Jules Koundé a pris soin ce mercredi de répondre aux critiques de Jérôme Rothen et Jean-Michel Larqué sur le style vestimentaire des joueurs de l'équipe de France.
Pas emballé par le petit défilé de mode offert par les joueurs de l'équipe de France au moment de leur arrivée à Clairefontaine en début de semaine, Jérôme Rothen s'est payé leur supposé manque de rigueur. Le consultant de RMC Sport, cheveux blonds péroxydés, a ainsi fustigé l'excentricité des internationaux dans son émission Rothen s'enflamme et a reçu le soutien de Jean-Michel Larqué. Toujours aussi réactif sur les réseaux sociaux et partie prenante de cette révolution vestimentaire chez les Bleus, Jules Koundé leur a répondu.
"Mais enfin, messieurs, il ne faut pas vous emporter de la sorte pour si peu. Face à cette abondance de bienveillance nous n’avons plus le choix", a ironisé le latéral de l'équipe de France dans un message publié ce mercredi sur son compte X (ex-Twitter).
"On arrivera tous avec le survêtement, les crampons aux pieds"
Un temps pressenti pour récupérer le brassard de capitaine pour le rassemblement d'octobre avant de voir Aurélien Tchouaméni être choisi par Didier Deschamps, Jules Koundé a une nouvelle fois montré sa capacité s'attaquer à des sujets hors foot.
"Le prochain rassemblement c’est promis on arrivera tous avec le survêtement, les crampons aux pieds sans oublier la parka s'il pleut M. Larqué", s'est encore fendu le latéral droit de l'équipe de France.
Parfois moqué, parfois salué pour ses innovations vestimentaires par les internautes, Jules Koundé a pourtant lancé une sorte de petit concours au sein de la sélection comme l'a reconnu Ibrahima Konaté. Et le défenseur de Liverpool a joint le geste à la parole avec une tenue de la marque Kenzo qui a beaucoup fait parlé cette semaine. Jules Koundé, lui, a profité de cette belle exposition pour devenir l'égérie de la maison Jacquemus et a exprimé sa relation si particulière avec la mode.
"J'ai toujours aimé m'habiller, être soigné quand je sors de la maison, que ce soit pour acheter du pain ou faire les courses", avait explicité le natif de Paris lors de cette fameuse conférence de presse de septembre. "C'est un plaisir."
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