Quatre Sénégalais figurent dans le Top 50 des Africains les plus influents, établi par Jeune Afrique et publié dans le dernier numéro de l'hebdomadaire panafricain. Il s'agit de Serigne Mountakha Mbacké (28), le khalife des mourides, Yérim Sow (40e), le patron de Teyliom, Fatma Samoura (36e), la secrétaire générale de la Fifa, et, sans doute la moins connue, Salimata Diop (49e), la directrice du Musée de la photographie de Saint-Louis.
Le quatuor figure aux côtés de noms ronflants comme l'homme d'affaires et milliardaire nigérian Aliko Dangote, qui domine le classement, l'archevêque sud-africain Desmond Tutu (18), les chanteurs nigérians Wizkid (7) et Davido (14) ou le président de la Caf, le Malgache Ahmed Ahmed.
"Les chefs d'État et leurs épouses ont été a priori exclus, pour des raisons qui relèvent de l'évidence, prévient Jeune Afrique. Tout comme les Africains qui, tout en ayant conservé un lien fort avec leur pays d'origine, résident hors du continent : qu'il s'agisse du milliardaire philanthrope Mo Ibrahim, de l'écrivain Leïla Slimani ou encore du directeur Afrique du Fmi, Abebe Aemro Selassie, la liste est longue."
Réseaux sociaux et actualité
L'hebdomadaire s'est appuyé sur deux critères principaux. Premièrement, le poids sur les réseaux sociaux ("le nombre d'abonnés Twitter comme le référencement internet sont des critères objectifs dans un monde ultraconnecté"). Deuxièmement, "ladite personnalité fait-elle- ou fera-t-elle- l'actualité ?".
Mais ce n'est pas tout. JA a ajouté son grain de sel : "L'expertise de nos journalistes a permis de pondérer certains résultats. Le poids d'un Wizkid, fort de ses 4 millions de followers et de ses centaines de millions de vues sur Youtube, ne se discute pas. Celui d'une Louise Mushikiwabo, la ministre des Affaires étrangères de Paul Kagame, chef d'État rwandais, est assurément moins spectaculaire, mais est-il moins important pour autant ?"
JA a établi son classement en pronostiquant qu'il "alimentera certainement les débats- et agitera probablement les réseaux sociaux".
15 Commentaires
Anonyme
En Mai, 2018 (19:31 PM)Anonyme
En Mai, 2018 (20:08 PM)Anonyme
En Mai, 2018 (20:08 PM)Anonyme
En Mai, 2018 (20:11 PM)Anonyme
En Mai, 2018 (21:05 PM)Mais Ou Est Macky
En Mai, 2018 (21:39 PM)1milliard 307 derriere yawour dia
Felicitazion
Anonyme
En Mai, 2018 (21:39 PM)Anonyme
En Mai, 2018 (21:48 PM)Anonyme7
En Mai, 2018 (00:10 AM)Mame Thierno
En Mai, 2018 (09:03 AM)Mame Thierno
En Mai, 2018 (09:03 AM)Securis
En Mai, 2018 (09:35 AM)Anonyme
En Mai, 2018 (10:49 AM)Volai414
En Mai, 2018 (12:07 PM)LE POIDS DU SACERDOCE
Croire en Dieu et pas aux Hommes est le lot de tous ceux qui ont une certaine expérience de la vie sur terre et qui ne sont pas guides. Si vous êtes guide et que vous ne croyez pas en ce qui peut être bon chez les Hommes que vous êtes censé mener vers la lumière, le lien que vous êtes devient caduque.
Sërigne, ce que l'on peut vous reprocher ce ne sont pas vos croyances mais votre attitude en tant que guide. Vous avez hérité d'un sacerdoce et devez observer les règles que votre rang vous impose. La parole du Khalif des tidjanes doit être à nouveau sacralisée, distillée de manière opportune. Votre parole commence à se retrouver à la même rubrique que celle des peoples, certainement sans que vous ne le souhaitiez. Vos prédécesseurs nous avaient habitués à une raison et nous avons apprécié. Al Maktoum n'avait même pas besoin de parler, il posait des actes. Dabakh ne parlait pas beaucoup mais tapait toujours dans le mille quand il prenait la peine de nous distiller ses conseils et recommandations. A votre rang, si vous en êtes arrivé à vous justifier publiquement, c'est que la ligne rouge a été franchie et cela fait mal aux gens de votre tarikha qui ne veulent pas que leur guide serve de punching-ball sur la toile. Oui, vous n'avez pas de compte à rendre aux Hommes mais vous avez un rang à honorer pour tous ceux qui estiment la lignée Ahmed Tidjane Sy et qui vous ont comme guide. Un Khalif n'est pas un commun des mortels, qu'il le veuille ou pas ! Vous n'avez pas le choix, vous êtes devenu dépositaire d'une discrétion obligatoire. Je suis né de parents tidjanes mais je n'ai pas fait allégeance. Cela ne m'empêche pas d'avoir le respect et une nostalgie de ce qu'était la tarikha des deux êtres qui m'ont donné la vie.
Avec tout le respect que je vous dois et que j'ai envie de faire perdurer, Sërigne bi.
Jeune Afrique
En Mai, 2018 (14:29 PM)encore un blédard k..on et fier : un heureux brave !!
va faire des recherches historiques : tu trouveras Ben Yamed, Dialo,eytc..
un torchon nourrit par des dirigeants cafards du continent...
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