de coucher avec lui, il a balancé mes 5 vidéos sur le Net»
«Harouna est dans la même classe que moi, mais il s'était présenté comme une camarade de classe qui a obtenu mon numéro à travers notre groupe WhatsApp. Puis au fil des discussions, il m’a demandé ce que je fais en dehors des études. Je lui ai répondu que je travaille comme femme de ménage en ville pour subvenir à mes besoins. Il m'a proposé de participer à un jeu ‘’Action ou Vérité’’ et qu'il allait me mettre en rapport avec des hommes aisés qui pourraient m'aider. Je lui ai envoyé cinq vidéos à caractères obscènes. C'est alors qu'il m'a dit qu'il est un homme et m'a réclamé 50 000 FCfa pour effacer mes images obscènes, sinon il avait menacé de les publier sur les réseaux sociaux, notamment dans le site de Kocc-Barma. J'ai refusé. Il est revenu à la charge pour me proposer de coucher avec lui afin que mes images soient effacées. Lorsque j'ai encore refusé, il a mis ses menaces à exécution. Des proches ont vu la vidéo et m'ont alertée. Mon honneur a été atteint, j'ai été obligée d'arrêter les études et de retourner au village.»
M. F., 20 ANS, ÉLÈVE : «Pour que mes vidéos soient effacées, j'ai accepté de coucher avec lui»
«J'ai fini par céder quand il a menacé de publier mes vidéos nues dans le site pornographique Seneporno et dans tout le Net. Il m'a donné rendez-vous non loin de l'hôpital Abass Ndao et m'a conduite dans une chambre à la Médina où nous avons eu des rapports non protégés, puis il a supprimé mes images devant moi.»
S. S., 19 ANS, ÉLÈVE : «Deux d’entre nous ont accepté de coucher avec lui avant que...»
«A l'approche de la Tabaski, des copines de classe m'ont dit qu'il y a un monsieur du nom de Pape qui accepte de financer les filles, si elles acceptent de lui envoyer des vidéos à caractère pornographique. Elles m'ont dit que je pouvais avoir plus de 50 000 FCfa, j'ai donc accepté. Deux d’entre nous ont eu des rapports sexuels avec Harouna Bâ avant que leurs vidéos ne soient supprimées.»
12 Commentaires
Na Leer
En Novembre, 2021 (15:57 PM)Est il sur d'avoir des filles maintenant ?
Reply_author
En Novembre, 2021 (21:27 PM)Evarice
En Novembre, 2021 (17:49 PM)Reply_author
En Novembre, 2021 (23:57 PM)Et les filles en question ? Naives, gnakka yarr, doff ba pagal ! La pauvreté ne justifie pas ceci.
Toute femme qui accepte d'exiber s as nudité est prête à écarter les cuisses pour de l'argent.
Janoune
En Novembre, 2021 (01:21 AM)Anonyme
En Novembre, 2021 (11:08 AM)